207 - Que c'est bon de revenir de temps à autre aux fondamentaux...
L'image ci-contre, dûe aux talents graphiques de l'américaine Patty me "parle" et correspond bien à ce que j'en imagine.
La main de la demoiselle aux fesses déjà nues cherchant à retenir la culotte qui glisse inexorablement vers le bas, tout en sachant que le geste est vain et que sa fessée va commencer, bruit de claques sonores emplissant la pièce...
Selon mes désirs et ma vision des choses, le plaisir de "la chair sur la chair", nul besoin de martinet, de fouet, de cravache, cordes, knout et autre paddle à trous ou à clous pour "régler ses comptes" avec sa moitié... (ou sa compagne d'un moment)
Non, comme je l'ai déjà souligné ici à de maintes reprises: je n'aime décidément rien tant que le contact de MA main sur SA peau...
Instant magique et profondément sensuel que l'un comme l'autre voudront privilégier avant de passer à des jeux de corps à corps brûlants, qui peuvent parfois transformer plus sexuellement encore la conclusion d'une fessée méritée... Ou pas !
Mais mes plus jolis souvenirs de jeux de mains avec mes amies de c... (coeur ? cul ? Les deux ?) sont vraiment ceux pour lesquels il y a un motif. Même fallacieux, pour jouer...
Rien de gratuit, de purement physique. C'est aussi possible bien sûr. Mais mon coeur bat tellement plus vite quand on transgresse l'interdit en passant à l'acte pour une bonne raison.
L'énervement, l'exaspération avant la libération. Comme sur l'image ci-dessus, extraite de "slippering", spanking movie anglais, "Je te chope par le bras avant de te basculer en travers de mes genoux... Et je ne relâcherai mon étreinte qu'une fois tes fesses brûlantes et cramoisies !"
Je me souviens d'un moment magique dans le Midi avec Marie-B.
"Une journée à Arles à me faire visiter la ville. Avant un retour en fin d'après-midi vers notre petit studio pour la semaine à 150 km de là, plus à l'est. Bandol au nom évocateur...
Soudain dans la voiture qui file sur l'autoroute, la tension monte. Pour une raison sans importance, nous en venons même à des mots de plus en plus désagréables l'un envers l'autre.
Et puis d'un coup plus rien, le silence, le calme d'après tempête. Mais tension et énervement restent palpables, une atmosphère désastreuse... Bref, chacun dans son coin rumine sa rage.
C'est elle qui conduit, dents serrées et regard fixe, apparemment concentrée sur la route, sa colère contenue. Nous sommes assis côte à côte, à quelques cm l'un de l'autre, mais c'est désormais comme si elle était à des milliers de km de là, sur un autre continent. Et ce pendant les 130 km qui restent à parcourir...
Le silence dans la voiture ensuite, chacun évitant soigneusement de regarder l'autre, nos regards fixes (elle sur la route, moi tourné vers le paysage) près d'une grosse heure durant, sans décrocher un mot. Ni elle, ni moi... Même sur autoroute, c'est long une heure.
Et puis sa petite Seat qui se traîne..."
(suite et fin sur le post d'après, le 208...)
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