C'est tout à fait le genre de scène qui pouvait se passer dans les bordels de l'époque, quand le client montait avec deux "fausses mineures".
Pur stupre !
Ces petits plaisirs pour "flagellants" (le terme adéquat) ne pouvant pas se passer à la maison, les habitués avaient droit dans les célèbres maisons closes à tout un tas de privautés conjugalement "non homologuées"...
J'ai toujours eu un certain intérêt "nostalgique" pour cette période d'avant Marthe Richard. Qui fit fermer en 1946...
Qu'on ne s'y trompe pas pour autant: je n'ai que peu de désir pour les putes et les rémunérées en tout genre et je connais parfaitement les horreurs des maisons d'abattage.
C'est plus un attrait historique qu'une envie de consommer, en bref. Curiosité...
Les bouquins de ce satané Boudard en parlent mieux que je ne saurais le faire, avec toute la truculence voulue.
J'ai déjà eu l'occasion d'évoquer le sujet ainsi que le prolixe auteur de la "métamorphose des cloportes" que j'ai eu la chance de rencontrer deux heures durant autour d'une discussion dans un centre culturel des Yvelines qui l'avait invité, voici une bonne trentaine d'années...
N'hésitez pas à vous y reporter, au cas où.
Quand à la scène montrée sur le dessin, j'avoue ne pas l'avoir vécue...
Il m'est arrivé de fesser une "camarade" au cours d'un trio (deux hommes, une femme) mais c'était plus par jeu érotique qu'autre chose, une sorte de petit préliminaire avant des ébats plus sexuellement corsés dans lesquels les fessées n'étaient pas essentielles. D'autant que ce n'était pas la prime passion des deux autres...
À part pour attendrir la zone prenable.
Et depuis cette époque dissolue et révolue, je suis devenu définitivement et résolument branché "tête-à-tête". Elle...
"Gefällt Sie ihnen ?" © Hermann Vogel
3 commentaires:
Pas tout à fait en rapport avec ton article mais lors d'un déplacement on m'avait installé dans une chambre qui avait pour annexe une bibliothèque.
J'ai passé une partie de ma nuit à feuilleter une collection impressionnante du petit journal.
Plus que les articles, j'ai dévoré les pubs et les petites annonces de particuliers qui avaient un charme fou. L'endroit dans lequel j'étais ne gachait rien à l'ambiance.
Un super souvenir...
Ah, les bibliothèques des autres !
Jeune adolescente, j'ai découvert ainsi "Histoire d'O" dans celle, pourtant riche de centaines d'ouvrages, de mon beau-frère. Ma nuit fut courte et fiévreuse...
@ CTQC: Histoire d'O a inspiré quantité de jeunes filles enfiévrées... Mais de là à le vivre, il y a de la marge quand même. Passer du rêve à la réalité n'est pas si simple dans ce domaine.
Et je n'aime pas trop ce livre pontifiant et glacé. Les hommes y sont des dominants et les femmes des proies.
Aucun humour non plus, c'est glacé et glaçant. Une petite boule de neige ?
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