27 janvier 2009

Scènes de la vie quotidienne...

889 - Petit mail de Morgane, de Montréal...

Elle y narre un instantané de vie, une émotion fugace, petite scène "volée" qu'on pourra rapprocher de celle du "déclin de l'empire Américain" dont j'ai déjà eu l'occasion de parler, quand Diane (Louise Portal) raconte comment son nouvel amant - un type absolument pas de son milieu rencontré dans un bar, genre voyou - l'entraîne peu à peu vers des plaisirs sulfureux qu'elle découvre et auxquels elle prend énormément goût, à sa grande surprise et surtout celle de sa copine qui l'écoute, bouche bée...

"Il m'est arrivé quelque chose de surprenant la semaine dernière...

Comme tous les dimanches, je vais faire des longueurs à la piscine du collège. Suivies de 10 minutes de sauna...


Assise sur le banc de bois, je regardais distraitement par la petite fenêtre de la porte et j'aperçois une jeune femme qui se sèche dans la salle de déshabillage, ôte le haut de son maillot de bain sans gêne et enfile un t-shirt...


Puis elle ôte le bas et... m'offre deux petites fesses rougies, légèrement violacées !
Je n'en revenais pas, c'était la première fois de ma vie que je voyais ça. Je me suis sentie complice de son intimité, elle n'en a rien su...

Je suis passée près d'elle et elle parlait à sa petite en disant de se dépêcher: "Papa nous attend dehors..."

Alors j'ai souri en pensant que "papa" pourrait bien mettre la fessée, si "maman" tardait trop !


Je n'ai partagé cet épisode qu'avec un seul ami... et vous !"


2 commentaires:

Anonyme a dit…

Une bien belle aventure....lol!

Erik A. a dit…

Je sens une moquerie dans ce lol inhabituel chez vous, qui écrivez mieux que ça, d'ordinaire...

Parfois une image surprise marque la rétine comme ça. Je me souviens d'une fessée donnée par une voisine à sa fille dans un hall d'immeuble, à un moment il lui avait semblé qu'il n'y avait personne et parce que la môme l'avait poussée à bout. Bref, intense, déculottage rapide, une dizaine de claques et hop, terminé, sans témoins.

... Sauf moi. J'avais 15 ans, et j'étais dans une encoignure, le souffle coupé. Comme quoi de petits détails peuvent à jamais modifier la libido...