19 février 2007

Ambiances troubles...

227 - Vous le savez, ce n'est pas nouveau, j'adore les images qui racontent une histoire, qui décrivent une ambiance, à travers un simple jeu de regards, parfois.

Celle-ci (dont je ne connais pas l'auteur) met en scène trois femmes et est tout à fait dans la ligne de ce que je veux dire. On peut élaborer en la regardant un scénario et faire travailler son imaginaire, un truc évidemment essentiel dans les histoires de fessées.

Rien de gratuit dans l'acte et dans les gestes... C'est tellement plus intense, plus corsé avec une vraie raison. Du coup on évolue dans un jeu qui peu à peu devient de plus en plus réaliste et dans lequel on doit croire, le temps de quelques claques ou d'une punition plus appuyée, selon ses propres désirs.

... Mais en allant un tout petit peu au delà de l'attente pour repousser les tabous et les frontières de son plaisir... parfois un peu trop balisées par la force de l'habitude !

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Le dessinateur? Je pencherais pour Hardcastle mais je suis pas certain.
En effet, tres chouette dessin, tout ce que j'aime!

Anonyme a dit…

Avant tout j'aime le noir et blanc, ce dessin est vraiment parlant, mais comme vous le dites il faut élaborer pour imaginer,un homme à la place d'une femme par exemple et surtout....
un seul me suffit en ce qui me concerne... sinon....Y'aie la honte
(rire et confusion totale)

Marissa bien à vous

Erik A. a dit…

C'est bien aussi, la honte. On peut s'en servir pour puiser tout au fond de soi des émotions nouvelles et viscérales...

Et oui, sans doute c'est plus une image fantasmante pour "homme"... même si je connais certaines femmes que ça fait mouill... Euh, vibrer, de s'imaginer dans cette saynette perverse et émoustillante...

On peut ne pas partager ces désirs-là et espérer plutôt la poigne virile d'un mâle qui saura vous empourprer la croupe de la belle manière avec toute l'énergie requise.

Je comprends...

Je comprends tout.

Erik A. a dit…

Escob > Oui, sans doute Hardcastle... Je reconnais la patte, proche de Meadows aussi, mais pas avec les mêmes expressions dans les visages.