Je crois que je vous ferai plus sourire que frémir: pas de château, ni de divin Marquis, ni de Renée emmenant son O en taxi à Roissy pour lui lire une histoire... (Roissy ? pas l'aéroport, quand même ? Je me suis toujours demandé où c'était situé, dans le bouquin de Réage...)
Pour le moment, plus de fous-rires que de troubles, mais parfois, il y a eu de réelles approches vibrantes... Je dois être plus dominant que soumis, sans doute en fin de compte...
Avec un petit coin d'ombre, toutefois. Juste la place d'un parasol.
Et j'adore ce dessin de Rodzo...
Image © Rodzo
3 commentaires:
Ah, oui, faudra nous raconter! c'est si rare de lire un de vos récit lorsque c'est vous qui êtes de l'autre côté du miroir. D'ailleurs il me semble qu'à part l'évoquer de temps à autre, jamais vous n'avez osé l'écrire vraiment. Avez vous peur de perdre votre crédibilité de fesseur?
Ma "crédibilité de fesseur" ? En voilà un terme sérieux. Ma foi, je ne vends rien, et ma "crédibilité" dans ce domaine est intacte. Une marque de voiture a un devoir de crédibilité pour préserver son image à tout prix, mais pour ma part je n'ai rien à prouver à personne, à part à celle qui joue avec moi. Et encore, je parle de complicité, de regard, de jeu partagé...
Mais au fond dans un cas de figure épicurien, ce que vous semblez vouloir dire est que peut-être il est logique celle que JE fesse ne soit pas celle qui ME fesse, pour ne pas créer d'interférences ? Je n'ai pas de réponse précise. C'est selon.
Chaque cas est partiCULier au fond. Certaines filles n'aiment qu'un aspect du jeu, d'autres se délecteront des deux facettes. Je ne sais pas. Il n'y a pas de règles autres que celles qu'on établit avec son complice...
"crédibilité de fesseur", une simple provocation pour vous entendre sur le sujet.
Et entièrement d'accord sur votre dernière phrase.
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