1143 - Un dessin de Jean Dulac, datant de 1956 et qui me plaît par sa modernité graphique...
Il nous offre un de ces culs bien "plein", rond et que l'on devine ferme, parfaitement enserré dans la culotte, apparaissant dans un envol de jupe que n'aurait pas désavoué Marylin dans un film de Billy Wilder...
Fait pour la fessée ? Je l'ignore et précise au passage que je ne suis pas un affolé des porte-jarretelles et autres dessous affriolants. J'aime la dentelle, mais ça ne me rend pas fou de désir et je ne suis pas fétichiste, même si j'apprécie la mise en valeur. Et ne nie pas le trouble que parfois l'évocation d'un bas à peine entraperçu peut procurer à l'Homme...
Disons que c'est je n'aime pas ce qui trop convenu, j'ai souvenir d'une amie qui se mettait "en panoplie" pour ses rencontres galantes et c'était tellement systématique que je préférais qu'elle n'en mette pas quand on se voyait.
Ce côté "je vais baiser, je m'équipe en conséquence" ne me plaisait guère, non pour les dessous en soi (soie...) mais plus pour l'attitude récurrente qu'elle affichait en la circonstance.
En clair, je m'en passe, mais j'apprécie... (et ce n'est pas un message personnel)
7 commentaires:
J'aime beaucoup ce dessin. Je reste un peu sur ma faim par ta brève remarque "modernité graphique".
Peut-être un autre post illustré à ce sujet?
Comme Isabelle j'aime beaucoup ce dessin. Je suppose que la "modernité graphique" est dans le mode d'emploi des couleurs et le côté impatient du trait....
Oui, chère Nush. C'est un dessin très enlevé au trait "jeté". J'aime bien la traduction par ce mot, "impatient", que vous en faites.
C'est un dessin qui en gros à mon âge, mais semble assez peu daté et intemporel, c'est ça que je voulais dire, chère Isa.
Que de "chères", hein ? (chair ?)
Je suis une « affolée de lingerie » ; c’est très grave mais je m’en accommode joyeusement. Je vis avec « ça ». Je choisis une tenue et la lingerie adéquate. Néanmoins ma démarche est très personnelle et je peux arborer un magnifique serre-taille en satin à jarretelles sans pour autant avoir de rendez-vous amoureux. C’est mon plaisir et celui du regard amusé de celui qui perçoit ces coquineries par inadvertance.
J’aime, à l’automne, porter des bas et une jupe fluide. J’aime voir le regard interloqué, puis amusé de celui qui a ‘vu’ mais n’en laisse rien ‘voir’. Ou au contraire qui s’en amuse avec un sourire délicat.
Porter de la lingerie sophistiquée n’est pas chez moi une « histoire d’attitude », mais une manière d’être fidèle à mes goûts.
@ "affolée", dans ce cas précis, je vous comprends très bien. Mais je parlais là d'un cas précis que j'ai eu de la part d'une demoiselle affichant une espèce d'attitude convenue tendant à se mettre en panoplie pour aller à un rendez-vous galant parce que "ça plait aux hommes", croyait-elle de façon très systématique... Trop pour moi. On aime bien ses petites privautés, pas savoir que c'est régime commun pour tout le monde...
Et puis elle était très belle aussi en jean et chemise à carreaux, avec juste une queue de cheval, sans maquillage. Ce jour-là, c'est comme ça que la voulais, sans dress-code convenu.
Elle a compris. N'a remis des bas que pour me faire plaisir, ensuite, pas pour s'habiller de circonstance comme elle le faisait pour tous les autres.
Pour moi; la lingerie peut être un conditionnement à une ambiance.
Evident que si c'est systématiquement la même ambiance, le charme est rompu. Je comprends Nush car j'aime aussi sublimer mon corps dans certaines circonstances. Etrangement, quand je porte des bas, le contact sur le haut de mes cuisses est un rappel au sens. Un peu comme lorsqu'à l'annonce d'une fessée, je focalise ma pensée sur mes fesses et me trouve très excitée.
Aussi,moins égoistement, c'est l'excitation provoquée chez le partenaire qui trouve un écho en moi. Si l'autre n'est pas ému, je m'en trouverai frustrée. Par contre, il est certains déguisements que je trouve tant inconfortable que grotesque...question de goûts et couleurs !
Si l'autre n'est pas ému, je m'en trouverai frustrée. dit Apsara...
Je crois qu'il n'y a rien de pire que de ne pas être sur la même longueur d'onde dans le plaisir. À part bien sûr que l'autre ne s'en rende pas compte et continue l'histoire sans vous !
Enregistrer un commentaire