2935 - "Passer à l'acte..."
Alors là, je vous propose un texte de CO2, demoiselle qui fantasme sur la fessée depuis des années en dépit de son très jeune âge (elle n'a pas encore vingt ans, c'est dire...) et qui m'a déjà adressé il y a quelques semaines une petite histoire de sa composition évidemment basée sur le sujet qui la passionne. Elle n'est passée à l'acte qu'une fois, presque "pour voir" et si cette première approche s'est bien passée, ce n'était pas vraiment conforme à son riche imaginaire et au "rituel" qu'elle appelle de ses voeux...
On sait tous qu'il suffit d'à peine s’écarter du canevas pour que la magie ne prenne pas et qu'on ne soit pas dans le même trip, passant totalement à côté du sujet, du coup...
Bien entendu toute ressemblance avec... etc, est sans objet et c'est bien ce qui la désole, même si elle ne désespère pas vivre exactement ce qu'elle écrit là, pour nous... Elle précise par ailleurs que la fessée seule la passionne et qu'elle ne souhaite pas mélanger avec du sexe explicite dans son histoire, pour ne vivre ici que l'aspect disciplinaire de la chose, de préférence avec un homme bien plus âg... euh "expérimenté" qu'elle, l'étudiante.
Et ça fait partie de son scénario virtuel...
Le vivra-t-elle, c'est une autre histoire... J'ai illustré avec un petit film qui correspond par bribes et certains aspects à ce qu'elle attend aussi, pour me l'avoir expliqué dans un mail accompagnant...
Du coup, j'ai posté en conclusion une vidéo en forme de clin d’œil. On y verra des aspects allant en partie dans son sens, la jeune fille extirpée de la baignoire et tenue sous le bras sur le canapé faisant partie de son package imaginaire... Enjoy.
"On marche tranquillement dans une rue de Paris, toi et moi venont d'aller prendre un café, et on discute. Je te parle de mes études, de mon rêve d'habiter dans cette ville. Mais à un moment je trébuche contre le trottoir, je tombe et me fais un peu mal à la cheville. Tu me demandes si ça va...
Je te dis: "Ben tu vois bien que non !" Tu me dis "Hé, il faut faire attention quand on marche, hein !" à quoi je te réponds que si c'est pour me faire la morale alors que j'ai mal, je n'ai pas besoin de toi ni de tes conseils. Tu me regardes quelques secondes, un peu étonné, et tu me dis:
"Il y a une raison à ton agressivité, là ?".
Je réponds "Laisse tomber, tu n'comprends rien". Je me remets à marcher, tu me dis de t'attendre mais je trace. Alors tu marches à côté de moi et on ne parle pas.
Je suis énervée, toi t'es à la fois surpris et agacé.
On marche jusqu'à l’hôtel. Je suis préoccupée à l'idée que tu me dises de rentrer chez moi, que c'est pas la peine de continuer si je te manque de respect comme ça, que ça manque complètement d’intérêt et c'est juste désagréable et à l'idée que tu me fesses pour me punir qui monte un peu dans mon ventre. Quand on arrive devant l’hôtel, je te regarde, je baisse un peu les yeux, une façon de te montrer que je ne suis pas trop fière de ce qui vient de se passer et que je ne veux pas que tu le prennes trop au sérieux, sans avoir l'intention de m'excuser néanmoins.
Tu lèves mon menton, tu me dis "Regarde-moi dans les yeux".
Je te regarde et tu me dis "Tu as peur que je te plante là et que je décide d'arrêter n'est-ce pas ?". Je dis "Oui un peu".
"Plus fort."
"Oui un peu !".
Tu me dis que je le mériterais sans doute mais que ce n'est pas comme ça qu'on fonctionne et que c'est une bonne occasion de te montrer qui commande ici et de te montrer par les actes que tout manque de respect envers toi ou n'importe qui d'autre est sanctionné de la bonne manière.
"C'est compris, mademoiselle ?"
"Oui."
"Oui qui ?"
"... oui Monsieur..."
"Bien. "
Tu poses ton bras sur mon dos, pour me faire avancer mais aussi que je sente que tu es avec moi. On prends l'ascenseur, sans un mot. Je ne te regarde pas dans les yeux. Arrivés à l'étage, tu glisses ta main sous mes cheveux pour me saisir l'oreille et on marche vers la chambre comme ça. Tu ouvres la porte, me fais entrer.
Tu me demandes d'enlever mes chaussures, mon manteau. J'entends la porte qui se referme. Tu enlèves ta veste et tu vas chercher une chaise que tu places au milieu de la pièce.
Tu t'assieds, tu me dis "Viens ici...". J'approche, je suis debout en face de toi. Tu me demandes si je sais pourquoi je vais être punie.
"Oui. "
"Pourquoi, alors ?"
"Parce que je t'ai mal répondu ..."
"Est-ce que tu penses que ça mérites une punition ?"
"...Oui."
"Comment punit-on les gamines dans ton genre qui répondent mal sans raison ?"
Je ne réponds pas. J'aime pas répondre à cette question quand tu me regardes. D'un coup tu te lèves, et tu me mets une gifle. Oh pas très forte, mais très vexante.
"Quand je te demande quelque chose, tu réponds immédiatement. Est-ce que c'est clair ?" Je réponds d'une petite voix "Oui c'est clair." Tu te rassieds.
"Alors, qu'est-ce que je t'ai posé comme question ?"
"Tu m'as demandé comment ... "
"Plus fort, mademoiselle !"
"Tu m'as demandé comment on punissait les gamines qui répondent mal..."
"Et quelle est ta réponse ?"
"On leur donne la fessée."
"Bien. Déboutonne ton pantalon..."
J'ai des gestes un peu hésitants mais je commence à dégrafer mon jean.
"Dépêche-toi, on ne va pas y passer la journée !" Puis, tu baisses mon pantalon jusqu'aux genoux, rapidement. Tu attrapes mon bras et tu me courbes sur tes genoux. Tu me tiens solidement contre toi, d'un bras qui entoure mon dos. Tu baisse ma culotte, prestement. Tu poses ta main sur mes fesses, un peu froides encore et un peu tremblantes. Je sais que ça ne va pas durer.
Tu lèves d'un coup ton bras, et tu commences la fessée.
La première claque est tout de suite forte, comme les suivantes qui s'enchaînent en rythme et assez rapidement. Tu regardes mes fesses qui rougissent. Tu attrapes ma main qui essaie de protéger mes fesses et tu la maintiens derrière mon dos en la tenant entre tes doigts. Lorsque mes gémissements se font de plus en plus forts et lorsque tu penses que c'est suffisant pour aujourd'hui, tu t'arrêtes, tu me relève, me prends par le bras, les cheveux défaits, la mine honteuse, le pantalon aux chevilles, la culotte aux genoux et les fesses écarlates...
Et tu m'amènes devant le mur. Au coin...
"Tu ne bouges pas et tu ne te touches pas les fesses." La douleur est cuisante, je passe le dos de ma main sur le haut de mes cuisses.
Deux claques sonores me font garder sagement mes mains loin de mes fesses endolories. Je reste comme ça, je ne sais pas combien de temps, le temps s'arrête pendant ces fessées. Tu es retourné t'asseoir sur la chaise.
À un moment, j'entends "Tu peux revenir..."
Et c'est seulement une fois dans tes bras, la tête enfouie dans ton épaule, que je me laisserai aller à quelques sanglots, avec la sensation rassurante d'être protégée et accompagnée pour quelques temps encore..."
Texte et image © CO2
7 commentaires:
Tu es un Blog Master bien attentif à tes lectrices Stan. C'est toujours apprécié chez un Monsieur, cette anticipation à satisfaire les envies féminines
Je ne sais pas, sans doute. C'est pas vraiment le but, à vrai dire qui est quand j'écris des trucs de me satisfaire comme premier lecteur en me disant que si ça ME plaît il est bien possible que ça plaise AUSSI à d'autres et donc à mes lectrices, il est vrai plus promptes à se manifester que mes lecteurs.
Et ça m'arrange !
Oui c'est claire on se demande si on devrait pas reprendre ces études
Joli récit de Co2. Cela ne devrait pas être si compliqué à concrétiser...
Amusant, dans cette vidéo, la demoiselle sort de la baignoire avec les fesses bien rouges, et ce n'est plus le cas avant que ne commence la fessée...
Je pense au contraire de toi, cher Waldo que ce n'est pas si simple pour une jeune fille comme CO2 de trouver la personne adéquate. Dans les méandre du net, on peut tomber sur la bonne personne mais aussi sur des gens peu recommandables et on sait que la fessée est un fantasme qui ne se nourrit pas d'à peu près,afin d'éviter les déceptions, les ratages ou pire encore.
Les conseils de Mr No étaient et restent d'actualité !
Sorry ! Je me suis mal exprimé. Je voulais dire que les désirs de CO2 étaient si "normaux" qu'elle n'aurait pas de mal à trouver des messieurs qui puissent la satisfaire. Evidemment, il faut les trouver. Je suis con, quand je m'y mets !...
Oui, on est dans le "classique", j'en conviens. pour autant, je crois qu'il faut prendre son temps avant de se lancer. Et de ne pas se ruer sur le premier venu. une de mes amies virtuelles avait passé une petite annonce, 350 réponses en quelques heures. Vas-t-en choisir, après ça...
Enregistrer un commentaire