C'est un film "culte" marqué par la censure qui n'a pas grand-chose à voir avec le Dalaï-Lama et dont j'ai énormément entendu causer, sans l'avoir jamais vu. Le film, je veux dire...
"Béatrice, étudiante en philosophie se rend chez madame Renée, une maquerelle, afin d'expérimenter l'art de la sexualité. Charmée par sa silhouette élancée et son regard ingénu, Renée embauche la belle sur le champ.
Béatrice prend le nom de Julie et se vend à des hommes fortunés, adeptes de relations plurielles, sadomasochistes, orales...
Un soir, un client la séduit, Jean-François, riche et séduisant publicitaire. Béatrice cesse ses activités, interrompt ses études et ne consacre sa vie qu'à l'attente, souvent vaine, des faveurs de son amoureux. Lassée et convaincue d'une révélation spirituelle, elle frappe à nouveau à la porte de la maquerelle et enchaîne les passes pour financer son futur voyage en Orient..."
J'étais un fidèle auditeur de François Jouffa, (c'est le chevelu en train de diriger la levrette...) bien avant de savoir qu'il avait commis cette "bonzesse" que probablement peu de gens ont dû fréquenter eux non plus, même s'ils en ont souvent entendu parler...
Toujours est-il que je tombe sur un article de Libé qui en parle, que le film sera projeté en version intégrale en septembre à l'Étrange Festival aux Halles, et que du coup vous pourrez vous faire une opinion si le cœur vous en dit...
Je ne sais pas si ce genre de scène très datée, une vieille maquerelle recevant une jeune candidate (et qui me rappelle quelques autres assez similaires dont une avec Françoise Fabian dans "Madame Claude" de Just Jaeckin et une autre dans "la dérobade" de Daniel Duval d'après le récit autobiographique de Jeanne Cordelier ...) serait encore plausible aujourd'hui...
Tiens... Et qu'est devenue Sylvie Meyer ?
PS 15/08/10: en fait, on la retrouve sous son second nom, Sylvie Matton, épouse du réalisateur Charles Matton mort il y a deux ans. De lui, je me souviens de son "Italien des Roses", qui révéla un jeune acteur alors inconnu nommé... Richard Bohringer.
Dessin affiche © Jean Solé
9 commentaires:
Je crois qu'elle est devenue réalisatrice, "Des montres à l'état pûr", et scénariste aussi pour des séries télé, notamment, amitiés.
Hééé non, Valmont, en fait celle dont vous parlez est une homonyme. Sylvie Meyer est connue sous le nom de son mari, Charles, et donc il s'agit de Sylvie Matton...
Bon, je pensais que ça intéressait un peu, mes petites sorties sur le cinéma, mais apparemment pas, on dirait... Dommage, moi ça m'intéresse, en attendant. Avec ou sans commentaires, même si je préférerais un dialogue autour de ces temps cinématographiques passés.
Waldo, rien à dire sur la bonzesse ?
Mais , c'est trop vieux , Stan ! moi , je connais pas cette dame , j'en ai jamais entendu parler.
Z 'avez pas un film + récent?
Ah , ça va pas recommencer , les com anomymes!
73, trop vieux ? Pas pour moi... Même si ça me parait bien loin. Et puis ce sont des années magiques, les années 70. Quand au film, regardez, commentez et ne vous plaignez pas, je fais votre culture ciné !
Juste à cause de l'affiche...
See you later allogator.
Vous connaissez la réplique, je suppose...
Pfff un i évidemment ! alligator...
Hein, quoi, vous ne connaissez pas la réplique ? je vous la souffle alors... After a while, crocodile !
ou encore In a while...les avis sont partagés.
Just to tell you goodbye for today !
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