1429 - Pas d'Auteur connu. Ça ressemble à un dessin allemand...
Une amie virtuelle me confiait récemment que ça l'amusait beaucoup de lire sous ma plume que j'étais switch à 10 %. 90% "dominant", le peu restant attribué à ma part de "dominé". Et qu'elle n'en croyait pas un mot.
Sa théorie, c'est surtout que je n'ai trouvé au fond aucune femme suffisamment investie pour contribuer à faire évoluer mes statistiques personnelles en faisant pencher la balance de l'autre côté.
Ou au moins à 50/50.
Ce n'est pas tout à fait vrai. J'ai eu quelques approches réussies avec de "maîtresses femmes" au fil des années. Chacune contribuant à révéler ma part d'ombre. Très rares, d'où le pourcentage que j'indique...
Qui sait si tout ça n'évoluera pas un jour ou l'autre ?
5 commentaires:
Récemment lors d’une insomnie j’ai vu ‘Inju –la bête dans l’ombre’ un film de Barbet Schroeder. L’héroïne est installée telle ‘ce monsieur étiré sur son bureau’ pour une séance de punition très Bdsm.
Dans le style érotique ce n’est pas vraiment la scène la plus captivante ; j’ai préféré d’autres moments moins explicites et bien plus dans l’évocation que dans l’illustration.
C'est rigolo d'arriver à extrapoler sur un dessin d'humour en en parlant sérieusement. C'est sûr que quand je vois le type à poil et à plat-ventre sur ce petit crobard, je n'arrive pas à imager la même situation en "réel"... Même si je sais que c'est "possible".
De Barbet S. je retiens "Maîtresse" dont j'ai déjà parlé ailleurs et surtout - ça n'a rien à voir - le film sur Idi Amin Dada...
Je me souviens de cette scène aussi, j'ai nettement préféré celle ou elle glisse d'elle même ses poignets dans des liens et qu'elle tend la corde à l'homme en face d'elle.
Mais la fin de l'histoire nous apprends que ce n'est pas forcément l'homme qui "tenait les ficelles".
Bien entendu Amoureuse que je pensais à cette scène "précise" qui est terriblement érotique même si elle est bien moins explicite.
Et la scène de 'pieds' m'a intéressée, aussi.......:-))
Ah oui, la scène de pieds...j'en ai parlé il y a peu d'ailleurs, d'une extrême sensualité. Certains films peuvent ouvrir à d'autres horizons...;-))
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