1960 - "Les fesses à l'air !"
C'est de loin le moment qui fait le plus battre le cœur. L'instant essentiel...
C'est pour ça que je déteste les strings ou même que je n'ai pas le moindre plaisir à découvrir qu'elle ne portait pas de culotte au bout du compte. C'est probablement érotique quand on l'exige ou l'impose, mais si ce n'est pas le cas, je n'aime pas trop qu'on me gâche ce trouble moment du déculottage...
Alors je vérifie d'entrée, de la main.
Elle rougit, mais me laisse faire en sentant, dès que je la retrouve, ma dextre se posant d'autorité sur sa jupe ou son pantalon en "propriétaire". Avant de se glisser - discrètement si nous sommes dans un lieu public où des gens nous entourent - de façon plus insidieuse dedans, directement entre chair et tissu pour évaluer l'objet du délit. Lequel sera bientôt inexorablement tiré vers le bas, saucissonnant les genoux, entravant les cuisses. Cul nu, ma chérie...
J'aime quand elle remue, silencieuse, mettant un point d'honneur à ne pas laisser échapper un gémissement, les dents serrées. En travers de mes cuisses ou sous mon bras, elle bouge, tente d'échapper aux claques, se débat, montrant ainsi à contrecœur chatte et trou du cul bien davantage qu'elle ne voudrait avec cette suite de trémoussements intempestifs. Il y a un temps pour tout.
Surtout qu'elle ne s'y attendait pas... Les jambes qui s'ouvrent, s'écartent puis se resserrent, difficile de maîtriser quoi que ce soit, juste subir et demander pardon. Grâce...
Mais si c'est lui qui choisit quand ça commence, normal qu'il soit aussi celui qui décide quand c'est terminé.
Terminé. Pour cette fois...
19 commentaires:
Moi aussi Stan, j'aime bien fesser sur la culotte (petit bâteau si possible), pour avoir le plaisir de la retirer... et la laisser choir à hauteur du creux des genoux.
"Cul nu, ma chérie..."
C'est très érotique tout ça Monsieur ! :)
Ne doutez pas que je le sois, Ellie. Je dois pouvoir dire ce genre de choses, à qui peut l'entendre.
Gourmande ou envieuse ?
@ Dame: poplité, le creux ?
"Gourmande ou envieuse ? "
Les deux, mon Général !... Cette question ! :D
Ne soyez pas envieuse, hein, ce n'est pas joli joli. Je vous apprécie gourmande et rieuse, voire outrageusement moqueuse, comme vous savez le faire en rebondissant de blog en blog (infidèle ! )...
Continuez...
Gourmande, 'envieuse', infidèle... Pfiouuu faut que je prenne dare dare RDV pour confesse, là !
Euh, en deux mots ?
:b
Un ;b, c'est un smiley qui tire la langue ? Mais... "C'est un peu court, jeune femme, vous auriez pu dire, ma foi, bien des choses en somme". Suit la tirade des fesses de sire Anneau que je vous laisse imaginer. On a aussi une version du corbeau et du renard amusante que je ne retrouve pas, qu'on peut lier à nos plaisirs de dévoyés.
Chère pécheresse, le père Stan recoit à confesse deux matins par semaine tous les après-midi, en sa paroisse de Disneyland. Sur RV. Contrition, expiation, rédemption...
:D !
Cher père Stan, pardonnez moi mais je me suis toujours demandé comment vous faisiez pour pratiquer La grande absolution dans votre confessionnal aussi étroit que les toilettes d'un 12m ? Ne pratiquez vous que spirituellement ? :D
Ps – La précision de vos horaires, mon père, laisse à désirer. Votre pratique en nécessite pourtant fortement... 0:)
Oh, mes horaires sont pourtant souples, autant que l'échine des pauvres pécheresses qui fréquentaient jadis ma paroisse, lorsque l'évêque qui me contrôle me laissait donner libre-cours à mon ministère. Il est vrai que ma chapelle pour laquelle je prêche est depuis bien désertée depuis des mois. Il faut dire qu'avec ce clocher en berne et ces vitraux cassés laissant passer les vents froids, je conçois que les dames qui ont à se faire pardonner des choses courent ailleurs dans des endroits mieux chauffés où de jeunes pères robustes savent manier les verges avec vigueur...
Je me fais vieux, sans doute. On me parle d'un retour des vocations, acceptons-en l'augure, ma fille... Parce que pour l'heure, je n'en vois pas la couleur (rouge cramoisi ou garance, forcément...)
Quand à la pratique, elle remonte à l'an passé... Mais c'est comme le vélo.
Aaaaah ça la chaleur du lieu, de l'ambiance, de la relation de l'émotions... sont absolument in-dis-pen-sable !
Mon père, c'est pas pour vous commander mais bougez vous le cul !Remontez sur votre vélo, reparez les vitraux, le clocher peut attendre ! :)
Les vitraux, j'suis dessus...
C'est pas la peine de réparer le chauffage , à mon avis. La fessée , ça réchauffe celui qui la donne et celle qui la reçoit. ;D
A part ça , les jours de confesse , pour moi , c'est pas un bon souvenir, sans vouloir gâcher votre délire. :D
zêtes fous , les deux:D
@ Emma: C'est vrai que ça nous éloigne un peu du sujet, je crois. Mais "confesse", le mot est connoté, avouez ! Mes deux passions réunies en une seule. Trop de bonheur. Pour les vitraux, je suis dessus. Le chauffage, ça va. Le clocher a des hauts et des bas, forcément. Mais on doit pouvoir l'ériger fièrement à nouveau, le moment venu. En attendant, le confessionnal est ouvert et attend ses "clientes"...
Je fais chauffer l'eau bénite.
:D
Formidable , il pense à tout, on peux même prendre un bain dans le bénitier !
Ps J'aimais bien confesse moi. Pendant c'était... rhmmmm :( après on ressortait toute neuve toute pardonnée... Tiens ça me rappelle qq chose ça.... :D
Contrition, pardon, rédemption... Avouer ses péchés et ressortir tout neuf du confessionnal après quelques minutes en les déposant sur les genoux du gars de l'autre côté de la grille, qui plus est tenu au secret des plus énormes, voire criminels, m'a toujours semblé d'une hypocrisie doucereuse...
Tu sors, tu peux recommencer.
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