1161 - Un magazine pour raconter mes histoires de fessées ?Peut-être que la couverture du mois de septembre serait la suivante...
Réminiscences de vécu partagé.
Mes plus jolis souvenirs, je les ai déjà narrés ici et en relisant, j'ai la forte impression de ne pas avoir oublié grand chose.
D'ailleurs, soyons clairs:
Si je devais vous raconter de nouvelles histoires vraies, il faudrait désormais que je les vive d'abord...
La teneur des articles qu'il y aurait dans ce journal fictif ? Ne vous posez pas la question, c'est évidemment contenu dans les centaines de posts, d'images et de liens proposés sur ce même blog depuis trois ans et demi...
9 commentaires:
ah franchement j'aimerais bien que ce journal existe...
Finalement, il existe. Ici... En cherchant bien, on trouve pas mal d'articles de fond, vous ne trouvez pas ?
absolument ça le ferait très bien... mais bon je suis une amoureuse du papier...(mon côté lotissements des années 50);-))
Moi aussi, j'aimerais bien que ce journal existe parce que moi aussi, je suis une amoureuse du papier.Et puis "exclusif: 24 heures avec Stan" ,ça fait rêver!
J'en connais qui vous diraient sans doute que c'est bien de rêver mais que ça ne fait pas tout... 24 heures avec moi ? Hum, j'ai bien des côtés pénibles à entendre certaines personnes de mon entourage immédiat.
Ah, vous parliez "fessées" ? Alors là, oui, je plussoie.
Évidemment qu'on parle de fessées ! Quoi d'autre? Vous ne voulez tout-de-même pas que je fasse votre ménage ou que je repasse vos jeans!
Pour de faux, mais c'est vrai que j'aimais bien.. Et les titres... Ils se rapportent évidemment à un certain vécu !
Si je comprends bien vous avez fait profiter les voisins lors d'une nuit dans un château-hôtel de Bourgogne...ou le contraire?
Je crois qu'ils ont passé une bonne soirée, et nous aussi... En fait pour vous narrer la VRAIE histoire, je dois dire que nous avons attendu qu'ils partent dîner, vers 19h30, pour entamer le jeu entre nous. Ce fut plutôt bruyant... Et tendre aussi, après.
Ensuit,e c'est nous qui sommes descendu dîner... Eux remontaient déjà, avec leurs deux enfants...
C'était là...
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