30 janvier 2010

La fête à Marinette...

1453 - Une chanson sur les ondes. Denis Pépin... "Marinette", qui s'en souvient ? À la base c'est du Brassens, remarquez...

Et un roman-photo qui n'a pas de rapport mais que je monte sur le blog tout en fredonnant la ritournelle de ce chanteur sans prétention, mort mercredi dans l'anonymat...

Marinette. La fille pourrait s'appeler comme ça, c'est l'époque...

En fait, comme il n'y a ni bulles ni légendes, plutôt une suite d'images pour faire une séquence complète. Commencement, milieu, fin... Publié dans de petites revues grivoises en noir et blanc, façon "Paris Fripon", "Paris Hollywood", " Folies de Paris" (enfin "Paris quelque chose", cochonneries et petites saletés étant exclusivement l'apanage des Parisiennes, c'est bien connu...) qui ont fait le bonheur de génération de lycéens boutonneux et de barbons en mal de branlettes dans les années 50 et 60 mais n'existent plus depuis belle lurette.

C'est plutôt mignon, mais ce devait être épouvantablement porno, à l'époque de la parution...

Là, l'Roger rentre de son taf à l'usine et surprend Marinette sur la table en formica avec sa machine à coudre Singer achetée à crédit. Un problème avec son pull ? Elle ne serait pas en train de tenter de réparer en douce une de ses gaffes domestiques habituelles ? Genre le fer trop chaud qui brûle la chemise, dans la lignée du lait qui déborde... On avait dit: "pas les habits..."

Visiblement, oui... Il y a eu bêtise. Explication ? C'est un sanguin, Roger.

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, la belle est retournée et s'en prend une.

Roger a la main lourde. Et quand il fesse, il déculotte. Normal...

Mais à un moment donné, quand il juge que la punition est suffisante et que les fesses de sa belle ont atteint une belle couleur uniforme, l'homme n'est pas chien.

Il conclut avec une dernière volée avant de prendre la petite par le menton et de la gronder doucement en lui faisant les gros yeux...

Elle acquiesce, demande pardon...

Prétend qu'elle ne le refera plus. Gros doute.

Là, évidemment, c'est pour la bonne forme, elle va recommencer, c'est dans sa nature.

En fait, elle aime ça. C'est même son moment préféré...

Après le baiser. Baiser, d'ailleurs, c'est ce qu'ils vont probablement faire, les sens désormais bien en éveil... Mais pour nous lecteurs, reste l'imagination, car la séquence est terminée...

2 commentaires:

Emma a dit…

Le bout de manche cousu, là voilà , sa bêtise. ça arrive... laisser des épingles dans les coutures aussi... quand on est un peu distraite.ça me ferait plutôt rire , lui , non.

Stan/E. a dit…

Comme quoi fallait une fille pour expliquer à un garçon un truc de couture...

Merci Emma, je n'osais comprendre au vu des images tant ça me paraissait impensable ! La "salope" ! Elle l'a bien mérité.