25 novembre 2008

Retour sur une histoire badine...

807 - Pour relativiser la "violence" de mon comportement dans le récit du post précédent, "Ma Belle de nuit", et ne pas laisser croire qu'après avoir professé sur tous les tons que "je ne fessais qu'à la main", j'étais désormais passé à la trique, la badine ou la cravache, je reviens sur cette courte histoire.

J'ai reçu plusieurs mails de "copines" virtuelles qui s'étonnent et haussent un sourcil interrogateur. (et parfois épilé...)

Oh, pas de reproches non plus, juste une réflexion d'une dizaine (!) de lectrices. (qui suivent, visiblement à la lettre près...)

Quelques commentaires aussi, qui pointent d'un index surpris sur un changement d'attitude et un éventuel virage "SM" ressenti moins soft que d'habitude dans mes petites variations culières.

Il n'en est rien. Parce que:

1 - Cette histoire est peut-être juste "rêvée"... Auquel cas, il s'agit d'un fantasme, un aspect sombre de ma personnalité qui ressort sous forme d'exutoire intellectuel, "et pis c'est tout"...

2 - Si elle ne l'est pas ("rêvée"), elle est peut-être "ancienne"...

3 - Si elle est "ancienne", c'est peut-être juste une fois et une seule, "en passant", pour voir...

4 - Je reste passionnément attiré avant tout par les fessées OTK, indissociables de mon univers érotique.

5 - Et, euh... Il n'y avait pas de cordelettes dans sa voiture !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

J’ai précisé ce que j’entendais par ‘violence’ dans le commentaire que j’ai fait hier et je ne pense pas que vous soyez pris par une ‘force obscure’ Bdsm.
Nous avons tous des moments où l’on se place au bord du précipice ce qui ne veut pas dire que l’on saute...
Ce que vous décrivez (peu importe si réel ou inventé) est de cet ordre.
Il y a là, un ‘fil’ sans doute plus pervers, plus anxiogène mais ce n’est pas forcément désagréable ; bien au contraire.
Moi-même j’ai eu des ‘expériences’ d’exhibitionnisme sans pour autant me classer comme ‘femme exhibitionniste’ ; pendant longtemps j’ai utilisé des ‘liens’ dans mes rapports amoureux sans que je sache que cela pouvait se rapporter à une pratique quelconque.

Erik A. a dit…

"Violence" n'est pas un mot qui me fait peur dans ce contexte précis. Je canalise.

Réel ou imaginaire... ?

Peu importe, mais je crois que vous avez la réponse dans l'énoncé du post.