J'aime beaucoup ce dessin très "Semaine de Suzette" issu des romans de flagellation de la collection "Orties Blanches" et très graphiquement daté années vingt (1920 !)... mais je n'en retrouve plus l'Auteur.
Peut-être René Giffey, mais j'ai un gros doute.
Si quelqu'un en connaît plus précisément la provenance ?
ÉDIT: Merci comme toujours à Mamie Charlotte dont l'érudition en la matière est confondante.
Il s’agit donc effectivement bien de René Giffey illustrant ici "Éducatrice ou la belle vengeance de Lord Howard" (1934) de Joan Spanking (ce nom !) un pseudo d'un des auteurs qui écrivaient ces petits romans destinés à la joie onaniste de ces messieurs ! (et de ces dames, donc ?)
Et on n'aura cette fois plus aucun doute en regardant cet autre dessin extrait du livre mettant en scène... la même institutrice austère !
6 commentaires:
Aucune idée de l'auteur, mais c'est bien joli. J'adore la mine réjouie et perverse des filles qui attendent leur tour pour fouetter la punie...
Joli dessin, très désuet mais charmant.
Ca ne cessera jamais de ma fasciner, dans ces récits licencieux, le temps que les profs passent à fesser leurs élèves. La logistique, le cérémonial, les instruments, tout ça c'est du temps de cours en moins :)
Déjà la méthode active avec participation des élèves.
Je pense que êtes dans le vrai en attribuant ce dessin à Giffey car on retrouve la maîtresse et la fouetteuse dans une des illustrations de "L'éducatrice" que je vous adresse par courriel.
Chère MCharlotte, merci pour ce petit retour. Vous êtes comme toujours une mine d'or lorsque je me trouve un peu perdu au milieu de ces auteurs "Orties Blanche" à qui on ne sait pas toujours attribuer les œuvres, mais à chaque fois vous me remettez sur la piste.
Grâces vous soient rendues !
@Bella, Rony, oui, ces récits "de flagellation, genre à part entière qu'on pourrait croire initiés cinquante ans plus tôt par la Comtesse de Ségur (et qu'on peut retrouver dans deux liens à gauche, "Biblio Curiosa" et "L'amour bouquine" qui recense ces bouquins licencieux des années 20 vendus sous le manteau)sont d'une réelle perversité, c'est vrai.
Et j'en raffole, j'avoue !
...à lire et relire !
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