
Et un roman-photo qui n'a pas de rapport mais que je monte sur le blog tout en fredonnant la ritournelle de ce chanteur sans prétention, mort mercredi dans l'anonymat...
Marinette. La fille pourrait s'appeler comme ça, c'est l'époque...
En fait, comme il n'y a ni bulles ni légendes, plutôt une suite d'images pour faire une séquence complète. Commencement, milieu, fin... Publié dans de petites revues grivoises en noir et blanc, façon "Paris Fripon", "Paris Hollywood", " Folies de Paris" (enfin "Paris quelque chose", cochonneries et petites saletés étant exclusivement l'apanage des Parisiennes, c'est bien connu...) qui ont fait le bonheur de génération de lycéens boutonneux et de barbons en mal de branlettes dans les années 50 et 60 mais n'existent plus depuis belle lurette.
C'est plutôt mignon, mais ce devait être épouvantablement porno, à l'époque de la parution...

Visiblement, oui... Il y a eu bêtise. Explication ? C'est un sanguin, Roger.




Il conclut avec une dernière volée avant de prendre la petite par le menton et de la gronder doucement en lui faisant les gros yeux...
Elle acquiesce, demande pardon...
Prétend qu'elle ne le refera plus. Gros doute.

En fait, elle aime ça. C'est même son moment préféré...

2 commentaires:
Le bout de manche cousu, là voilà , sa bêtise. ça arrive... laisser des épingles dans les coutures aussi... quand on est un peu distraite.ça me ferait plutôt rire , lui , non.
Comme quoi fallait une fille pour expliquer à un garçon un truc de couture...
Merci Emma, je n'osais comprendre au vu des images tant ça me paraissait impensable ! La "salope" ! Elle l'a bien mérité.
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