1219 - Ah, le fameux prestige de l'uniforme...
Une de mes amies de province qui conduit assez mal prétend souvent qu'il lui faudrait un peu de plomb dans la cervelle (non, elle ne veut pas se suicider, qu'est-ce que vous pensez ?) et m'a avoué qu'elle craque littéralement pour l'autorité...
Cette fille rêve secrètement de se faire arrêter par la police à la suite d'un excès de vitesse ou d'un franchissement de ligne blanche, pour subir à l'arrière de la fourgonnette une fouille corporelle et un châtiment mérité...
Mademoiselle imagine un fonctionnaire sévère qui lui ordonne de se mettre en travers de ses genoux et je suis certain que la suite est un peu comme dans ce petit film d'une production tchèque bien connue. (C'est ce qu'ils font de plus soft...)
Plus que deux points à son permis et au lieu de faire un stage, elle attend !
Cette bécasse éprouve le réel besoin d'une forme de contrainte et de remise en place énergique par une autorité tutélaire, une chose que je comprends mais que - vaguement réfractaire aux fonctionnaires en général et aux uniformes en particulier - je serais bien en peine de lui offrir.
Je ne suis pas très panoplie... Parfois, je regrette.
Par contre, si des demoiselles partagent plus ou moins ce curieux fantasme ou ont des choses vécues troublantes à raconter dans l'esprit, elles peuvent toujours nous expliquer ce qui les excite là, je suis preneur...
22 commentaires:
Je ne peux pas t'aider l'uniforme me fait juste rire, comme tout les déguisements d'ailleurs.
Je ne suis pas "panoplie" non plus, et je ne fantasmerais pas sur un déguisement. Mais si ça marchait comme ça dans la police française, je crois que je ferais plein d'infractions, pas de celles qui mettent en danger la vie d'autrui, entendons-nous bien ! Mais je me prendrais bien la honte de ma vie, de cette manière là. A condition que ça se produise loin de chez moi, pour ne pas risquer de rencontrer l'agent, à chaque coin de rue dès que je ferais une sortie.
Dès l'instant où je sais très bien que je ne le reverrais jamais, oh oui, j'aimerais que l'on me chope ainsi. On devrait avoir le choix : une amende ou une fessée, pour ne pas heurter la sensibilité de celles qui ne voudraient pas.
En même temps, du fait que cette option n'existe pas, je roule sagement. Dommage ... ça m'aurait plaisir de vous raconter une de mes anecdotes (Rires)
En fait je l'aime bien ce mec là... Il est super au RDV,… lui ! héhé…
Sur ce film ici, la fille est toute tourneboulée quand elle se relève et si on pousse le son à fond, on l'entend lui parler plutôt affectueusement avant de l'autoriser à filer.
Sur l'autre film, malgré le fait que la demoiselle est bien donnée de la voix, quand elle se relève elle râle encore et ‘Clac’, il lui en recolle une. Puis, quand il lui dit de filer, elle dit encore 'non' et là il rigole devant son refus de tête de cochon, refus juste verbale d'ailleurs... :)
Ce que j'aimais bien dans celle-ci c'est le tempo des claques, qu'elle a bien le temps de sentir passer. Et le fait qu'il prenne le temps aussi de la sermonner entre deux rafales, on le sent bien impliqué, sans être présenté comme un simple cogneur.
Les mots sont aussi importants que les claques lors d'une fessée.
Comme quelques Parisiennes je n'ai pas le permis de conduire. Je roule à vélo et je brule consciemment un tas de feux rouges. Faut avouer qu'à vélo un certain nombre d'entres eux ne servent à rien. ...
L'été dernier, un dimanche après midi, sur une avenue près du bois de Vincennes, après quelques feux bien mûrs, une voiture blanche m'a rattrapée. A l'intérieur, des fonctionnaires en traillis ( la B.A.C). Un d'entre eux m'a lancé un très agressif : "t'es daltonienne la métisse ? Y a vraiment des fessées qui se perdent". Puis, la voiture a redémarrée.
Et ben, j'ai beau être très branchée fessée, j'ai pas fait le lien tout de suite avec mes préférences...
Mais, j'y pense parfois qu'en le rouge est trop mûr.
@OGR: Le ton agressif et la connotation raciste est sans doute pour beaucoup dans le fait de ne pas avoir fantasmé de suite sur le mot...
C'est vrai que j'avais eu un peu peur. Plus parce que la B.A.C ne m'inspire pas vraiment confiance. J'ai pas de problème avec ce que je suis : "métisse"... j'y vois des connotations racistes que si on y ajoute des adjectifs du type "sale...".
Pour en revenir aux uniformes, a priori, j'ai pas besoin de ça. Mais, il faut garder l'esprit ouvert. On sait jamais.
Je note: "acheter une panoplie de CRS"...
Ou pompier. C'est bien aussi pompier: c 'est un uniforme, mais version sympa. Çà sauve les gens et ensuite, ça pourrait corriger la vilaine qui a joué avec des allumettes!
ça fait maintenant un bon moment que je n'ai pas donné de fessées, à qui que ce soit (snif) mais pour autant je ne me vois pas m'habiller en agent de police pour faire.
Je sais que parfois l'habit fait le moine, pourtant, mais ça ne me tente pas plus que ça...
Je ne vous connais pas mais l'idée de vous voir dans un déguisement en simili plastique avec fausse moustache année 30 me fait bien rigoler. Et fesser une fille en uniforme, tenté ?
Quand j'étais petit dans les sixties, j'avais eu avant celle de Josh Randall, plus seyante et classe, une panoplie d'agent de police français, avec le képi, la pèlerine, la vareuse, le sifflet, les menottes, le bâton et tout le toutim. Je vous assure que j'étais ravissant...
Mais j'ai préféré le canon scié de McQueen. Je vous épargne mon costume de Thierry la Fronde et mon déguisement de Zorro. On savait s'amuser, dans les années soixante !
Fesser une fille en uniforme... J'avoue ne jamais y avoir songé. Je crois que je n'aui pas trop de code dress dans mon imaginaire. Sauf si bien sûr c'est un désir fondamental de la demoiselle que de "jouer" à l'infirmière, à l'hôtesse de l'air ou à la Pervenche, comme dans quelques sites anglais dont le fameux "spanked in uniform"...
Mais à priori je n'ai pas ça dans ma boîte à malice...
Ah, j'ai bien fessé quelques demoiselles et dames du corps professoral, (il y en a étonnamment pas mal qui se passionnent pour le sujet) mais il n'y a pas d'uniforme de prof dans l'éducation nationale... Dommage ?
Pitié!
Bonsoir Stan, et vous tous,
Je confirme: à la Noël 1973, j'ai reçu une panoplie de Zorro et quelques années, plus tard, une tenue de la police montée canadienne. C'était la grande mode dans ces années-là et ça mettait, avec mon frère, et les voisins de notre âge une bonne ambiance dans le quartier pendant les fêtes de fin d'année. Pas triste du tout, les garnements qu'on était...
Dans le film "La Fessée"( 1976), le "héros-éducateur" fesse une "pervenche" en uniforme séquestrée dans la cave de sa boulangère.
Ah ces "années bonheur" (au regard de ce qui se passe aujourd'hui !) , un temps révolu : il n'y avait que le téléphone à cadran pour toute avancée des communications. Ni portable, ni Internet. Mais après tout...
Charles.
pitié pour ?
Je crois que Zabelle ne veut pas voir revenir la moquette sur les murs, le orange et les téléphones à cadran. Si c'est l'idée, je suis solidaire avec son combat. Par contre, fin 70, c'etait l'époque bénite où il m'est arrivé de recevoir la fessée sans avoir besoin de la demander. Si j'avais su....
Les enseignants! Un uniforme? Manquerait plus que ça tiens!
Ah, ça doit se solutionner, chère OGR...
"Pop corn" de Hot butter, Les fleurs "orange et marron", la moquette murale, le téléphone orange (la couleur, pas l'opérateur)... Oui, bon, mais aussi les manteaux cache-poussières et les pantalons patte d'éph, les cols pelle à tarte... Qui a été ado dans les seventies, a eu de quoi s'amuser.
Et puis, ces années-là, c'est aussi ma découverte approfondie de la fessée en Angleterre, c'est vrai... Tapez "Brighton" dans le blog et vous verrez. Je ne vais pas y revenir.
Du coup, j'ai relu ce que j'écrivais, il y a six ans.
Depuis, ma "copine provinciale" a trouvé le fesseur de sa vie. Enfin, un mari... Qui ne rate pas une occasion de lui faire réviser le code de la route à la cravache. Et elle adore ça. Oui, elle est passée du côté BDSM de l'histoire en s’éloignant un peu de la fessée de base.
Et le gars a un bel uniforme puisqu'il est commandant de bord à Air Fra... Euh, dans une compagnie nationale.
Bonjour Stan, et vous tous,
L'uniforme dans l'éducation nationale ?
J'ai connu les dernières blouses en classe jusqu'en CE1. Après, c'est passé de mode. Mais ça masquait quant même les différences de moyens financiers des parents: aisés ou moins, on était tous/toutes logé/es à la même enseigne. enfin, on se souciait moins du paraître dans les cours de récréations. On s'amusait, on se détendait, c'était le plus important... Même au Collège, un peu plus tard, "Bis repetita". On me jugera peut-être rétro mais bon...
Avec cette mode pour jeunes, on crée des conflits entre enfants là où il ne devrait pas avoir lieu d'être. Tous ça pour enrichir les marques. Mais bon , il faut vivre avec son temps, me direz-vous. Soit !
L'uniforme pour les enseignants ne manquent pas d'élégance
non plus, à mon avis. Une enseignante d'âge mûr sanglée dans un bel ensemble en drap de laine ne passe pas... inaperçue, ma foi. Le mot "uniforme" semble toujours synonyme de conflit armé dans le grand public, Dommage.
Ah, le légendaire prestige de l'uniforme... Rires.
Charles.
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