04 mai 2020

"Souvenirs, attention danger"...

3474 - "Comme le chantait Serge..."

J'ignore la genèse de cette magnifique image qui semble venir tout droit des années 30. Le pantalon, les bretelles, les cheveux gominés... Scène authentique ou reconstitution a posteriori (rires...) je l'ignore.

Mais je crois qu'il y a quelque chose de plus dans l’œil de la fille, dont le visage à demi-tourné vers l'agresseur (de son fessier déculotté) semble montrer bien plus d'excitation que de peur réelle... C'est pour ça que je la trouve intéressante.

Entendons-nous bien: je ne cherche nullement à justifier cette façon de faire, qu'on peut apparenter à cette violence conjugale que j’abhorre, mais au contraire à mettre le focus sur la complicité entre les deux que je crois y déceler...

La ceinture... Plusieurs de mes amies joueuses fantasmaient terriblement dessus pour tout un tas de réminiscences plus ou moins avouables. Pas simple pour un gars qui professe la main comme seule façon de faire. Mais vous me connaissez, altruiste, je m'y suis mis... (Et d'ailleurs je continue, mais c'est une autre histoire)

Du coup j'ai des souvenirs, de ceux que je vais de temps à autres narrer ici comme je l'ai souvent fait, dès le début du blog, mais en gardant évidemment une imprécision sur elles en raison de la discrétion que je leur dois...

Bref. Corrections de jadis à exorciser, en en faisant un jeu cinglant érotique cette fois, de la part d'une jeune femme venue du nord en train me retrouver et qui avait besoin réellement de dépasser ses souffrances d'antan, pour changer le curseur émotionnel dans sa mémoire en le vivant, autrement... Érotiquement du coup, pour s'en faire un souvenir sensuel et non plus ces images dures de sa jeunesse qui revenaient la hanter.

Après notre "séance", c'était fini, supprimé... Ses remerciements (sic) ensuite au milieu des larmes étaient si sincères que j'ai oublié de me sentir coupable d'enfreindre ma morale, ce soir-là, après lui avoir cinglé la croupe jusqu'au garance et aux sanglots réparateurs...

L'envie réelle d'expérimenter la douleur pour une autre, une jeunette moins traumatisée que curieuse, en plusieurs occasions, crescendo. Plus demandeuse que moi, au final... Et d'autres jeux avec d'autres belles personnes que je garde dans mon disque dur pour quand je serai trop âgé pour faire autrement  que de dérouler dans mon cerveau fatigué le film de mes frasques culières...

Et puis, il y a la chanson d'Elodie Frégé, celle-là même qui il y a bien des années revendiquait d'apprécier recevoir des fessées sur TF1 chez Cauet qui n'en est probablement toujours pas revenu de tant de candeur...

- "Tu prends des fessées encore, à ton âge ? !" lui demande plutôt ingénument une Cécile de Ménibus, assez interloquée, dans le brouhaha qui règne d'un coup sur le plateau... 

- "Je les demande, même..." répond la chanteuse...
 

Merci à elle pour ce moment délicieux qu'on ne trouve plus en ligne, malheureusement..
Photo ? 

6 commentaires:

Patoune a dit…

L’œil rieur mais les fesses encore blanches, ceci explique sans doute cela...

Stan/E. a dit…

L'image pourrait-elle provenir des frères Biederer et du studio Ostra ?

Stan/E. a dit…

La culotte noire me fait hésiter... Dans les années 30, le blanc prime.

Mademoiselle G a dit…

La photo est juste magnifique. Je me souviens de l’intervention d’Elodie Frege chez Cauet et j’avais adoré se spontanéité et sa candeur... Introuvable aujourd’hui...

Stan/E. a dit…

Tu sais je ne suis pas convaincu, avec le recul, que la belle Élodie soit encore fière de son interview, sa spontanéité était réelle mais elle a dû traîner ça un moment, à preuve on en parle encore.

Bon, évidemment nous ici on trouve ça bien, mais imaginez les ricanements des imbéciles et des frustrés,

Élodie, si tu nous lit...

Mademoiselle G a dit…

Mais des imbeciles à l’esprit étroit il y en a partout et si cela n’avait pas été cela, cela aurait été autre chose! Les frustrés...