1472 - C'est une illustration datant de 1962, parue dans un journal américain de faits-divers un peu sulfureux...
Pourquoi diable cette scène de chaise électrique m'évoque-t-elle une fessée ? Comme si je n'avais entendu que la fin du second mot...
Je ne saurais le dire. Peut-être que cette jolie demoiselle entravée assise et immobilisée est dans l'attente, précisément... (je suppose à Sing-Sing...)
Revenons à nos jeux... La patience, l'attente en sont des adjuvants forts.
J'ai croisé il y a quelques mois une fille pressée qui voulait tout, tout de suite... Mais n'a rien eu. Attendre, laisser monter la pression, l'angoisse, l'excitation, c'est une part essentielle du cérébral nécessaire à mon bonheur.
Et au vôtre ?..
8 commentaires:
La posture peut être excitante, ce que je doute pour cette jeune femme qui semble être sur la chaise électrique...
To me, the image looks like a female prisoner sitting in an electric chair awaiting execution. The chair shown in the image appears to be similar to "Old Sparky" used at Sing Sing Prison and which is pictured in the Wikipedia at URL:
http://en.wikipedia.org/wiki/Electric_chair
Notice for example the wing nuts (in your image, they are the gray objects to the left and right of the woman's lower legs. (If you don't know what a wing nut is, there is an image of one at URL: http://en.wikipedia.org/wiki/Nut_(hardware)).
Oui bien entendu, c'est un symbole... Et la chaise électrique en est un, fort. Je suis au courant... (ok, c'est moyen)
Et c'est vrai que j"avais occulté un peu le sens initial de l'image,là...
@ informer: thanks...
Je suis la plus grande spécialiste de « l’attente » qui soit.
Parfois c’est sublime, parfois terrible....
"Croisé"..."fille pressée"...Stan, on sent dans le choix de vos mots qu'effectivement l'osmose n'était pas là... Alors je partage entièrement votre sentiment, la tension, le rapport de forces, l'attente puis l'angoisse de l'attente est primordiale et une fessée sans cette excitation préalable risque de paraître bien fade...Encore qu'en y réfléchissant, une fessée ne m'angoisse pas, enfin, ça dépend aussi de pas mal de choses, disons que si mon conjoint me fesse je sais que je vais surtout éprouver des sensations voluptueuses, et je n'angoisse pas à l'idée de prendre du plaisir... Pour vous qui connaissez un peu mon parcours fesstif, les choses ont évolué voyez-vous, mais l'absence de l'idée de punition maintenant me gêne un peu... nous sommes bien compliquées nous les femmes... ( je sais c'est une généralité)...
@ PNC: Non, mes mots ne sont pas "posés" au hasard. Je me connais et sais ce que j'aime. Ou "attend", si tant est que "j'attende" quelque chose.
Or rien n'est pire dans ces jeux que d'agir dans l'urgence, pour combler une envie... Parfois mieux vaut ne rien faire que de faire mal (sic...) vous en conviendrez.
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J'ai depuis des années appris à ne plus avancer malgré moi. C'est une façon de dire que l'attente fait partie de cette cérébralité sans laquelle ces petits plaisirs ne sont qu'un bête et banal "panpan cucul" de base sans attrait, ni âme, ni indispensable émotion, ce qu'à l'évidence nous voulons éviter, j'espère.
Ceci veut aussi dire que non, je ne joue pas avec n'importe qui... La rareté est facteur "aggravant". Même si ça pèse parfois.
Ravi de vous relire ici... Une plume comme la vôtre ne peut que faire débat.
Je ne jugerais pas cette femme pressée. Les hommes le sont souvent.
Pour autant, ce n'est pas mon fonctionnement. J'attache toujours autant d'importance à mes rencontres. Besoin de sentir que ce n'est pas "interchangeable" pour reprendre un de vos mots. Et puis j'ai tendance à fuir si je sens qu'on cherche à m'accrocher. Mais me laisser venir à petits pas, c'est la bonne façon. (Pour moi). Y a tellement autre chose que le jeu de la fessée. Pour en arriver là. Y a d'autres tours à prendre d'assaut avant.
"Attendre, laisser monter la pression, l'angoisse, l'excitation, c'est une part essentielle du cérébral nécessaire à mon bonheur." C'est sadique ça ! Mais c'est justement ce qui nous rend complètement dingue de celui qui sait faire monter cette pression jusqu'au moment où... Mmmm l'attente est presqu'aussi exquise que l'évênement lui même. Un peu comme l'enfant qui attend que le Père Noël dépose les cadeaux au pied du sapin...
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