2501 - "Butt Crack Cover"...
Un "cache raie des fesses", en clair. Pour éviter le fameux syndrome du plombier...
Étonnant accessoire inventé pour protéger et dissimuler de la vue des curieux le haut de la raie du cul de demoiselles qui font pourtant tout pour la montrer quand elle dépasse de leur string et d'un pantalon porté plus que "taille basse".
On a envie de dire qu'il suffirait pour éviter ça de simplement remonter le jean et de mettre une ceinture, ce qui permettrait de pallier à cet inconvénient majeur, mais au moins ça fait marcher le petit commerce.
Qu'en pense Nush, notre spécialiste de la mode ? J'ai un peu de mal à l'imaginer avec ce cache-misère pourtant extrêmement décoratif...
Adhésif, je suppose ? Fonctionnel et élégant, hein.
Et pendant ce temps-là, il y en a qui montrent tout, elles...
5 commentaires:
Ne pas trop en montrer mais en montrer quand même. Finalement ça attire plus l’œil encore, pour ceux qui n'avaient pas remarqué. Je porte des strings, et d'autres choses d'ailleurs, mais l'idée de ma balader fesses à l'air ne me plait pas plus que ça...
Vous avez raison, une ceinture...
Ou des bretelles. ça peut être très sexy, vous avez vu 'neuf semaines et demie' ? La Basinger en porte, déguisée en homme et ça lui va à ravir.
Je connaissais le "ça tient" qu'on met sur les justaucorps pour empêcher que l'on voit nos fesses, pas ça..;;D
en plus , je trouve plutôt que c'est une incitation à aller voir ce que ça cache...;D
C'est d'un goût plus que douteux, évidemment... Quand à l'incitation... Je n'ai jamais eu besoin d'un parcours fléché pour plonger mes yeux, mes doigts et tout le bataclan dans la raie des fesses d'une fille...
C'est absolument hideux.
De toute façon tout ce qui est outrancier est "maladroit". Le trop court, le trop long, le trop moulant, le trop large ont d'énormes inconvénients: il faut savoir les utiliser!
Personnellement je déteste ça. Le pantalon qui tombe et dévoile la raie des fesses, c'est juste vulgaire, tout autant que le sont les strings, anti-érotiques au possible. Heureusement, on en revient...
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