416 - J'ai pas mal de lecteurs et lectrices aux USA. Ce "so frenchy" blog y est référencé comme beaucoup d'autres que vous devez sans doute parcourir et qui se trouvent dans mes liens. Une petite communauté d'esprit, même si la façon de faire diffère parfois sensiblement...
Comme la plupart ne parlent pas le français, ils s'arrêtent aux images, mais quelques-uns lisent ce que j'écris grâce aux traducteurs informatiques google ou altavista...
Cette façon mécanique de faire peut servir à condition de la retravailler impérativement. Quand je réécris de l'anglais vers le français il m'arrive de l'utiliser pour avoir une base, surtout sur de longs textes, mais il faut retoucher énormément pour arriver au sens réel, sans trahir les propos de l'auteur d'origine.
Par expérience, ces trucs donnent de mes textes une traduction mot-à-mot extrêmement aléatoire très sujette à caution, au travers de contresens incroyables ainsi que d'approximations notoires.
Du coup, il se peut qu'on crée des malentendus entre nous d'un côté à l'autre de l'Océan, comme ça m'est arrivé il y a quelques mois avec la gentille Pixie, ("hi, dear...") vexée par une erreur de syntaxe après avoir traduit un post où je parlais longuement d'elle...
Un contresens à la traduction (en fait l'opposé de ce que je disais, qui une fois en anglais semblait offensant) et elle a cru comprendre quelque chose de blessant... (qui ne l'était évidemment pas)
Du coup, ce malentendu nous a contraints l'un et l'autre à nous expliquer par mail.
Heureusement mon anglais est meilleur que ces trucs informatiques et ce fut vite effacé après un échange de quelques courriels.
Donc je vous incite à la prudence, hein...
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