2176 - "Lecture d'une main pour un samedi après-midi... "
Je vais vous solliciter à nouveau, les filles... Figurez-vous ma camarade miss Kate écrit des trucs de cul qu'elle m'envoie de temps en temps, pour m'amuser ou piquer ma curiosité.
Il y a de tout, la plupart du temps subtilement rédigé, avec parfois des textes "branlettes" de commande, réalisés pour une maison d'édition spécialisée. Très peu girlie, visiblement écrit pour des lecteurs masculins, avec tous les poncifs du genre.
Parfois il y a "fessée inside", parfois non.
J'ai retrouvé dans mes mails ce brouillon, ébauche d'une scène qu'elle n'a évidemment pas vécue en vrai, mais qui semble le fantasme inavouable de bien des assistantes, pourvu que le patron soit bel homme... À moins que ce ne soit le fantasme du patron, plutôt. Je suppose que dans 99% des cas, ça reste un truc imaginaire, même si, parfois...
Le texte in-extenso ci-dessous contient tous les ingrédients pornographiques voulus... Juste un peu de trouble en sachant que c'est vraiment une fille qui écrit et pas un barbon signant d'un pseudo féminin pour faire vendre. Elles ont de ces trucs dans la tête, parfois... Ah, les salopes !
Pourquoi j'ai pas de secrétaire, moi ? Foutu métier.
Pour être tout à fait honnête, je n’ai pas à me plaindre. Assistante de direction dans une petite entreprise de BTP, on me confie des responsabilités et j’organise mes journées comme je veux. Seul impératif, ne pas bouger du bureau, puisque j’en assure aussi le standard. Mais j’y suis souvent seule: les techniciens sont sur les chantiers, le patron sur les routes en prospection.
Je prends donc souvent mes aises, musique, pause café, et surtout surf sur le net…
J’ai toujours aimé lire des récits érotiques, surtout lorsque je suis célibataire comme en ce moment. La veille au soir, ma meilleure amie qui connaît mes goûts littéraires m’avait conseillé un site coquin, me vantant la qualité des histoires qu’on y trouve.
Je termine un devis, contrôle les notes de frais et regarde l’heure: chouette, je vais avoir du temps libre… Sans réfléchir, je tape l’adresse.
La traditionnelle interdiction aux mineurs passée, des images pornos clignotent dans tous les coins. Je scrute la page et trouve enfin, en bas à droite, un lien vers "nos histoires". Je clique. Apparaît alors une liste d’une cinquantaine de titres signés par des pseudos farfelus, les uns en dessous des autres, tous évocateurs:
"Sucé au fond des bois", "ramonée par quatre camionneurs", "la salope a tout avalé". Je secoue la tête, un peu dégoûtée. Qu’est-ce qui a bien pu plaire à mon amie là-dedans ?
Un titre retient tout de même mon attention: "la secrétaire vicieuse". Allons bon !
Je clique et commence à lire.
Une secrétaire vaguement nymphomane raconte comment elle a convaincu un client mécontent de ne pas résilier un important contrat, en donnant de sa personne évidemment, et sauvant l'entreprise.
Une secrétaire vaguement nymphomane raconte comment elle a convaincu un client mécontent de ne pas résilier un important contrat, en donnant de sa personne évidemment, et sauvant l'entreprise.
Basique, mais bien écrit, d’érotique à hard juste ce qu’il faut. Je ne tarde pas à rentrer dans l’histoire, au point d’oublier où je me trouve. Sans même m’en rendre compte, j’ai glissé une main sous ma jupe et me caresse doucement, d’abord par-dessus la dentelle de mon tanga, puis aux moment les plus chauds (j’ai apprécié quand le client présente sa queue à la fille pour qu’elle le suce et le moment où il la prend en levrette sur son bureau…) ma main est passée sous le tissu.
Finalement, j’ai même fait glisser ma lingerie sur le haut de mes cuisses pour me permettre des mouvements plus amples. A la fin du texte, j’ai le souffle court et je suis trempée. Je finis par jouir, les yeux clos et les cuisses resserrées sur ma main, m’imaginant à la place de cette brave secrétaire si "dévouée à son entreprise"…
Je rouvre les yeux, encore tremblante de désir et suis douchée d’un coup: face à moi se tient mon patron, mon boss, le garant de mon contrat de travail… Je retiens in extremis un cri de terreur. Parce que oui, il m’a fait peur en plus, ce con ! D’habitude, on n’entend que lui quand il arrive ! Ne sachant vraiment pas quoi dire, je ferme la bouche et attends. Si je tremble encore un peu, l’excitation sexuelle n’y est plus pour grand-chose…
Il me fixe un moment puis me dit :
- "Bonjour. Je ne vous demande pas si vous avez passé une bonne journée. Rajustez-vous et suivez-moi dans mon bureau."
Le suivre ? Comme ça ? Il a effectivement une vue imprenable sur mes cuisses et sur ma petite culotte que dans le feu de l’action, je n’ai pas encore remontée. Je sens le rouge me monter aux joues. Le plus dignement possible - mais peut-on l’être dans une telle situation ? - je me lève et remets en vitesse ma jupe et mon tanga. Il n’en perd pas une miette mais je ne le regarde pas. Je le suis, tête basse.
À quoi a-t-il assisté, depuis quand est il là ? J’ai presque envie de pleurer, imaginant déjà le motif de mon licenciement: "comportement inconvenant". Difficile de justifier ça !
Il referme la porte derrière moi. Il a un grand bureau vitré, ce qui compte tenu de la taille de l’entreprise est un non sens. Peu importe, il sait que ça impressionne toujours les clients et même les collaborateurs. Je n’échappe pas à la règle, même si je passe beaucoup de temps dans cette pièce.
Je suis mortifiée. Lire des histoires pour adultes sur mon lieu de travail ! Mais qu’est-ce qui m’a pris ?
Mon patron laisse passer un long moment de silence. Je n’ose pas bouger.
- "Est-ce la première fois que vous vous livrez à ce genre d’activité au bureau ?" Sa voix est calme mais froide.
- "Oui, monsieur..." Je baisse de nouveau la tête.
- "Que regardiez-vous ?"... Je relève la tête, un peu surprise: que veut-il me faire dire ? Je cherche mes mots et tâche de m’expliquer. Inutile de mentir.
- "Je… euh… Je lisais une histoire érotique." J’ai rarement eu autant honte, mais il faut bien justifier ce qu’il a vu !
- "Et quel en était le sujet ?" Je n’en crois pas mes oreilles. Je me retourne, comme si le voir pouvait me confirmer que j’ai bien entendu. Sa voix toujours aussi sévère me trouble, mais je crois voir pétiller ses yeux.
- "Alors ?"
Raconter une scène de cul à mon patron ? Quoiqu’il ait vu, je devrais lui dire d’en rester là et quitter l’entreprise la tête haute. C’est vrai, ça ne se fait pas…
- "Il s’agissait d’une secrétaire qui s’offrait à un client… mécontent… le client… mais pas de la secrétaire… Heu..." J’ai voulu soutenir son regard mais je n’y parviens pas. J’aurais aimé le regarder droit dans les yeux et pour finir passer devant lui et le planter là, médusé.
Je bafouille, m’embrouille, de plus en plus confuse. Il s’approche de moi, frôle ma hanche du bout des doigts et murmure :
- "Et ça vous a inspiré ?" Il m’enlace avant que j’ai pu répondre. Sans doute estime t il, après la scène à laquelle il a assisté, qu’il en a le droit. Je me raidis, consciente de la situation dans laquelle je me suis mise… Il plante ses yeux dans les miens. Le flottement est quasi perceptible. Si je veux partir, je n’ai qu’un mouvement de hanche à donner pour me dégager de son emprise. Cet homme ne m’attire pas. Il n’est ni beau ni laid, juste banal. Il n’a aucune délicatesse. Pourtant, quand sa bouche se pose sur mes lèvres, elles s’ouvrent immédiatement.
Après tout, il me semble que la secrétaire qui m’a tellement excitée quelques minutes auparavant n’avait pas non plus prémédité ce qui lui est arrivé… Son image se confond avec la situation. Je vis ce que j’ai lu. Totalement submergée par mon fantasme, je me laisse faire.
La langue de mon patron s’enroule autour de la mienne tandis que sa main ouvre mon chemisier. Il s’agrippe à mes seins et semble prendre beaucoup de plaisir à les malmener, l’un après l’autre. Je ne fais rien pour l’empêcher de faire jaillir un sein, puis l’autre de mon soutien-gorge. Je me retrouve donc au milieu d’un grand bureau directorial, la poitrine offerte. L’espace d’une seconde, je me dis que quelqu’un pourrait rentrer, nous voir ou m’entendre…
Puis il commence à me titiller les tétons du bout des doigts et je suis comme tétanisée par la brusque montée de plaisir qui réchauffe mon ventre. Il me caresse, me pince, me mordille… J’oublie tout, à part ce brusque désir qui me secoue presque malgré moi: j’en veux plus. Je voudrais bien m’enhardir et prendre enfin l’initiative, mais il enserre ma main dans la sienne.
Ensuite tout va très vite. Sans vraiment comprendre comment il a fait, je me retrouve renversée sur son genou, les mains fermement maintenues dans le dos.
Avec la main qu’il lui reste, il soulève ma jupe.
Il a donc sous les yeux, mon cul à peine masqué par la dentelle blanche du tanga que je viens de remettre. Le tissu doit être humide et bailler légèrement au niveau de ma fente. Collée à lui, je sens son cœur battre aussi fort que le mien, mais ses gestes sont calmes et précis. Il fait glisser ma culotte jusqu’à mes genoux. Je me laisse complètement aller et attends ses caresses.
Il a donc sous les yeux, mon cul à peine masqué par la dentelle blanche du tanga que je viens de remettre. Le tissu doit être humide et bailler légèrement au niveau de ma fente. Collée à lui, je sens son cœur battre aussi fort que le mien, mais ses gestes sont calmes et précis. Il fait glisser ma culotte jusqu’à mes genoux. Je me laisse complètement aller et attends ses caresses.
Une première claque me fige de stupeur. C’était dans le texte, ça ? Elle est rapidement suivie d’une seconde, puis d’une troisième. Même s’il ne tape pas très fort, je me débats.
- "Reste tranquille ! Tu penses vraiment que je vais te laisser te branler au bureau sans réagir ?"
Je ne trouve rien à répondre, mais me calme. Il approuve et suspend son geste :
- "C’est bien. Tu la mérites cette correction, tu sais ?"
Une quatrième claque tombe. J’étouffe à peine un cri plaintif. Une larme coule sur ma joue.
- "Réponds-moi. Tu la mérites, oui ou non ?"
- "Oui, monsieur..." J’ai peine à croire que c’est moi qui vient de parler. Je prends brusquement conscience que je ne fantasme plus: ce que je vis est bien réel et j’aime ça. Je ne me reconnais plus, jusqu’à cette voix rauque qui n’est pas la mienne.
Il me remet debout. Le tissu de ma jupe frôle mes fesses qui brûlent d’autant plus. Il relève mon visage et essuie ma joue. Il m’embrasse, avec une grande douceur cette fois. Je lui rend son baiser avec fougue. On ne m’avait jamais fessée auparavant et je suis dans un état second. Mon désir vient d’être multiplié par mille. Je ne veux plus qu’une seule chose, m’offrir. Sent-il qu’il peut faire de moi ce qu’il veut ? Il semble lire dans mes pensées, puisqu’il lâche mes lèvres et me murmure :
- "J’ai envie de te baiser."
Je tremble de tout mon corps quand il me penche sur son bureau. En appui sur mes mains, je lui tends mon cul, qu’il caresse maintenant du bout des doigts. Chaque passage sur une zone douloureuse me fait frémir d’impatience. Je l’entends défaire son pantalon. L’excitation monte. Je suis en feu.
Je réalise alors que je n’ai jamais vu sa queue. Une première en ce qui me concerne, car j’aime sucer mon partenaire et le sentir grossir dans ma bouche avant de l’avoir en moi. Mais toute cette scène est inédite… Par curiosité, je veux me retourner, mais il ne m’en laisse pas le temps.
Certes, je n’ai rien vu. Mais comme je le sens bien ! Mon patron semble très honorablement membré et je serais étonnée d’être la première secrétaire qui se fait prendre dans ce bureau ! Nul besoin de préliminaires après le traitement que j’ai fait subir à mon abricot un peu plus tôt. Il le remplit et s’enfonce profondément en moi, se réapproprie mes seins et donne le rythme d’un coup de hanche. Ses mouvements lents font monter mon plaisir. Bien que très excité lui aussi, il maitrise parfaitement la situation et va même au delà de mes désirs.
L’image de la secrétaire vicieuse me repasse en tête. Finalement, c’est bien meilleur à vivre qu’à lire !
Il y a longtemps que je ne me suis pas sentie à ce point prise par un homme et j’en miaule de bonheur. Il accélère progressivement le rythme, jusqu’à me faire crier, de plaisir cette fois. Un orgasme violent me secoue. Je tremble alors qu’il s’est arrêté de bouger. Je sens mon sexe se resserrer par saccades autour de sa queue. Je suis épuisée mais il n’en a pas fini. Il quitte mon sexe pour venir se frotter contre mon cul. Je me crispe.
Je ne sais que trop ce dont il a envie, mais ne suis pas vraiment une adepte. J’ai presque envie de lui demander d’arrêter, mais il prend la parole :
- "C’était bon ?"
Je hoche la tête.
- "Donne moi ton cul !" Cette fois je fais "non" mais n’ose pas en dire plus. Il m’attrape les cheveux et les tire doucement vers l’arrière. Je n’ai pas mal, mais son geste me surprend. Il vient poser un doigt sur mes lèvres.
- "Suce !"
Encore une fois, ce sentiment d’être dans un état second. La secrétaire, encore elle, reprend le contrôle. J’obéis docilement. Son autre main est partie sous ma jupe et a trouvé mon bouton. Il l’effleure tranquillement, tourne savamment autour. Il est très doué et semble tout à fait savoir ce qu’il fait. Je ne suis qu’une boule de plaisir.
Je voudrais qu’il m’achève, lui dire combien il me fait du bien, mais je suis bien trop occupée à jouer avec son doigt. Il s’amuse à étouffer mes gémissements, coulisse lentement, un doigt puis deux, de sorte que j’ai vraiment l’impression de sucer un autre homme. Lorsqu’il libère ma bouche je ne peux que l’implorer de ne surtout pas arrêter ses caresses. Alors que je me contracte une nouvelle fois sous l’effet du plaisir, je le sens forcer mon œillet. Son sexe envahit mon cul à cet instant précis. Il se fige en moi tandis que je lui inonde la main. Douleur et plaisir se mêlent jusqu’à un second orgasme sidérant. Je n’ai jamais joui deux fois aussi vite ni aussi fort. Ma jouissance déclenche la sienne.
Mon regard croise fugitivement le sien: il est flou, ailleurs. Pour lui aussi, l’instant semble avoir été à part. Il se rhabille et va s’asseoir dans son fauteuil alors que je suis encore toute pantelante au bord de son bureau. Je me rajuste devant mon patron pour la seconde fois de la journée. Je regarde cet homme comme si je ne l’avais jamais vu.
Et maintenant ? Je le vois mal me demander de venir sans culotte à l’avenir comme dans tout bon film porno... Un demi-sourire aux lèvres, il me dit :
- "Je ne vous imaginais pas si… docile."
- "Moi non plus, monsieur."
- "Le plus simple serait d’oublier ce qui vient de se passer, vous ne croyez pas ?"
- "Que s’est il passé, monsieur ?"
Sans se départir de son sourire, il m’indique la porte. Je sors de son bureau, soulagée. A défaut d’avoir sauvé l’entreprise, j’ai au moins sauvé mon poste…"
PS: Figurez-vous que je n'ai pas posté ce texte par hasard. Outre le fait que j'en connais l'auteure, je me souviens d'une autre amie m'évoquant ses troubles et interrogations à la suite d'une simple réflexion de son chef. Depuis, ces mots tournent en boucle sans qu'elle ne trouve une solution pour vivre tout ça dans le réel. En vrai.
Et si elle s'était trompée ? Quiproquo ou invite ? Elle bloque pour franchir le pas, tentant de nouvelles perches, décodant tout ce que dit le monsieur, y cherchant sans doute un double sens érotique qui y serait dissimulé... Ce qui n'est pas prouvé, d'ailleurs: on a vite fait de se tromper, d'interpréter les choses dans le sens qui nous arrange. Classique duplicité envers soi-même.
En fait, en repensant à ça, j'avais surtout envie de titiller l'imagination des lectrices: que dans leur contexte professionnel et en le "détournant" à peine, elles m'inventent des moments érotiques qu'elles ont pu imaginer, une fraction de seconde ou durant des heures de rêverie.
Pour un regard, un frôlement, un sourire ou une réflexion de leur patron, instants restés sans suite (ou pas). Cette suite inventée (ou pas), j'aimerais bien la lire, que vous nous offriez ces images impossibles en fermant juste les yeux...
14 commentaires:
J'aime bien la chute "Que s'est-il passé, Monsieur ?"
Moi, j'en ai une de secrétaire, mais bon j'ai bien écrit UNE, donc rien d'excitant pour moi, hein! Par contre, Lui... il en a aussi une. Parait qu'elle est pas jolie...pas d'autre choix que le croire, n'est-ce pas ! Mais z'aviez besoin d'venir remuer tout ça Mister Stan ?!
J'aime beaucoup la 4ème photo, couple debout contre le mur, en noir et blanc.
"Remuer"... La photo 4 dont je ne connais pas l'auteur est effectivement très belle. Comme quoi il n'est pas obligatoire de voir les choses en gros plan pour éprouver du trouble...
Il n'y a pas de doute. La fessée, quand elle est décrite dans un tel contexte érotique prend une valeur extraordinaire, titille l'esprit et augmente les sensations. Pas besoin de faire de la grande littérature pour savoir raconter une histoire, juste placer les mots au bon endroit, les sublimer pour que le lecteur ait envie de connaître la suite.
Oh lala!! c'est chaud!
Dommage qu'elle ne mette plus rien sur son blog , c'était bien.Elle devrait faire ,de toutes ces histoires ,un recueil de nouvelles.
Ceci dit , des fois , il se passe de drôles de choses dans les bureaux, j'en ai un exemple très concret, en ce moment. Et ça bouleverse pas mal la vie de l'entreprise.Pas sûr que ce soit bon pour les affaires!
C'est vrai qu'elle délaisse son blog, je suis bien placé pour vous dire que ce n'est pas simple à tenir et que c'est une forme d'astreinte, de contrainte (acceptées dès le début) et de temps à prendre sur d'autre chose que tout le monde ne peut pas faire, une fois passé l'excitation d'avoir son propre espace. Faut ensuite alimenter le tout avec régularité et c'est là que ça se gâte.
Kate mériterait une fessée pour nous laisser sur notre faim, vous croyez ?
;D si ça lui fait plaisir.... et à vous aussi...;D
Pour ça, il faudrait se croiser et ce n'est pas à l'ordre du jour... Mais je gage qu'il se trouvera bien un robuste gaillard pour la courber et s'occuper de ses fesses comme il arrive qu'elle le mérite. Pour l'écriture, je crois que c'est en cours, avec la maison d'édition de la rue du Chemin Vert...
En même temps , je pense qu'un blog peut être un très bon outil de marketing.S'il est alimenté régulièrement, si l'auteur répond aux commentaires, et noue un vrai dialogue.
Non?
Oui bien entendu, c'est d'ailleurs ce qui se passe avec mon autre espace, créé pour ça. Le contact avec le public, pour prolonger les rencontres live, avec un petit mot, un mail, un sourire, un coucou.
En ce qui concerne Kate, probable que quand ses livres sortiront, son blog servira de relais. Wait and see.
Au passage... ledit chef a recommence, pas plus tard que ce soir, en reunion. Le mot fatidique a encore ete lache, pour mon plus grand bonheur et mon desarroi, relancant encore ma machine a fantasmes et mes interrogations.
"il s'est pris une fessee...' a-t-il dit. O rage, o desespoir! Quand dira-t-il cela de mooaaa?
PS: merci pour la bouteille a la mer... :-)
Je crois que j'avais évoqué votre histoire dans un autre post sur les chose qu'on croit déceler, Mahogany... Le temps de retrouver, et vous nous racontez la suite ?
@ mahogany: c'était ici, dans ce post, que j'évoquais méprise, envie, quiproquo et désirs au boulot...
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