2210 - "Une femme qui passe"...
Nostalgie du temps qui file entre ses doigts comme du sable, sans qu'il n'oublie rien... Ni son sourire, ses gestes tendres, son regard sur lui, toujours étonnamment affectueux et attentif, presque maternel, parfois. Ce coeur qui bat un peu plus vite, leur érotisme si proche, d'une gamme allant du doux aux rugueux, aux sensibilités quasi-jumelles. Ils se retrouvent à chaque fois... Toujours éblouis par tant d'osmose.
Il y a plusieurs minutes qu'il est réveillé et qu'il l'écoute dormir sans bouger, excité autant qu'attendri.
Avant d'oser. Un souffle, doux, calme. Il l'effleure.
Elle ne réagit pas.
Peu à peu, ses doigts s'emparent d'elle, s'introduisent en douceur, la laissant s'habituer à sa présence intrusive, chatte et cul dans un geste commun, la sortant d'un sommeil dont elle émerge lentement, en commençant à onduler très doucement.
Il y a toujours eu entre eux de ces moments plus calmes, avant de se retrouver dans des temps de brûlures comme sur la photo en Une...
3 commentaires:
Un très beau réveil que vous nous racontez là...
Belle journée à vous, riche de vos doux souvenirs.
Mmmm j'aime ce doigt autoritaire ! On préfèrerait cependant qu'il soit long et fin...en harmonie avec la belle silhouette de la jeune femme...
Oulala, je ne sais pas vous, mais moi là, ça y est ! Ça fleure le printemps !
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