L'argot d'antan laisse rêveur. Et de temps en temps, je tombe sur un Malteste que je ne connaissais pas... Vous en trouverez d'autres, ici.
Je précise qu'il a probablement dû écrire le livre ci-contre sous le pseudo de Jacques d'Icy, qu'il utilisait parfois. Textes ET dessins, donc !
Ce sont les regards des protagonistes qui valent le coup d'œil, chacune dans son rôle, celle qui fesse, celle qui subit et... Celle qui regarde.
On n'a pas l'impression qu'elle attend son tour mais qu'elle prend une joie méchante et un brin sadique à voir corriger l'aînée.
Ou alors, elle aime ça, va savoir. Fessée, être fessée, faire fesser...
À noter le martinet pendu au dossier de la chaise... Appréciez:
"Pour bien fesser, il faut une main plutôt grande. La sienne était longue et couvrait bien, coiffait bien la fesse qu'elle claquait. Plus j'allais, plus je l'aimais, sa main. Aucune main de femme ne m'a produit, depuis, un effet pareil. Elle avait vite fait de m'amener au paroxysme, sa main. Cela tenait du prodige...".
Dessin © Louis Malteste
1 commentaire:
Très vieille dame pas douée en informatique, j'ai été infoutue d'utiliser le formulaire de commentaire. (je m'en charge donc. note de Stan/E.)
Par contre, je me targue de connaître un peu la littérature flagellante et ses illustrateurs.
Le dessin que vous commentez dans votre billet du 27 août, "Jeux de mains d'hier", est tiré de "Monsieur Paulette et ses épouses", un chef-d'œuvre ès-fessées lesbiennes.
D'autre part, je vous avais transmis, il y a quelque temps la photo N&B dont s'est inspiré le dessinateur que vous évoquiez le 3 mars dans "Bras de traviole", j'ai déniché depuis une version sépia que vous fait partager aussi.
Encore bravo et merci pour la qualité de ce blog que je suis avec un intérêt qui ne s'émousse pas avec le temps.
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