243 - Pas facile, dans les années soixante, à la campagne et chez les Sœurs de garder ses fesses intactes pour une jeune fille.
Les châtiments corporels étaient monnaie courante jusqu’à l’adolescence et ne prêtaient pas à scandale comme on peut le penser aujourd’hui. On peut s’étonner de la sévérité de l’époque. L’éducation était stricte, les fautes sanctionnées durement…
Nul n’y trouvait à redire. Et on ne parlait pas de sexe comme à présent. Silence radio, impossible d’en parler, la honte est trop envahissante…
Fanny me raconte ses souvenirs d’enfance dans la France profonde d’une voix sourde sans même s’apercevoir que je l’écoute avec attention, plus que troublé. Je ne le montre pas pour ne pas rompre le charme.
Naïve et prenant mon intérêt pour de la compassion pure, elle raconte lentement, en détail, cherchant ses mots. Je la laisse faire, le cœur battant. Les images sont émoustillantes…
Oh, évidemment, vingt ans ont passé et sa libido en porte les stigmates. Devenue adulte, elle n’a pas rencontré dans sa sexualité un homme à qui en parler ouvertement et est en manque de férule en permanence, sans oser se l’avouer.
D’ailleurs au fond en a-t-elle seulement conscience ?
Fanny se montre souvent odieuse avec les hommes, dans l’espoir non avoué de retrouver avec eux les émois d’une déculottée d’anthologie. Seulement ce n’est pas facile de trouver un complice qui devinerait ses troubles et ses désirs cachés. Elle ne leur donne pas d’indications fléchées, et pas question de révéler le moindre indice à ses amants.
À eux de trouver les clés…
S’ils savaient ce qu’ils perdent… Ce jour-là, j’ai vu son regard se troubler à l’évocation de ses punitions d’antan…
Assis sur le divan, dans son salon, elle débout, je l’ai alors prise par la main… Elle a gardé la tête basse, sans oser me regarder en face. Je l’ai doucement inclinée sur mes genoux l’attirant fermement en travers, avant de lui baisser sa culotte, lentement.
Frémissante, elle se laisse faire, toujours sans dire un mot.
Cet après-midi-là, elle a renoué avec ses démons. Les fesses rouges de Fanny…
Un plaisir intense et partagé. Instant inattendu qui s’est reproduit quelquefois quand elle en éprouvait le besoin... Plus encore que le désir !
7 commentaires:
"Seulement ce n’est pas facile de trouver un complice qui devinerait ses troubles et ses désirs cachés. Elle ne leur donne pas d’indications fléchées, et pas question de révéler le moindre indice à ses amants.
....À eux de trouver les clés…
S’ils savaient ce qu’ils perdent…"
Je n'aurais pas mieux dit.. Etrange cette ressemblance de cette photo ( jupe plissée et ...Vous m'avez comprise
Bien à vous
Marissa
Oui, la jupe plissée. C'est un peu stéréotypé, mais peut faire partie d'un jeu érotique dans son ensemble. J'ai personnellement tendance à la baisser un peu plus bas pour dégager la "cible potentielle", mais je sais que cette image peut faire plaisir à quelques-unes...
Dont acte.
Contrairement à beaucoup, les jupes plissées ne me font pas spécialement fantasmer; j'en ai 'soupé' des uniformes d'écolière puisque j'en ai porté pendant toute ma scolarité..!
Tiens, la peinture de la fille qui se fait gratter le dos (et autre chose), je l'ai vue il y a qq semaines, au musée de l'érostisme d'Amsterdam. Délicieusement suranné et pervers...
Sinon, je préfère les jupes droites, qui moulent bien les fesses. Un vrai plaisir à retrousser... Ou bien le plaisir de laisser la main plaquée sur les fesses lorsqu'on se ballade en rue...
cher Aranam, tu parles d'or.
je crois même que c'est sur ton topic que je l'ai trouvée, d'ailleurs.
Mais je cherche et je stocke avant de publier tout ce que je trouve rigolo sur le net, et ensuite je m'en sers au gré de mes humeurs...
Très amusante image je dois dire. Je ne sais de qui est l'oeuvre ni de quand elle date, mais j'aimerais bien savoir ce qu'il y avait dans la tête du peintre, au passage.
Quand aux jupes... Je n'aime guère les panoplies imposées et les déguisements obligatoires.
Je préfère de très loin laisser les filles s'habiller comme elles veulent, n'ayant pas de goût particulier pour les fringues dites "sexy", que je ne déteste pas, mais que je préfère choisies par Madame plutôt que suggérées par Monsieur.
Parlons jupes (fallait pas me 'chercher'..lol!): je porte parfois des vêtements dits moulants mais cela ne supporte pas les tissus et la coupe de mauvaise qualité sinon cela tiraille là ou il ne faudrait pas sans parler des glissements intempestifs vers le haut qui impliquent le tiraillement vers le bas...
Le pire: un vêtement très (trop?) ajusté et les jarretelles qui se devinent.
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