690 - Et que vous évoque ce tableau de Henner, "la nymphe qui pleure" ?
Moi j'ai bien une idée...
Vous me direz "tu vois de la fessée partout!" et vous n'aurez pas tort... Ce doit être la saison, sans doute. Mais cette petite demoiselle toute nue à genoux est bien plaisante à voir. Tout en me rappelant de jolis souvenirs personnels devant un miroir qu'Elle ne désavouerait sans doute pas...
Et puis cela démontre que la nymphe a eu deux vies, avec l'utilisation de la même attitude posée d'un de modèles du peintre; pour un tableau avec un gros travail sur la lumière doublé d'une "eau forte"...
Usage courant en peinture. Rien ne se perd... C'est quoi, une nymphe ?
1 commentaire:
Evidemment les deux techniques étant distinctes les effets ne sont pas le mêmes sur celui qui regarde : le ‘voyeur’.
Le travail de la lumière sur la peinture est remarquable, l’eau-forte est moins agréable. Mais c’est très personnel comme ressenti ; d’autant que l’eau-forte condense les ‘noirs’ et une image ‘reproduite’ ne fait que accentuer cet état.
Ah oui. J’oubliais : Repentance.
Devant un miroir ?! Belle idée : l’illusion du ‘non-vu’ se sachant ‘découvert’.
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