1866 - Inspirante que cette main noueuse d'homme posée sur un cul de femme, dans un presque geste de propriétaire... J'aime profondément.
Elle est menottée...
Lui attacher les mains pour décider de son sort et lui meurtrir les fesses sans qu'elle ne puisse intervenir en dépit de la brûlure, de la douleur, même. Sans se soucier de ses cris non plus. Au fond, lui rappeler que le bâillon n'est pas fait pour les chiens...
Vous avez dit "pour les chiennes non plus !", en riant sous cape ?
Elle ne se défend pas d'ordinaire, remarquez. Quand elle est punie, elle sait très bien pourquoi et assume. Ça l'équilibre...
Sa blanche culotte floconne, tire-bouchonnée aux genoux, enfouie dans les plis d'un jean lui aussi jeté à bas. C'est lui qui l'a déculottée. Elle a, sur une injonction autoritaire, débouclé le ceinturon de cuir puis défait sans discuter les quelques boutons de son jean pour lui faciliter la tâche. Il a fait le reste, lui baissant le tout d'un geste vif.
Ensuite elle a tendu ses poignets pour qu'il les immobilise, mains derrière le dos... S'abandonner à la douleur, aux cris, aux larmes, aux sanglots libérateurs même, sans retenue. Sans pouvoir protéger son cul par un geste de protection réflexe, illusoire.
C'est la première fois qu'il l'attache, elle tremble un peu, ses fesses mises à l'air se couvrent d'une "chair de poule" impossible à maîtriser et qui d'ailleurs va bien vite disparaître sous les claques à venir... Elle n'a pas froid, va même avoir plutôt chaud. En attendant, elle a juste la frousse...
D'ordinaire, il lui laisse le libre-arbitre, elle peut d'un geste cesser le jeu. Cette fois, elle sent que ce ne sera pas possible, que le lien qu'il a serré autour de ses poignets a un sens encore plus restrictif...
Qu'elle va recevoir une bonne fessée, à lui couper le souffle...
4 commentaires:
Liée, c'est vrai. Contrainte, oui.ne pas avoir le choix. Mais ça me semble complètement different de l'histoire de N.
En fait , j'aimerai bien savoir ce qu'elle a ressentit , Elle, de n'"avoir pas eu le choix"?
Je rappelle que je voudrais des commentaires signés plutôt qu'anonyme. Merci d'en tenir compte, ne serait-ce que pour la logique et le suivi des dialogues...
Très jolie photographie. Le cadrage laisse la possibilité au regardeur d’imaginer.
Et votre histoire nous convie à cela ; à divaguer, à se laisser emporter par l’impromptu d’une situation. C’est votre talent.
Savoir que ça va être plus dur que la fois précédente...les tripes se nouent...
Les limites qu'il explore puis tente de repousser un peu plus chaque fois...
D'où la nécessaire confiance en Lui. Avoir cette douce certitude (qui n'empêche nullement de flipper, hein!) qu'il ne fera rien qui puisse me nuire car il tient à moi tout comme je tiens à Lui...
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