1522 - Tiens, pour revenir au sujet de base. Quelques images de Sara corrigée par Mike qui me font réfléchir, en provenance directe du site Real Life Spankings... Dont la fameuse position du diaper.Diaper ? C'est les couches de bébé, littéralement. D'où le nom de la position... Alors, la demoiselle garde les jambes relevées, en l'air comme pour être changée, mais c'est avec la main ou tout autre instrument que ça se passe pour lui claquer les fesses...
Après pour le talc , c'est vous qui voyez...
J'ai déjà "pratiqué" ainsi de temps en temps, mais ma posture préférée, c'est toujours sur mes genoux, au final. Une sorte de cérémonial, de passage obligé dans ma sexualité de dévoyé... Ou encore, la prendre sous le bras, avant de la déculotter comme une gamine rageuse...
Quand à la dernière image, parle-t-elle à certaines filles, ou bien est-ce trop axé punitif et moins érotique que d'envoyer sa partenaire au coin après une bonne fessée ?J'avoue que là encore j'ai peu agi de la sorte avec mes compagnes dont le punitif n'était pas le moteur principal, même si la vision est plaisante.
Pour lui.
Mais il me semble que les filles qui ont été corrigées et bien fessées, quel que soit le "scénario" du couple dans l'instant partagé, ont ensuite bien plus besoin des bras de l'homme et de ses phrases de réconfort dans le creux de l'oreille que d'aller au coin et la culotte baissée, comme une gamine punie.
Quoi que, ça peut se défendre...
Images © Real Life Spankings
25 commentaires:
Je ne connaissais pas la signification de la fessée en "diaper" voici encore quelques mois... On apprend à tout âge !...
Il m'était arrivé au cours de joutes mouvementées de l'utiliser, mais je ne savais pas que cela portait un nom précis...
Si j'en crois les confidences d'une amie à qui la chose est récemment arrivée ( et je la crois sans peine ) être fessée de cette manière prend sa pleine saveur lorsqu'on reçoit la fessée devant témoins...
Il va de soi que, dans cette posture, la punie est contrainte d'exhiber les trésors les plus secrets de son anatomie.
Comme je l'ai dit souvent, entre amants, la honte - je parle de la honte jubilatoire - est très émoussée ou n'existe plus, mais lorsque Monsieur corrige son amie en public, il n'en est pas de même...
Et Mademoiselle X, au comble de l'émoi, a dû montrer de surcroît aux spectateurs de sa punition les conséquences humides que la situation lui procuraient !...
Honte et super-honte !...
Elle en garde un excellent souvenir...
Ben tu vois, amigo, j'ai découvert aujourd'hui le sens réel du mot. J'avoue que bien que parlant pas trop mal l'anglais, j'avais eu peu l'occasion de parler de couches à qui que se soit d'anglo-saxon...
Excellent souvneir, je n'en doute pas...
En fait, la mise au coin peut être pratiquée comme une sorte de mi-temps pour jouer les prolongations. Ce n'est pas le but final, voyez vous...?
C'est quoi, "le but final" ? S'il y en a un...
La mise au coin est une étape que j'aime (mais pas la dernière bien sûr). La photo est très belle
Le but final c'est, hmmmm 'le bouquet final'...:) chacun le composera selon son inspiration avec les fleurs et les feuillages de saison.
@ Ellie: j'aime bien l'expression... Composons donc avec des fleurs de saison, au gré de l'inspiration. Mais le "bouquet final" incite à dire qu'il y a une fin, et je n'aime pas l'idée... Une étape de plus dans une forme de continuité me va mieux qu'une petite mort, aussi douce soit-elle.
Fût-elle glorieuse et au champ d'honneur...
Personnellement je n'ai rien contre la petite mort... et puis , Stan , là, on peut mourir plusieurs fois. Non , je n'ai rien contre. Rien du tout!
Emma
Bon alors on va dire 'Apothéose' au lieu de bouquet final, hein,je ne suis pas 'quai de gare' non plus...
PS - Pour la petite mort, n'oubliez pas Stan que comme les chats, les filles ont plusieurs vies, obligatoirement nous avons une appréhension différente du mot 'fin':)
Pour le bouquet, bien que les fleurs "soyent périssables et les bonbons, c'est tellement bon", j'avais pensé à un petit bouquet d'orties. Mais à la réflexion, je ne suis pas attiré autrement que intellectuellement par l'affaire, l'idée de devoir prendre un gant pour éviter le côté urticant me laisse de marbre. Et puis j'ai envie de trucs à la main. Sans cuir ni plantes vertes...
Je n’aime pas le ‘coin’. Non pas parce que cela me gêne mais bien au contraire parce que cela ne me gêne pas.
C’est un non-lieu. Je crois que pour en dégager du bénéfice, pour y trouver un quelconque plaisir il faut avoir envie de repentance.
Ce n’est pas mon cas, j’aime la fessée mais n’en ai jamais reçu pour expier une quelconque faute. Je suis parfaite et vous le savez :-)
Bonsoir Stan,
Le blog est devenu bien silencieux tout d’un coup, vivement le mois d’octobre … je l’espère en tous cas, je ne sais plus bien depuis que vous avez mis ce point d’interrogation ?
Petite anecdote en lisant votre post sur la position "diaper". J’ai toujours trouvé cette position très étrange, très éloignée de ma position préférée, sur les genoux, si émotionnellement sécurisante. Autant je pouvais envisager sans problème d’être couchée sur le lit, ou même à "quatre pattes", car ces positions faisaient parties de mon univers érotique, autant cette position "langée" ne m’inspirait aucun souvenir érotique au fantasmé auquel me raccrocher. Par ailleurs, je n’en voyais pas l’intérêt, si ce n’est pour l’autre de se rincer l’œil, sans beaucoup de finesse…
Alors quand il commença à m’en parler, le moins que l’on puisse dire c’est que je ne fus pas vraiment enthousiaste. Mais bon, j’acceptais toujours avec bonheur la règle du jeu qui établissait qu’à ce niveau-là ce n’était pas à moi de décider… donc le jour où, après m’avoir dûment fessée sur ses genoux, il me releva et me demanda de me coucher sur le lit, je ne fus pas vraiment surprise de l’entendre dire
- non, sur le dos... relève tes jambes, tiens les avec tes bras.
J’obtempérais donc, sans grande conviction et la fessée repris, quelques claques plutôt légères. Je sentis alors sa main caresse sur mon intimité, très douce, le jeu de ses doigt sur mon clitoris... Surprise, je penchais ma tête pour chercher son regard. La première chose que je perçue fut son sourire, son regard si doux, son signe d’assentiment… je me laissais alors doucement glisser vers la jouissance.
Voilà, donc finalement expérience très plaisante, même si elle ne fait toujours pas partie de mes fantasmes :)
Un joli témoignage... Merci Amandine. Le blog est en sommeil, mais je résiste. Et c'est dommage, parce que j'ai trouvé plusieurs choses dont j'ai fort envie de parler et qu'il me faudrait de temps pour "partager"...
Cette position que j'ai essayé, ne me convient pas.
Je préfère de loin la position classique sur les genoux. Pour moi cette position est une position de proximité que nulle autre n'égale.
j'aime me sentir proche de mon ami. J'aime ce côté sécurisant et inquiétant aussi.
Pourrait-on dire que je suis classique ? Probablement.
Je n'ai pas fait ça encore, j'ai certes essayé, du bout des doigts mais ça ne fait pas partie de mes automatismes, alors que la posture sur les genoux est un classique "évident" que j'apprécie plus que tout dans ce domaine précis.
Mais je ne dis pas que je n'essayerai pas "pour de bon" à l'occasion, si l'envie est mutuelle et partagée au même moment.
@ Amandine: le point d'interrogation, ? c'est probablement pour ne pas me mettre la pression sur une date qui approche et qu'il faudrait "respecter" forcément. Bref pour ne recommencer que quand je le voudrai, demain ou dans six mois...
Alors il y a une révision de vision...
Un doute ? Une incertitude ? Un manque de motivation ?
Je suis vraiment arrivée trop tard alors...mais pas trop tard pour lire ce qui est déjà publié heureusement.
Non, je suis très motivé, mais je n'ai pas le temps nécessaire... Vous n'imaginez pas à quel point rédiger quotidiennement des posts, trouver des liens, rechercher des images, les modifier parfois, en créer d'autres... est chronophage.
Maintenant c'est sûr que si c'est pour faire comme le font certains - qui postent une photo sans commentaire aucun - ce n'est pas très difficile, mais n'offre pas le moindre intérêt à mes yeux.
J'imagine la tâche de travail que cela représente. La richesse du blog parle à elle seule. Il faut avoir beaucoup de disponibilité.
Si ce blog était similaire au autres domaines qui traitent du sujet de manière superficielle...je ne viendrais pas ou plus...
Donc, patience, c'est ça ? (un trait de caractère qui me fait défaut, rires)
C'est très "féminin", ce manque de patience, non ? Air connu...
Je racontais juste cette petite anecdote pour souligner combien, dans ce domaine comme dans tout autre, les préjugés peuvent être stupides. Bien sûr une fessée sur les genoux me semble absolument indispensable pour assurer la sécurité affective des deux partenaires, mais ensuite oser essayer des choses qui nous paraissent à priori bien loin de ce que l’on désire peut faire partie du "trouble" que l’on recherche tous. Cela peut-être une bonne découverte, ou pas, mais peu importe tant que cela se fait en toute complicité et confiance. Et puis, les "petits ratages" ne sont-ils pas ce dont on se souvient longtemps, avec amusement (tant qu’il s’agit de ratage entre 2 partenaires complices et non de ratages de partenaires, nous sommes bien d’accord…) ?
Stan, prenez votre temps, même si nous ne sommes pas très patients, nous prendrons sur nous, la seule chose qui importe est que vous repreniez le blog un jour ... et puis avec tous les posts que vous nous avez déjà offerts, nous avons de quoi lire ou relire... :)
Tout dépend ce que sont les petits ratages. Sujet sur lequel, je ne m'étendrai pas. Juste, j'ai connue une très mauvaise expérience qui m'avait donnée envie de ne plus entendre parler de fessée.
Un homme a su me ramener mais bien plus tard.
"Essayer n'est pas adopter". J'ai essayé un peu mais : Je reste désespérément classique dans la fessée et ça me plait ainsi.
Euhhh, en fait, c'est pas LE manque de patience qui est très féminin, ce serait plutôt L'IMPATIENCE...si l'on s'en tient au sketch de Roland Magdane dont je suis pourtant loin d'être fan:
"La langue française est quand même bizarre.
Pourquoi dès que c'est UNE galère, c'est tout de suite au féminin ?
LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c'est pour vous les filles. Ah ben oui !
Nous, c'est LE soleil et LE beau temps, voyez ?
Mais vous, vous avez pas de pot : LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA pattemouille.
Nous, c'est LE café dans LE fauteuil avec LE journal, et ça pourrait être LE bonheur si vous ne veniez pas nous foutre LA merde.
Ah, j'ai rien inventé, la langue française est quand même bizarre...
Mais ne voyez aucun sexisme là-dedans, oh non !
D'ailleurs, entre parenthèses, je vous signale que le mot sexe n'a pas de féminin.
On ne dit pas UNE sexe, on dit LE sexe d'UNE femme, ça fait quand même plus sérieux, eh oui!
D'ailleurs, dès que c'est sérieux, comme par hasard, c'est tout de suite au masculin :
On dit UNE rivière, UNE p'tite rivière, mais UN fleuve, on dit UNE voiture, mais UN avion avec UN réacteur et pas UNE hélice de merde, là !
Et quand il y a un problème dans un avion, c'est tout de suite UNE catastrophe, hé ! hé !
Alors, c'est toujours à cause d'UNE erreur de pilotage, d'UNE mauvaise visibilité, bref à cause d'UNE connerie.
Et alors, attention, dès que la connerie est faite par un mec, tout de suite, ça s'appelle plus UNE connerie, ça s'appelle UN impondérable !
Enfin, moi, si j'étais vous les filles, je ferais une pétition.
Et il faut faire très très vite parce que votre situation s'aggrave de jour en jour :
y'a pas si longtemps, vous aviez LA logique, LA bonne vieille logique féminine.
Ça, les mecs, ça leur a pas plu, ils ont inventé LE logiciel.
Mais vous avez quand même quelquefois de petits avantages :
On a LE mariage, LE divorce, vous avez LA pension. Vous avez LA carte de crédit, on a LE découvert...."
Mmmfff, je sens que je vais encore me faire taper sur les doigts because je sors des clous, because c'est pas le sujet du blog, because je relève un détail...
Non, vraiment, il vous fait pas sourire, ce texte?===> Ok, ok, je file hors de votre vue!
bah non, et puis je ne tape pas sur les doigts, mais essentiellement sur les fesses. Je crois que ça se sait, ici...
Les ratages m'intéressent autant que les réussites. Parce que ça donne du poids et une raison d'être à ce qui est réussi, du coup.
Enregistrer un commentaire