852 - Image pour votre petit Noël. Sur un site au nom bien trouvé: CuCu...La dernière fois qu'Il l'a vue, Il lui a ordonné de se déculotter Elle-même, vite. Elle a détesté: le jean, la culotte dans une seule et même envolée, avant de se retrouver en travers de ses genoux et de se faire fesser sans round d'observation, très fort d'entrée...
Il croit savoir qu'Elle préfère que les initiatives dans ce domaine proviennent de Lui et non d'Elle. C'est Lui qui baisse la culotte. Toujours.
Le faire Elle-même à sa demande expresse la déconcerte, finalement.
Désormais, c'est Lui qui "prendra la main".
13 commentaires:
Je crois qu'exiger de la future corrigée qu'elle mette elle-même ses fesses à nu est plus difficile pour elle. Peut-être parce que ressenti comme plus humiliant; elle ne subit pas, elle participe à sa punition; ou cela relève alors d'une plus grande soumission mentale. Elle obéit à l'ordre, elle s'offre totalement à la fessée de par ce fait; elle l'accepte, même s'il est évident dans ce jeu qu'elle ne demande pas autre chose...
Si on la déboutonne ou la retrousse, la déculotte, elle peut toujours protester, dire des "non non pas ça !", Faire semblant de se rebeller ou de s'insurger, sa croupe est mise à l'air apparemment contre sa volonté, même s'il n'y a ni violence ni contrainte. c'est sans doute aussi plus excitant pour elle de se faire déshabiller par la main de son fesseur.
Je préfère personnellement "prendre la main" selon ton expression, pouvant alors doser la progression de cette découverte des rondeurs promises à mes rigueurs...
Le jean baissé d'un coup entraînant la culotte me déplaît souverainement, et me pousserait à la sévérité !...
Oui, d'accord avec la dernière phrase. c'est d'ailleurs le sentiment que j'en avais la première fois que j'ai déculotté ainsi d'un coup et comme on dépiaute un lapin miss Kate dans la forêt pour une correction claquante et forte à souhait il y a 15 ans... Dont elle se souvient aujourd'hui encore comme la plus intense de toutes même s'il y en eu d'autres bien plus érotiques ensuite.
Et Elle, par contre (qui déteste que je la contraigne à se déculotter Elle-même) a le cœur qui bat à tout rompre lorsque sans bouger Elle me laisse défaire sa ceinture.
Puis baisser le jean, avant de l'allonger en culotte sur mes genoux...
Puis la baisser lentement pour dévoiler ses rondeurs...
Puis...
Il y a dans « l'auto-déculottage » un petit côté mortification qui me gêne. Une forme de contrition et de repentir qui ôte une part de son sens à la fessée.
Avant : on s'obstine (plus ou moins), Après : on regrette et on est pardonné, non ?
Schéma un peu normatif, certes, mais sans doute inscrit dans un inconscient qui pousse à refuser l'inversion d'un ordre somme toute assez logique. Et même si la fessée a lieu hors de tout scénario à visée punitive, la demande formulée avec autorité peut induire une certaine « contrariété ».
Mais cela n'empêche en aucun cas qu'on puisse demander à la recevoir. Et dans ce cas, s'y préparer toute seule...
Vous en pensez quoi, Monsieur E. ?
Qui m'a pris en photo, sans que je le sache?
[rêverie du samedi....]
@ Nush: moi j'aime bien le blanc, mais je vous imagine avec des culottes, comment dire ? , plus sophistiquées... et avec une chromatologie toute autre.
Quid du sujet initial ? Elle baisse, il baisse ? Tout, partiel ?
C'est lui qui baisse ma culotte à chaque fois sauf quand la fessée n'est pas un acte à part entière. Tout, partiellement, cela dépend de ses envies...
Baisser ma culotte moi-même, être face à lui, avoir son regard posé sur moi cela me rend encore plus fébrile!
Je préfère une fessée plus dure physiquement à une fessée douce où je suis obligée de me déculotter.
Il baisse ; c’est lui le grand ordonnateur. Donc, il décide.
Mais, il aime baisser, à peine, un peu plus, à moitié de la fesse charnue, au pli fessier, juste à la lisière de la cuisse, aux genoux, aux chevilles....enlever. Ci-git un amas de soie, dentelle, tulle froissé.
J’aime bien cette culotte, elle est d’un très beau tissu, lourd et visiblement stretch. Elle me conviendrait. Un côté austère dans la forme qui met en valeur les fossettes et la qualité de peau. Je peux effectivement porter des choses plus élaborées mais la simplicité a parfois du bon.
@ Coquelicot: J'en pense que je n'aime pas spécialement "l'autodéculottage" en fait. L'instant où je dévoile moi-même ses douces rondeurs encore blanches et "tièdes avant de devenir brûlantes" est probablement plus fort que si c'est Elle qui obéit et se dénude pour la punition/jeu/désir incandescente.
J'aime décider de l'instant où je ferai glisser doucement ou d'un geste sec, selon mes envies, sans réfléchir, au final.
Mais j'avais envie d'essayer, ce jour-là. Et je ne m'en plains pas.
Elle non plus, je crois. Il faudrait lui demander.
Merci pour la visite à mon Cu-Cu.
"Mais j'avais envie d'essayer, ce jour-là. Et je ne m'en plains pas.
Elle non plus, je crois. Il faudrait lui demander."
Non, moi non plus... en fait, je crois que j'étais à la fois honteuse, contrariée, fâchée, timide, en colère, hésitante, tremblante... mais je ne regrette rien, avec Lui, jamais !
@ Gotinha: la "visite de votre Cu-cu" est une phrase amusante qui pourrait prêter à sourire et est à double sens... Je suis certain que quelques petit(e)s comiques sauront y mettre un grain de sel, le cas échéant.
E.
:-)
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