Que voici une étonnante posture...L'hommage à la main fesseuse de l'homme , après une retentissante fessée méritée ?
Mais la demoiselle est nue, pas "déculottée". Nous sommes dans un registre bien plus fort sans doute...
Je ne confesse aucune attirance pour la soumission réelle et encore moins pour le SM et ses codes, par trop théâtraux à mon goût. Infiniment plus proche de la Comtesse de Ségur que du Divin Marquis, ce qui ne surprendra guère ceux qui me connaissent un peu ou qui me lisent ici, j'aime la complicité dans le jeu, l'émotion partagée, les fous rires retrouvés (après) et une certaine forme de jusqu'au-boutisme verbal (le piment des mots) et physique (le plaisir des corps)...
Pourtant cette image me parle assez... Et à vous, les filles ?
Qu'est-ce que vous y voyez, qu'est-ce qui vous trouble...
... Ou vous choque ?
PS: c'est vraisemblablement (voir post plus haut) une photo de Jan Saudek
8 commentaires:
désormais, Stan est un pseudo que j'abandonne ici, pour des raisons techniques. Je serai E. "à partir de dorénavant".
pas simple, blogger...
Je connais depuis longtemps cette série; je l'ai découverte au hasard de mes détours sur la toile et je la trouve absolument sublime:tout semble 'parfait': les teintes, le modèle, les attitudes.
J'aime beaucoup, aussi, son 'baiser sur la main'...
nous sommes bien d'accord... Mais qui en est l'auteur, et de quand date-t'elle, cette fameuse série? Je prends toutes les infos possible... avant de les répercuter le cas échéant...
c'est un image qui me trouble ... une situation que j'aime vivre ... quelque chose de rassurant ... de libérant ... d'excitant ...
Oui, sans doute. Je ne peux pas vous répondre clairement, Clara. Je ne suis que la main dans l'histoire.
...
Que la main, ou plutôt La Main ... tandis que moi, je suis là, nue et à genoux, là, avant et après, des larmes aux yeux mais fière, si fière ...
Je comprends ce sentiment. J'ai essayé d'expliquer dans mon dernier post sur le "switch" à quel point le fait d'avoir pu jouer l'autre rôle m"a aidé a savoir précisément quelle attente habite la demoiselle.
Tout arrive...
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