29 septembre 2006

Postures et petits jeux interdits...


"Quelle est ta position préférée pour donner la fessée ?" me demande, faussement naïve, une très jeune femme avec qui il m'arrive de correspondre de temps à autre par messagerie instantanée.

Que lui dire ? Dois-je détailler froidement, loin de toute émotion irrationnelle ce que je ressens dans l'intime ? Je lui propose de relire ce que j'en dis dans ce blog, en commençant par le premier post écrit en février, une sorte de "CV-questionnaire de Proust" qui me "raconte" assez bien, mais la fine mouche en veut davantage.

Je lui maile en retour quelques fichiers de films anglais, petites choses qui me suscitent un début d'émotion, histoire de lui montrer ce que cela peut signifier pour moi, avec les restrictions d'usage.

Même "joué" par des actrices payées, toujours fessées par le même correcteur, le brave headmaster Tom, grand barbichu à lunettes dont c'est visiblement le job à plein temps, (heureux homme) la demoiselle commence un peu à entrevoir ce que j'aime, avec "Alice's party" ou "Sophie's spanked a lot", jeunes britanniques fessées d'importance devant les caméras.

S'identifiant pleinement aux fausses étudiantes qui exercent de l'autre côté du Channel...

Oui, j'apprécie aussi. Parfois. Mais c'est plus complexe que ça...

Écrire les mots, les dire ou bien les vivre, ça n'a pas exactement la même portée.

Suis-je un "dominateur" ? (probablement pas au sens puriste du mot, il m'arrive de switcher et de m'abandonner au jeu inverse, avec des "adversaires" de haute volée. Rarement. Mais ça peut arriver...)

Quel plaisir j'en retire ? Comment expliquer l'inexplicable ? Allons, décidément un petit croquis (piqué là...) vaudra toujours mieux qu'un long discours. Même infiniment réducteur...

Tu as compris cette fois ma belle ? Tu m'en diras tant...

Et avec l'illustration qui ouvre le post, cette vue plongeante sur un fessier déculotté dans l'attente, assez proche finalement de ce que j'entrevois en pareille circonstances, on peut se faire une idée plus précise...

Miam.

Aucun commentaire: