19 septembre 2008

Correction au couvent...

705 - Jolie petite gravure datant du XVIIIème et prouvant si besoin est que châtiments corporels et religion chrétienne ont souvent fait bon ménage. Pas de péché sans rédemption et vice-versa.

Ce moine qui corrige vertement une sœur fesses nues et à plat-ventre à l'aide de sa férule lui prodigue sans doute les enseignements religieux nécessaires à sa rédemption future.

(Vous remarquerez qu'il la fesse avec une queue de renard (!) et qu'elle poursuit sa lecture de la Bible, probablement, comme si de rien n'était...)

J'ai été élevé chez les bons pères, dans la plus pure tradition judéo-chrétienne, avec le spectre permanent du péché originel et de la punition divine méritée.

Toujours ce pernicieux sentiment de contrition, ces litanies de regrets, ces demandes de pardon perpétuel, suppliques et prières obsessionnelles sans fin qui contraignent les croyants à s'incliner devant une autorité suprême qui ne serait que bonté, mais n'a pourtant au final que répression permanente et punitions expiatoires à proposer aux pécheurs que nous sommes tous ici-bas...

Le nombre d'anciennes élèves des sœurs qui ont découvert la luxure et le parfum vénéneux d'une honte jouissive après un passage au pensionnat ou qui sont fascinées depuis par la fessée, avec un goût prononcé pour le sado-masochisme, me laisse décidément rêveur...

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Les vocations religieuses se font rares. Le fantasme de la fessée devra donc trouver d'autres racines que les couvents, ceux-ci se vident!

Anonyme a dit…

QUEUE de RENARD! On reste dans le champêtre! Mais si nous avons pu en savoir un peu plus sur la fessée aux orties liée aux recherches de sensations toujours plus forte, qui pourra nous parler de la fessée à la queue de renard? Cordialement PJJ

Anonyme a dit…

Ancienne élève de collège et lycée catholiques (soeurs de l'Immaculée Conception): aucune idée de la punition, même divine. Très bon enseignement, ni laxiste, ni intégriste.
La fessée et ses envies venues sur le tard (vers 30 ans) et en rien lié à cet univers là; enfin je pense.....
J'étais entourée de nombreux animaux - dont un pélican qui suivait à la trace la mère directrice - chimpanzés, biches, perroquets, cage à serpents, quelques margouillats; mais pas de renard.....
:-)

Anonyme a dit…

C'est comment? un MARGOUILLAT ?
Pas de renards? C'est pour cette raison, donc que vous échappiez aux fessées.
Bon, plus sérieusement, on peut ainsi éduquer sans terroriser, sans humilier.
NUSH, vous n'êtes pas la seule fessophile qui n'ait pas connu le châtiment enfantin.
Il me semble que fessée dans l'enfance = goût adulte concernerait plutôt les hommes,mais je peux me tromper...
J'avais connu une amie qui aimait comme vous les fessées et comme v ous n'en avait aucun souvenir venant de l'enfance. CORDIALEMENT
PJJ

Erik A. a dit…

Un margouillat est un gros lézard, et Nush qui comme moi a jadis passé un peu de temps en Afrique Noire a bien dû en fréquenter quelques-uns...

Avant de leur faire la peau ?

Car on connait sa passion pour les sacs depuis. Lézard, croco, ça se vaut.

Anonyme a dit…

Ecroulée de rire....
Un sac en peau de margouillat serait un peu étrange. Une idée soudaine que je partage avec vous: la peau de ces bêtes réagit au toucher comme la peau des c.....s!!Si, si....:-)