26 juin 2009

Et comment fesse Stan ?

1069 - Question essentielle, vous l'avouerez...

Qui fait suite au mail récent d'une correspondante curieuse qui semble se la poser et me demande l'autre jour l'air de rien:

"Mais euh... Stan, vous... Comment est-ce vous fessez ?"


Comment, "comment" ? Est-ce que je sais, moi ? En voilà une question !

Outre qu'elle n'est à priori pas concernée, dur à expliquer et faire ressentir comme ça, par écrit. Et puis ça dépend aussi pas mal de la demoiselle, n'est-ce pas ? De ce que je ressens de son seuil de résistance à la douleur, de sa libido, ses envies et fantasmes ainsi que de son degré d'abandon...

De ce qu'elle aime, en fait. En évitant égoïstement de ne penser qu'à moi. Bref, m'adapter à ses fesses autant qu'elle s'adaptera à ma main...

Et voilà que ce matin je tombe sur une excellente vidéo qui pourrait lui donner quelques indications, même si nous avons là affaire à deux femmes en action. Dont la correctrice qui ne fait pas les choses à moitié et n'hésite pas à retirer son bracelet pour mieux passer la "deuxième couche"...

Oui, je fesserais un peu comme ça, tiens ! Très fort d'entrée.

Quelle belle volée !

23 commentaires:

Myamu a dit…

Bel enthousiasme de madame à la manoeuvre !

Erik A. a dit…

On peut le dire... Une manuelle, visiblement !

Nush a dit…

Un rythme, une présence...une chaise, un tapis, deux femmes!
Surprenant et (presque...) drôle.

Sophiefofie a dit…

Juste un avis de fille…

Oui, il y a pas mal de vidéos comme celles-ci sur les sites X, suffit de taper les mots "fessées" ou "spanking", et le tour est joué…

Certes, nombreuses sont bien trop "hard" et loin de mon fantasme de "la vilaine qu'on balance sur ses genoux pour la fesser comme une petite fille"… Chacun son truc mais quand on aime on cherche, je ne me lasse pas de trouver encore et encore de quoi rêver...

Mais hélas, je ne vis ces scènes que dans mes rêves... Je dis "hélas" mais aimerais-je vraiment aller jusqu'au bout ? Pas si sûr… Ce qui me fait "kiffer" surtout c'est la mise en scène: la prise de pouvoir par "l'homme", me sentir une petite chose sans défense malgré ma vigoureuse opposition ça va de soi.

Le truc de la nana soumise qui accepte les yeux baissés, non c'est pas mon truc non plus ! Ce qui m'excite, ce qui me tente, c'est le côté "force", être soulevée, portée malgré mes efforts pour me libérer. La fessée n'étant pas systématique mais le risque présent...

Bref, pas simple...

Évidemment aussi tout cela ne serait qu'un jeu, l'égalité allant de soi dans la "vraie" vie...
Ceci dit et je crois que c'est également ce que tu avais dit, tout ces "jeux" ne peuvent se vivre - pour ma part en tout cas - sans "sentiments" minimum. Attirance physique évidement, confiance et respect, etc...

Étant mariée et heureuse, je ne pourrais donc les vivre qu'avec un "amant" sachant aussi que dans mon p'tit "cinoche", ce n'est jamais mon mari qui oeuvre...

Hé oui je le vois grand et fort, ce qui n'est pas le cas de mon mari ! Et puis je vois mal l'association de ce genre de jeux avec un quotidien. Quand à avouer mon petit secret… Ah non jamais !

Mince ! Je viens de le faire pour la première fois devant des inconnus, avec ce commentaire. Donc voilà pourquoi je te remercie, toi et tes "confrères", de contribuer à alimenter mon petit cinéma secret !

panaché a dit…

Mais enfin Stan... vous rigolez ? Vous ne fessez pas comme ça ! Et votre réputation alors ? Vous ne jurez toujours que par l'amour, la tendresse, la complicité et l'érotisme... J'avoue être étonnée...

Erik A. a dit…

@ Panaché: je ne vois pas en quoi c'est antinomique avec la complicité et la tendresse... Au-delà du moment "fessée" qui est très intense et que je fais vivre sans concessions, il y a plein d'autres émois qui contiennent cette tendresse évoquée, l'amour et le respect, il ne faut pas voir que les faits bruts...

Brute ?

Erik A. a dit…

En clair: quand je fesse, je fesse. Fort. Sans concession. Une fessée, pas des caresses un peu appuyée... Ou des chiquenaudes énervantes histoire de jouer le jeu.

Mais ne vous inquiétez pas, Panaché, je suis aussi plus qu'attentif à la manière dont réagit la dame.

panaché a dit…

Bon... soit... Voyez-vous j'ai un peu de mal parfois à cerner les personnes...Pour moi la fessée telle que l'administre cette femme est brutale, c'est une fessée punitive....Je n'ai pas revisionné la vidéo , mais je n'ai pas le souvenir du moindre soupçon de tendresse... En gros, vous êtes comme tout le monde alors Stan, vous aimez aussi faire mal...

Erik A. a dit…

@ Panaché: Là encore, je crains que vous ne m'ayez pas lu jusqu'au bout. Tous les mots comptent. Et tout est dit dans le post, y compris dans les commentaires et dans le blog itou pour qui me lit avec attention sans s'arrêter à la première image ou bout de phrase qui heurte sa sensibilité propre.

Non, je n'aime pas "faire mal", mais à quoi bon de tenter de convaincre une personne X de toute façon pas concernée, en plus ?

Au fond, ce n'est pas très important d'être mal perçu par des gens que je ne connais pas, tant pis si je ne peux pas tout faire passer par l'écrit et que certains comprennent même l'opposé !

Oh, ce serait plus ennuyeux si c'était le cas pour ceux que j'aime, je crois. On ne peut pas empêcher les gens qui lisent et regardent de penser exactement ce qu'ils veulent. Logique.

panaché a dit…

Stan, ne montez pas sur vos grands chevaux, je cherche juste à comprendre où se placent la tendresse, la complicité dont vous aimez tant parler dans cette vidéo... Pour moi il n'y en a pas, alors si vous dîtes que vous aimez fesser comme ça, je suis surprise voilà tout... Désolée de vous avoir ennuyé avec mes remarques, bonne journée.

Erik A. a dit…

Personne ne m'ennuie par ses remarques, et je ne fais pas d'équitation. Ne confondez pas forum et blog, ici les choses sont dites sans acrimonie ni remarques acerbes en général, que ce soit de moi ou des intervenants.

Et si je "montais sur mes grands chevaux", je peux vous assurer que vous verriez la différence...

On ne peut pas toujours tout expliquer, au bout d'un moment l'écrit montre ses limites...

Pas de souci.

Céline a dit…

Je rejoins l'avis de Panaché sur la vidéo. Elle ne m'a pas plut, un décor froid, deux femmes, et pas la moindre tendresse. Une fessée punitive sans le moindre amour, juste des coups. Je n'ai pas aimé le contexte ni les protagonistes.

Par contre cette façon de fesser si elle est est transposée dans une autre réalité, pourquoi pas ? A condition que le Monsieur ne fesse pas aussi fort sur toute la durée !

Mais je préfère, de loin, au vu de ses images sa manière de fesser à lui. Mon homme fesse de manière plus "construite" en suivant mon rythme à moi la plupart du temps et avec infinimment de douleur-tendresse...

Erik A. a dit…

Panaché titille mais a très bien compris, tout comme vous pourquoi je l'ai passé. Je parlais du rythme, de la force et de l'intensité UNIQUEMENT,

il fallait comme vous l'avez fait Céline, transposer cette façon de faire dans le contexte amoureux et ça marche très bien, en tout cas dans mon cas puisqu'ici, je ne parle que de moi et de ma façon de faire. Sans la prôner ni la mettre au pinacle aucunement...

Céline a dit…

"Tu" E, stp ! Comment tu fais pour passer aussi facilement du "tu" au "vous" avec la même personne ???

Erik A. a dit…

@ Cel: parce qu'ici c'est un peu comme à la télé, je vouvoie tout le monde sur le blog...

Ellie.C a dit…

Pour la chaleur, rien de tel qu'une fessée bien frappée, non ?

Apsara a dit…

En vérité, c'est une question fort surprenante qui semble pourtant revenir assez souvent.
Comment faites vous l'amour ? C'est différent selon les partenaires, le contexte, le goût du jour, le degrès de connivence...
Une fessée, je pense que c'est pareil, elle peut parfois être tendre, tonique, longue, courte enfin, on se comprend...
Heureusement que ce n'est pas toujours la même ! Place au jeu et à l'imagination de l'instant tout de même...
PITIE, pas de manuel, quelques connaissances en anatomie, de l'empathie, de l'observation attentive et hop !
Apsara

Erik A. a dit…

Hop, je suis assez d'accord. En fait tout dépend d'avec qui ça se passe, évidemment. Je sais depuis longtemps que les "one shot", les "passages" d'un jour ne me plaisent pas et que j'ai besoin de tisser des liens forts sur la durée.

Impossible e jouer sereinement avec une inconnue, puis de passer à une autre. Je ne suis pas non plus adepte compulsif, j'ai assez fessé pour avoir de belles images jusqu'à la fin de mes jours...

Ceci dit, j'ai encore des désirs, évidemment. Pas au point de galvauder pour autant.

Apsara a dit…

La connaissance et la complicité sont les éléments indispensables pour que l'alchimie que je décris ensuite puisse avoir lieu..cela me semblait évident en fait
Apsara

Erik A. a dit…

Oui, évident pour vous, pour moi... Mais pas pour tout le monde dans ces rencontres dédiées fessées, parfois des gens qi se sont contactés par le net ne se voient que pour ça. J'ai lu des récits où après 5 minutes à peine autour d'un café, deux inconnus qui ont chacun fait un pas l'un vers l'autre en train (parfois de très longues distances) filent à l'hôtel direct...

Deux heures plus tard, retour à la gare au revoir et merci...

Inconcevable pour moi. Qu'on comprenne bien que je ne critique pas cette façon de faire, parfois le seul moyen pour vivre les choses, mais qu'elle est aux antipodes de la mienne.

Stan/E. a dit…

Comme on parle de la fessée Valentinesque, je lui remontre un post d'antan... Les commentaires sont intéressants comme toujours grâce à vous...

Valentine a dit…

Il semblerait que l'heure soit venue pour moi, de réaliser ce qui m'attend, et de préparer mes fesses. A mon avis, il ne sera pas nécessaire d'utiliser un amplificateur de son, c'est déjà ça. (Sourire)

Je ne me rappelle pas avoir déjà vu cette vidéo, mais je ne m'attarde que rarement sur les clips F/F, pour autant ça donne l'idée de ce qu'est une fessée sans concession et ça me parle.

Stan/E. a dit…

Disons que ça me parle. Panaché n'avait pas tort dans son raisonnement. Mais sans aller jusqu'à analyser trop le côté ultra-ricaina des deux femmes en action, j'aime cette façon de faire qui est sans concessions.

Parfois, il faut agir.