Elle se tient à plat-ventre sur le lit de ses parents, visage confit de larmes et rimmel en rigoles noirâtres étalé sur les joues... Ses fesses sont encore bouillantes et rouges, marquées de la correction qu'il vient de lui appliquer rageusement, sans concession. S'il approchait sa main des rondeurs de la belle, il sentirait cette incroyable chaleur qui monte et irradie du rond séant, comme un petit radiateur d'appoint.
Un mois toute seule dans la maison familiale. Pour la première fois de sa jeune vie, ses parents naturistes, partis comme chaque année dans ce camping de la côte Atlantique, ont accepté à sa grande surprise qu'elle ne vienne pas avec eux comme d'habitude. Elle s'attendait à un refus mais du coup, ravie d'enfin rester un peu seule, elle profite de ses dix-huit ans en jouant à la grande...
Fière d'avoir un amant de vingt ans plus âgé qu'elle...
Elle sait déjà dans ses recherches hasardeuses ce qu'elle aime et ce qui lui plaît moins. Lui a érigé d'autorité la fessée comme dogme de base de leur sexualité et il n'y a pas de fois où elle échappe à la correction quand ils se voient. C'est devenu un rituel, un passage obligé. Qui se conclut en elle...
Et puis le temps a passé. Elle s'est mariée, l'a perdu de vue, a eu un enfant, un travail, une vie, quoi... Ses fantasmes ont évolués. Celui-là est resté dans un coin de sa mémoire, peu usité car ses partenaires n'en étaient pas friands, elle a eu avec eux d'autres envies, toutes vécues.
Mais elle a senti qu'il suffirait d'un simple signe de sa part pour réactiver ces désirs-là, depuis qu'elle l'a recroisé dans un cocktail il y a quelques mois, avec trouble à la clé. Redevenue instantanément gamine, bafouillante et rougissante, bref à la merci d'une bonne fessée comme avant...
C'est latent. Rien ne dit que ça lui arrivera à nouveau avec lui, mais d'un coup son univers ségurien et ses enfers réapparaissent dans sa libido pourtant déjà riche...
Quinze ans plus tard, le trouble agit toujours. C'est comme le vélo, la fessée: ça ne s'oublie pas !
PS: On me posera peut-être la question de ce qui est vrai et la part de ce qui est inventé dans ce post, bref, si c'est basé sur un fond authentique ou pas. La réponse est oui, mais qu'importe, hein.
Pour autant, ça valait bien une réponse de l'intéressée, forcément.
Pour autant, ça valait bien une réponse de l'intéressée, forcément.
11 commentaires:
Very nice blog.
Plus rouges que celles la me semble un défi difficile à réaliser !
Aïe!! ;)
J'aime ce commentaire, chère Alex, même s'il est... un peu court.
Bon, pour la rougeur (esthétique et ici "truquée" de ma part comme le rimmel ajouté), cher PdN, je peux vous assurer qu'on y arrive très bien. Fessez donc avec la main mouillée sur un séant tout aussi humide, au sortir de la douche par exemple, tiens... Et N. m'en dira des nouvelles.
BabyMan: thanks, indeed...
Tu donnes des conseils maintenant ? Même si je confirme la validité du procédé... ;)
Oui, c'est vrai que ça fait un peu technique et recette de grand-mère que ces "conseils de tonton Stan" mais le truc a fait ses preuves.
Les filles sauront que ça claque très joliment bruyamment et qu'ensuite en dépit de la rougeur, ça "disparait" aussi très bien et sans bleus disgracieux. Tu confirmes, là ?
Je confirme ;) Très pratique
Adorable !
J'approuve la réponse de Kat. Une gamine , passé trente ans ! non , mais !Faut pas abuser , là!
... je revendique le droit de rester une gamine, même passés les 40 !
@ Emma: c'est un jeu, évidemment. Parfois, s'abandonner et se laisser glisser vers ces troubles-là peut induire une idée de "gamine" assez forte et qui "fonctionne". Je l'ai vécu, même avec qui a passé 40 (de peu...), effectivement.
De vraies décideuses, ravies de s'abandonner un peu à qui sait décrypter.
Vous allez rire: je sais !
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