25 septembre 2009

Recto... Verso !

1220 - J'aime beaucoup ce dessin. Trouvé sur "Spanked Hubby".

"Maris fessés"...

Ce pourrait être le pendant de "Discipline Domestique". Jeu inversé. Pas de raisons objectives que ça n'aille que dans un seul sens...

Je n'ai jamais nié mes côtés switchs, que je continue de quantifier à 10% de mes désirs intimes, mais pour autant, je ne me livrerais pas à la première Domina venue, si tant est que je passe à l'acte...

C'est arrivé.

Passionnant de se sentir peu à peu perdre pied en face d'une personnalité de femme qui prend le pas sur vous et à qui vous allez donner les rênes, confier le pouvoir et le reste pour des plaisirs troubles et inavouables.

Pour autant, ce n'est pas habituel. La rareté en fait le prix.

Je cherche probablement à retrouver dans ces instants privilégiés mes premiers émois d'adolescent, ces troubles qui me dirigeaient d'abord vers des dames au caractère fort, "maîtresses" femmes plus âgées que moi qui auraient sû comment me mener vers l'abandon, la honte, la douleur et la jouissance mêlées.

Ensuite, les premiers désirs sexués venant, c'est moi qui ai pris le pas sur mes compagnes et les ai emmenées dans mes enfers. En dirigeant le jeu.

"Jeu" est un mot que j'emploie souvent et que certaines femmes n'aiment pas.
C'est pourtant purement ludique à mon aune, ce qui ne veut pas dire que l'investissement n'est pas total au moment de vivre des émois profondément ancrés...
D'un côté comme de l'autre.

Mais ce n'est pas un art de vivre. Juste des envies vécues et assumées avant de revenir à la vie de tous les jours, pleinement apaisé...

3 commentaires:

Sof-e a dit…

Ca fait parti de mes fantasmes, mais le moment n'est pas venu de le réaliser et peut-être qu'il ne viendra jamais. Je n'y tiens pas spécialement.

N. a dit…

Assez amusant cette femme au bureau.

Je ne sais ce que penserait mon mari de ce retournement de situation ?

Ellie C. a dit…

Moi je sais. Quand je lui ai parlé de switch (juste pour information…), il m'a regardé par dessus ces petites lunettes, avec son air de - cause toujours ma cocotte, tu ne perds rien pour attendre !