31 juillet 2009

Manque de réalisme ?

1138 - "Realism"...

J'espère que vous comprenez l'anglais.

La belle Pixie lasse de recevoir des mails de gens qui font la fine bouche et lui disent que les fessées qu'elle reçoit ou que l'on voit sur "Punished Brats" (ou ailleurs) manquent de "réalisme", remet les choses en place d'une belle manière, en replaçant tout ça dans un contexte authentique.

C'est vrai. Des marques, des hurlements, de la douleur et des larmes, les gens en veulent toujours plus avec un degré de sadisme assez inquiétant que l'on retrouve d'ailleurs aussi dans les commentaires (anonymes souvent) des vidéos gentillettes d'Old Nick chez nous, par exemple...

D'où la longue réponse de Pixie qui remet les choses en place et dont voici un court extrait que je traduirai peut-être plus tard...

"(...) I can certainly attest to them being very real - the implements are real, the pain is real, the redness and marks are real, the reason might even be based on a real life event, but the amount of discipline is not necessarily realistic.

The punishment will often far outweigh the crime. For example, I’d think that even in schools that still allow the use of corporal punishment, a disciplinary paddling would be limited to a few swats over the clothing, not the few dozen I received on the bare in my last school scene.

Non-consensual domestic spankings would be much shorter as well; perhaps a minute or two, not the 10 - 30 minutes or even longer sessions we see in films.


And I’m reasonably certain that a girl wouldn’t get spanked by practically everyone she met, perhaps multiple times, as we see in series or longer scenarios... (...)"


On ne saurait mieux dire... Bravo, miss ! Mais, c'est un vaste débat. Il est vrai qu'avec les vidéos des gens qui en font profession - aussi bien faites soient-elles - on est de toute façon dans le factice à but commercial.

Il n'empêche que les fessées n'y sont pas simulées, en tout cas certaines visiblement pas et que tout le problème est là, une perception entre fiction et réalité des choses.

Y croire, ou pas...

Je crois que je préférerai toujours un film amateur tourné dans l'intimité entre un mari et sa femme avec le camescope posé sur la commode, même mal éclairé mais bien réel, à une production "fictionnée".

PS: Le paddle... Américains et Anglais adorent ça et s'en servent à outrance, ainsi que des brosses à cheveux, on voit ça dans tous les écrits, films et photos sur la fessée. Mais je n'aime pas tellement détourner les objets usuels de leur sens initial...

En clair, j'ai toujours du mal avec les planches à découper le rôti, comme celle que le correcteur utilise sur la belle.

Ou encore celles qui illustrent mon PS, trouvées ici. Franchement, moi, battoirs pour le linge ou autres planches à pain, je laisse ça en cuisine. Définitivement.

Je ne vois pas l'intérêt de l'ustensile, qui en plus fait "écran" entre les peaux.

Il est vrai que fesser, selon moi, c'est de l'érotisme, pas de la torture sans âme.

Et que j'ai besoin de sentir ma main peu à peu se réchauffer sur son cul pour juger de la température et du moment où on est à terme, sentir qu'il ne lui faut pas une claque de plus sous peine de rompre le fil du plaisir et du trouble...


Maintenant, chacun procède comme il l'entend, évidemment.

Garçons ou filles, je serais curieux de connaitre les arguments de qui utilise ce fameux paddle.

Et surtout, pourquoi...

Images © Pixie
Images paddle © Home made Spanking videos

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