265 - Chose promise chose dûe... Miss Amber Pixie Wells a longuement répondu à quelques questions que je lui ai envoyées par mail. Ça fait déjà un moment que j'avais repéré cette jeune femme espiègle sur plusieurs sites de fessées aux USA, et en particulier sur celui dont elle est l'égérie blonde frisée, Punished Brats...
Pixie en anglais signifie "lutin"...
Un pseudo qui lui va comme un gant (ou plutôt une petite culotte ?) car la demoiselle est une coquine, vous verrez. Pixie la blonde vénitienne a créé un blog où elle parle de sa vie, en parallèle à son travail pour le site où en plus d'être fessée par un tas de gens, elle est aussi webmaster.
Je l'ai vue récemment présenter un bêtisier de Punished Brats, comportant chutes et "ratés" de prises de vues, dans lequel les fous rires montrent qu'après tout, ceci n'est jamais qu'un jeu...
Bien sûr, c'est aussi son job et la façon dont elle gagne sa vie.
J'ai préféré lui poser des questions directement, plutôt que de traduire les interviews de certains blogueurs, qui par ailleurs comportent d'autres détails que vous aurez peut-être envie de voir par vous-même. Pixie a eu la gentillesse de n'en esquiver aucune, y compris en relatant une sale histoire de rencontre internet avec un salaud qui aurait pu mal se terminer...
Les amoureux de la nature et des contes de fées seront ravis d'apprendre que parmi les fantasmes récurrents de la belle, il en est un qu'elle espère vivre, celui de se promener en forêt, déguisée en Petit Chaperon Rouge, dans la crainte (ou l'espoir) d'être surprise par le loup.
Un loup fesseur ? ("spanking wolfie ?")
En attendant de croiser dans les bois autour de la petite ville du New Jersey où réside cette jeune femme de 24 ans, autant la découvrir un peu en lisant ses réponses à mes questions, envoyées ce matin...
Thanks a lot again, cutie girl !
"Pixie's speaking, in french !"
- Pixie, merci encore d’accepter de répondre à mes questions. La première sera basique, de quelle origine es-tu donc ? Je trouve que ton physique s’apparente beaucoup à celui d’une jeune Irlandaise…
- Bien vu ! Je suis d’origine allemande ET irlandaise, effectivement. Et évidemment à présent américaine de nationalité.
- Où vis-tu aux USA ?
- Sur la côte Est, dans le New Jersey. Et bien que la majorité de cet État soit urbanisé à outrance, j’ai la chance de vivre dans un coin encore très préservé à la campagne, quasiment au milieu des champs.
- D’où te vient cette curieuse attirance pour la fessée ? As-tu été punie de cette façon quand tu étais enfant, et en étais-tu troublée plus que de raison ?
- Difficile de me rappeler un moment dans ma vie où je n'ai pas été fascinée par la fessée, même si on ne peut pas dire que j’éprouvais le réel désir d’en recevoir en étant petite. Je me souviens avoir recherché très tôt le mot dans le dictionnaire et également que toutes références à la fessée dans des films, à la télé ou dans des livres m’excitaient, sans que je sache encore vraiment l’expliquer ! De plus, comme beaucoup de gens passionnés par un sujet scabreux, je me croyais quasi anormale de penser à ÇA et j’ai donc gardé pendant plusieurs années tous ces sentiments à l’intérieur, comme on cache un secret honteux, et sans en parler à personne autour de moi, évidemment…
Pour en revenir à ta question... Oui, j'ai été fessée en tant que petite fille. Mon père accordant beaucoup d’importance à la discipline était habituellement celui qui me corrigeait quand je n’étais pas sage, de la façon classique, sur ses genoux… Et culotte baissée toutes les fois où j’avais vraiment été odieuse. Ma mère aussi n’hésitait pas à me punir ainsi de temps en temps mais plus rarement.
- Quand as-tu fait de cette passion secrète un réel job ? Et comment entre-t-on dans cette communauté-là ?
- Comme j'étais toujours très intéressée par la fessée, toujours de plus en plus présente dans mes fantasmes de jeune fille, bref comme si j’étais née avec ce désir, il me fallait le réaliser en vrai. Je sentais confusément que j’avais un seuil de tolérance à la douleur très élevé pour ce jeu-là, et un copain à qui j’en avais parlé m’a suggéré de chercher une "Spanking Company" qui pourrait me faire débuter et travailler ensuite avec moi. Sans trop savoir dans quoi je me lançais d’ailleurs, j’ai suivi son conseil. Au fond, j'espérais juste que je pourrais gagner ainsi un peu d'argent d'une façon agréable, histoire de rembourser quelques factures médicales et mes prêts d'étudiante que j’avais du mal à rembourser…
C’est devenu tellement plus que ce que j’avais imaginé ! Dire que je ne pensais pas faire plus d’un film ou deux ! J’ai eu la chance d’arriver pile au moment où David Pierson songeait à mettre sur pied sa propre compagnie…
Ensemble nous avons fondé "Punished Brats", et c’est également lui qui m’a mis le pied à l’étrier en me faisant rencontrer plusieurs autres personnes merveilleuses du métier, avec lesquelles j'ai depuis lors eu le plaisir de travailler.
- Tu avais quel âge, à ce moment-là ? Et est-ce que quelqu’un parmi tes proches ou ta famille peut imaginer le travail que tu fais aujourd’hui ? Tu vas trouver ça bizarre peut-être, mais nous n’avons pas d’acteurs spécialisés dans ce genre-là et donc aucune vedette comme toi ici… Car il n’existe pas en France comme chez vous aux USA (ou encore en Angleterre évidemment) d’industrie ou de spanking companies travaillant spécifiquement autour de l’univers trouble de la fessée. Ce serait assimilé au porno… Du coup, les gens qui aiment ça pratiquent chez eux dans leur vie privée, voire en club.
- J'avais 22 ans quand j'ai tourné ma toute première scène de fessée pour "Punished Brats". À ce moment-là, je ne pouvais pas m’imaginer qu'elle me mènerait vers un véritable travail à temps plein !
Pour en revenir à ce que tu dis, je suis contente que notre petit monde de la fessée soit quelque chose de très distinct de l’industrie du porno, ici aux States. Je suis très claire là-dessus: j'adore recevoir des fessées et je suis ravie de pouvoir le faire devant une caméra, mais pas question pour moi d’aller au-delà dans des scènes qui seraient purement sexuelles ou explicitement porno. Quant à mes proches, ils ignorent ce que je fais exactement. Ils pensent juste que je travaille comme webmaster, ce qui est vrai, mais ne savent pas que je suis webmaster… pour une compagnie de fessées !
- Parviens-tu à séparer ton travail dans le monde de la fessée de ta vie privée ? Comment es-tu à la maison quand tu rentres du bureau ? Ça semble compliqué de vivre une passion aussi spéciale, si la personne qui partage ta vie n’est pas intéressée par ça, non ?
- T’as raison ! Et mon homme n’a rien à voir avec ce monde-là, en plus… Mais c’est un garçon compréhensif qui m’a toujours soutenue, quoi que je fasse. Il m’encourage dans tout ce que j’entreprends et je dois t’avouer que même si ses désirs et ses fantasmes n’allaient pas dans ce sens avant qu’il ne me rencontre, il est devenu quasi accro et a découvert qu’il adorait (me) donner la fessée, finalement ! Du coup il me fesse de plus en plus souvent avec beaucoup de plaisir et d’amour et je crois savoir qu’à présent, il apprécie bien mon espièglerie et ce côté sale gamine à corriger qui contraste avec mon apparente innocence…
- Internet a fait de toi une star dans le petit monde de la fessée, et te voilà connue un peu partout sur la planète, grâce à ça… Comment le vis-tu ?
- Euh… Honnêtement, bien que sachant pertinemment en regardant les statistiques du site et de mon blog qu’il y a - comme tu dis - des visiteurs qui viennent nous voir de partout dans le monde, je n’arrive pas à réaliser que je suis "connue" pour autant.
Au fond, je me vois toujours comme une fille timide vivant dans une petite ville de province, mais sûrement pas comme une "spanking star" !
- Oui, mais c’est un fait: quoi que tu en penses, les gens te connaissent partout dans le monde. Reçois-tu des lettres, des propositions ? Les amis virtuels peuvent très bien être de sales types avec de mauvaises intentions dans la vie réelle. Comment te protèges-tu de ça et comment peux-tu empêcher de te nuire les personnes incapables de faire la différence entre l'actrice et la fille que tu es en vrai ?
- Je reçois plusieurs mails chaque jour et j'ai plaisir à correspondre à beaucoup de gens. Jusqu'ici, chacun a été très aimable et aucun ne m'a causé d'ennuis. Mais c’est clair que je prends des précautions élémentaires, comme par exemple de ne jamais donner mon vrai nom ni de dire où je travaille et où je vis. Évidemment je pourrais toujours être reconnue à l’extérieur par un internaute qui saurait (parce qu’il fréquente le site) que je suis Pixie, de "Punished Brats". C’est toujours un risque. Là j’aurais du mal à nier, mais jusqu'ici, personne ne l’a fait…
- As-tu des amies parmi les autres actrices de la communauté US ? Et si oui, lesquelles ?
- Absolument ! Beverly Bacci et moi avons un projet commun sur lequel nous réfléchissons depuis quelques semaines et j'attends avec intérêt et amusement de pouvoir le réaliser avec elle.
Je suis également toujours heureuse de retrouver mes copines Niki Flynn et Sierra Salem dans les soirées organisées par "Shadow Lane".
Et je suis très excitée d’aller rendre visite à Clare Fonda et Chelsea Pfeiffer en Californie, le mois prochain. Ce sera un voyage pour bosser aussi évidemment, mais je suis super contente de retrouver ces deux filles que je considère comme de bonnes amies…
- Cannes anglaises, ceintures de cuir, paddle… Dis-donc, ces fessées que tu reçois semblent parfois très douloureuses ! Cinéma ou réalité, qu’en est-il ? Et aimes-tu réellement que ce soit aussi dur ?
- Exact, les fessées que je reçois sont parfois en effet vraiment très dures. J’avoue que je ne les apprécie pas toujours lorsqu’elles font si mal ! Mes réactions sont plus que vraies, n’en doutez pas. Oui, je me tortille pour de bon sans faire de cinoche, on peut lire ce que je vis sur mon visage et sur mes fesses, je pleure avec de vraies larmes en réponse à la douleur que l’on m’inflige !
Mais une fois que c’est terminé, je ressens tant de soulagement et de sérénité que c’est à ce moment précis que je peux alors apprécier la chaleur, le tiraillement et la douleur sur des fesses qui me rappellent - à chaque fois que je m’assieds - que j’ai reçu une bonne fessée…
- Je comprends ça. Mais maintenant que ça a pris tant d’importance, serais-tu capable de te passer de la fessée dans ta vie personnelle ? Et érotique, je précise…
- Euh, je pense que ça dépendrait vraiment de la nature du rapport amoureux entre lui et moi. C’est difficile de répondre à ça. Si j'aimais vraiment quelqu'un et que nous étions compatibles à tous niveaux excepté la fessée, je pourrais sûrement vivre sans… À condition de continuer à être fessée dans le cadre de mon job ! C’est un peu ambigu, OK…
Mais la question ne se pose pas ! Je suis une petite veinarde et je n’ai pas à choisir, puisque mon ami aime à présent me fesser et s’occuper de mon derrière, pour notre plus grand plaisir mutuel…
- Que préfères-tu dans la fessée, chère Pixie ? Comme position, je veux dire ? Sur les genoux ou autrement ? Aimes-tu plus être fessée à la main qu’avec des instruments ?
- Hmmm. La fessée "on the knees" (sur les genoux) de celui ou celle qui opère est un grand classique apprécié, je dois avouer… La main est un instrument toujours aisément disponible et être mise en travers des genoux de mon fesseur m’aide à me sentir sécurisée et légèrement retenue en même temps.
- Comment vois-tu ton avenir, autant côté travail que vie personnelle et ainsi de suite ?
- Et bien, j'espère continuer à travailler comme modèle pendant un bon moment encore, mais il est évident que viendra un temps où j’aurai envie de passer derrière l’objectif à mon tour, pour réaliser les photos et les films comme je l’entends en devenant éditeur pour notre site Web.
J’ai également des projets de sites, (sans le moindre rapport avec la fessée, au passage) histoire de poursuivre en parallèle mon autre carrière et de parfaire ma formation en création et web design…
Dans ma vie personnelle, je recherche en ce moment une chouette maison pour y vivre avec mon petit ami. J’ai bon espoir d’en trouver une dans un coin tranquille, suffisamment bien insonorisée pour lui permettre de me donner une bonne fessée de temps en temps sans que les voisins ne se posent trop de questions !
- Question classique : ton meilleur… et ton pire souvenir de fessée ?
- Tu sais, j’ai un tas de super souvenirs de fessées depuis que je suis modèle, des scènes très drôles ou très troublantes aussi, mais mon meilleur souvenir reste la première vraie fessée donnée par mon petit ami.
Cette première fois où il m'a mise en travers de ses genoux pour me fesser (si fort en plus !) était d’autant plus étonnante et inédite que je ne m’attendais pas du tout à ça venant de lui… Oh, il l'a fait si bien et avec tant d’aisance que je le soupçonne d’avoir étudié en douce des vidéos de fessées pour apprendre la technique… Questionné après, il a simplement souri en prétendant avoir un don naturel pour la chose, en fin de compte.
Mon pire souvenir, puisqu’il me faut bien l’évoquer… Erreur d’appréciation de ma part, au cours d’un t'chat concernant la fessée. J'avais 19 ans, je n'avais pas encore jamais parlé à mes amis de mon intérêt pour cette pratique, et un peu naïve, je n’ai pas pris assez de précautions comme je le ferais aujourd’hui en pareil cas… J'ai rencontré cet homme sans prévenir une amie, par exemple, pour lui dire où et avec qui je serais.
Ce type m'a frappé violemment avec une latte en plastique arrachée sur mes stores de fenêtre et m’a laissé salement amochée, (je te passe les détails) refusant de partir jusqu'à ce que je le menace de hurler au secours et d’appeler la police. Rencontrer d'autres personnes comme toi intéressées par la fessée peut être très fun, mais comme j'ai appris ce jour-là, des mesures de sécurité appropriées doivent toujours être prises en amont.
- Es-tu déjà venue en France ? Est-ce important pour toi d’être connue ici, dans un autre pays ? Pourquoi acceptes-tu de répondre à mes questions ?
- Non, je n’ai pas eu l'occasion de visiter la France. J'ai travaillé pour une compagnie française pendant deux ans avant d’entrer à l'université, mais je n'ai jamais eu l’opportunité de me rendre à la maison-mère, à Paris… J'ai néanmoins été en Europe un certain nombre de fois, toujours des voyages en Allemagne pour rendre visite à ma famille, côté maternel.
Je suis très amusée d'être (un peu) connue dans un autre pays en dehors des États-Unis. Je pense qu'il est merveilleux que cet intérêt commun nous relie au-delà des distances, bien que nous soyons l’un et l’autre de nationalité différente... OK, je suppose que nous n’avons ni la même culture, ni la même expérience, forcément, mais j'ai acceptée avec plaisir cette demande d’interview à distance. Tu me l’as demandé très gentiment et t'as l’air - à travers ton blog en tout cas - d’être un type "vrai"...
En plus, tes questions étaient différentes de celles qu’on me pose d’habitude, tout en me donnant l’occasion de repenser à certaines choses et grâce à toi, j’ai dû me creuser un peu la tête pour y répondre le plus sincèrement possible, au mieux…
- Pixie, tu sembles aimer la nature au point de te faire souvent photographier fesses à l’air en forêt. Est-ce qu’il t’es parfois arrivé de croiser des promeneurs et d’avoir à précipitamment remonter ta culotte pour ne pas être prise sur le fait ?
- (rires) Tu as raison, j’adore ça, les photos fesses nues en forêt. Je trouve qu’il y a quelque chose de spécialement excitant d'être toute nue dans la nature.
Cependant, j'essaye de choisir des fringues qui me permettent de me couvrir rapidement si quelqu'un devait arriver par inadvertance pendant une prise de vue…
Très timide de nature, je serais probablement plus embarrassée que lui si j'étais surprise ainsi, mais j’espère surtout que je ne choquerais personne.
- Quelle importance accordes-tu à ton blog "spankingpixie" ? Tiens, au passage, même si j'ai bien une petite idée, pourquoi avoir choisi ce pseudo de Pixie (qui signifie "lutin" en français) qui te va si bien ?
- J'ai vraiment beaucoup de plaisir à faire ce blog. Il me donne l’occasion de partager ce qui m’arrive dans la vie avec un tas de gens, des trucs concernant la fessée ou pas, d’ailleurs… Ça me permet de conserver un lien virtuel avec les autres et de leur prouver que je ne suis pas que la petite peste à laquelle je joue sur "Punished Brats", par exemple…
Pixie ? C’était mon pseudo sur un forum de fessée. J'y avais pensé parce que toute gamine j’adorais déjà les lutins et les contes de fées… Je rêvais même d’en devenir une, de fée, une fois devenue grande...
La première fois que j'ai travaillé avec David Pierson, il m’a suggéré de reprendre mon pseudo du forum, puisque j’étais déjà connue comme telle par les membres. Il me va comme un gant et je l'aime vraiment maintenant car il est unique…
- Merci, miss...
(interview inédite réalisée par mail et traduite par Stan/E. - mai 2007)
PS: 18/05/07. La demoiselle a bien aimé ma façon de mettre en scène son interview, avec une mention spéciale pour l'illustration du Petit Chaperon Rouge... C'était amusant à faire. J'espère que vous avez pris plaisir à lire ce petit dialogue entre les USA et la France, parce qu'il y en aura d'autres à venir, en exclusivité aussi...
7 commentaires:
Pixie is so great and spankable and wonderful! great post!
:-))
Cheers,
Dave
"The Cherry Red Report"
Superbe, Stan :) J'aime beaucoup Pixie, justement pour ce côté ludique. Il y a un petit côté d'humour noir que j'adore; un peu d'autodérision, aussi.
Je dois admettre que je suis touché par son honnêteté à propos de sa première fois. Tout le monde souhaite évidemment que ça se passe de la meilleure manière, mais ce n'est pas évident. Je pense qu'il est bon de montrer le mauvais côté de temps à autre, justement afin de l'éviter... et de ne pas s'en décourager. Elle a voulu et elle a sû persévérer.
Excellent cette interview!
Et Pixie est si attachante.
A une prochaine visite
I read the English-translated interview.
Great interview! GREAT JOB! :-)))
Pixie is wonderful:)
Cheers,
Dave
"The Cherry Red Report"
She sure is, Dave... She sure is !
I asked her to put on line the translation, better way for both of us to read what she answered. In french AND in english as well.
And I linked yout cherry report yesterday.
S/E
GREAT interview. And GREAT photos.
Treize ans après cette interview... que devient la belle Pixie ?
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