350 - Une image dont j'ignore malheureusement qui est l'Auteur.
Voilà qui préfigure parfaitement l'interview que je prépare pour Niki Flynn, une femme qui s'approche de la douleur davantage que les autres pour moi.Allant dans des dérives parfois extrêmes - en tout cas fort peu simulées - comme pour se "trouver elle-même", en allant au bout des sensations les plus excessives que procurent fouets, cravaches et autres instruments... Bref, bien plus loin encore qu'une "banale" fessée...
Nous en reparlerons...
PS: la photo de Thomas Sing (maquillage de Lorand Lajos) est extraite d'une série de prises de vues réalisées très récemment et dont Niki souligne qu'elle fût une des plus plaisantes de sa carrière.
3 commentaires:
Vous savez que j'aime infiniment la photographie.
Je suis allée voir le "sieur" Sing; je suis restée un peu interloquée. Autant j'aime bien celle que vous nous avez proposée sur votre site autant le reste est 'à pleurer' de banalité dans la mise en scène, dans la lumière...quelle sensation 'forte'! Grrrrrrrrrr
Mmmm, Nushy, vous êtes un peu dure avec le brave Tom... S'il est capable de faire celle(s) que vous aimez, il doit bien y en avoir d'autres... Je suppose que ses images réussies ne sont pas le fruit du hasard, et que son site n'est pas représentatif de tous ses travaux, mais propose juste une sélection... Que vous n'appréciez pas.
Je rejoins l'indigne dame Nush quand à son appréciation du sieur Sing. C'est à la fois convenu et... fort mal éclairé. Il brûle presque toujours une partie du corps de son modèle dans les hautes lumières (aïe le flash !) Il manque aussi une complicité palpable entre modèle et photographe...
Bon, il a certainement réussi des photos que je n'ai pas vues ;-)
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