218 - Petit tour ce matin sur le site de mon camarade Waldo. Il semble qu'il y ait eu mise à jour de Karencita ou je me trompe ?
J'ai trouvé de nouveaux petits dessins que je ne connaissais pas et aussi quelques détails ergonomiques sur une interface esthétiquement (peu) modifiée...
C'est un post de Mélie qui m'y envoie en lien direct.
La demoiselle a rédigé ces jours-ci un de ses petits textes ciselés dont elle a le secret, en réaction à une des photos des fameuses "lilliputiennes", amusants montages de l'artiste dont nous avions déjà parlé ici-même, il y a quelque temps. Image que je n'avais pas reprise dans mon propre post d'ailleurs, probablement confusément "dérangé" par l'échelle dans ce cas précis, en imaginant les dégâts infligés...
Comme je l'ai dit il y a peu "je n'aime pas les marques !"...
Le gros doigt, les petites fesses, bref, autant j'adore la série, autant celle-ci ne me plaisait guère... Mais quand je lis:
"C'est une histoire de battements qui commencent doucement. La main sans humeur, la tête ailleurs, le cul brouillon.
Et puis ta main tient et maintient et l'autre met du coeur à l'ouvrage, seconde après seconde, rougeur après roseur.
Et l'un qui tient l'autre à hauteur. 120 battements à la minute.
Ma main frappe le montant du lit à contre-temps.
On s'embarque au rythme d'une trotteuse. 120 battements à la minute. 15 minutes. 1.800 au quart d'heure !
À chaque battement de pied, de rage, de déni, de défi, une claque s'abat plus fort.
Et plus les 120 battements battent, plus je suis légère, petite, à l'air, en l'air... de rien.
120 battements sur le cul à la minute, cela fait combien de battements le coeur ?"
... Je craque, forcément !
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