Un dessin de Manara, case extraite d'une séquence de je ne sais quel tome du célèbre "déclic" quand la belle Cristina est fessée à la ceinture par son vieil oncle devant un témoin qui n'en mène pas large, mais ne sait s'il est plus gêné que troublé, au fond...
Mais je vous en ai déjà parlé à maintes reprises. Simple prétexte, cette fois pour une histoire... comment dire ? "Personnelle" ?
... Elle s'est tournée, en rougissant, les yeux fermés et sans se rebeller. Elle pourrait d'un mot stopper le jeu trouble qui s'est mis en place entre eux dès l'instant où elle l'a retrouvé pour la journée.
C'est elle qui décide de son sort.
Lentement, millimètre par millimètre, elle relève sa jupe, dévoilant des fesses rondes marquées de quelques striures rouges griffées sur les rondeurs d'albâtre, souvenirs déjà un peu estompés de la dernière correction reçue. Comme par défi, elle lui expose son envers, avec une honte envahissante et le cœur battant, sans calculer l'émotion.
Ils sont sur un petit chemin en pleine nature, loin des promeneurs, mais dehors, on ne sait jamais s'il n'y a réellement personne. Ils ne cherchent pas de témoins, ça ne fait pas partie de leur jeu que d'imaginer des voyeurs ou des indiscrets venir troubler leur tête-à-tête.
Il regarde, comme à chaque fois fasciné par l'impudeur et l'esthétique de ces fesses qu'il va à nouveau rougir... Il aime sa "croupe", lui dit à l'oreille, la faisant du mot se cambrer comme une jument, précisément. Il l'empoigne, la courbe sous son bras comme une gamine, culotte entravant le bas des cuisses à hauteur du genou.
Ce n'est pas une fessée très longue, ni la plus confortable, il faut faire vite et poursuivre ensuite leur promenade comme si de rien n'était. Quelques bonnes claques sonores qui résonnent sur le chemin creux, avec un écho plaisant. Guère plus de dix, à peine une minute ou deux au plus...
Vrai qu'on est assez loin de ces fessées d'une demi-heure à la cravache ou au paddle évoquées sur les forums par des vantards (ou des performeurs qui préfèrent la quantité à la qualité) dont il n'est pas... Les Jeux Olympiques du sexe, très peu pour lui.
Le temps de toute façon ne fait rien à l'affaire. Ce ne serait qu'une seule claque que le trouble serait déjà présent.
Ils auront d'autres endroits, plus clos, où il pourra faire durer la punition sans crainte d'être dérangé par quelque importun que ce soit... Prendre le temps. Fesses cramoisies, en feu, incendiées sous la jupe retombée, masquant le rose, le rouge, le pourpre...
Seuls au monde, ce qui se passe autour n'a plus beaucoup d'importance.
Car au fond, l'instant le plus fort, plus encore que quand les claques tombent, c'est ce moment unique où on "ose" transgresser l'interdit et passer à l'acte, en sachant pertinemment qu'on vient de franchir un point de non-retour.
PS: le dessin me rappelle que je n'ai toujours pas envoyé l'original signé par Manara de la célèbre photo de Chupa que je viens de la retrouver dans mes cartons (la photo...)
Sorry, les amis. J'envoie, ou vous venez la chercher en Suisse (Fribourg) où je serai pour le job dans deux mois pile ?
Dessin © Manara
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