25 janvier 2010

Retour sur investissement en images...

1444 - C'est un post d'Aurora, "sweet submission", qui me remet soudain en mémoire le travail de Frédéric Fontenoy.

Évoquer les posts publiés sur d'autres blogs ne signifie pas que l'on manque d'inspiration, c'est au contraire un truc qui redonne parfois un coup de projecteur salutaire permettant à ceux qui ne suivent pas tous les jours (et ont la flemme de fouiller dans les archives) de découvrir des choses "ratées" en leur temps, au moment de leur parution...

J'avais donc déjà causé il y a quelques mois de ces photos très amusantes et décalées autour de la fessée, des images volontairement surjouées très belles avec un noir et blanc profond.

J'aime bien celle de la tapette à tapis... Si le cœur vous en dit, vous pourrez vous en offrir un en suivant le lien "jardinerie"...

Ça doit forcément faire des putains de marques rouges qui s'impriment comme si elles étaient joliment dessinées au pochoir, non ?

5 commentaires:

Ellie C. a dit…

Et pour le martinet, c'est le lien "animalerie" (Dieu du ciel, quelle mauvaise foi ! ;))

Emma a dit…

ce sont de belles photos mais à l'atmosphère étrange. En les découvrant , je me suis souvenu de "La punition" , un livre étudié en seconde et qui avait valu à la prof de sérieux ennuis. Même impression d'univers malsain quoique plus class...

Stan/E. a dit…

La "punition" ? Le bouquin de Xavière que j'ai lu en cachette ? Mais vous étiez où au lycée ? C'est incroyable d'étudier ça en seconde.

Emma a dit…

le plus drôle , c'est que c'était un lycée catholique! la prof a faillit se faire virer... faut dire qu'on était très jeune ( moi , j'avais pas encore 14 ans) et fallait nous expliquer... euh... beaucoup de choses)c'est des parents qui se sont plaint... mais , c'est la meilleure prof que j'ai jamais eu. Elle nous a parlé de l'excision, de mariage forcé. Le principal a frôlé la crise cardiaque avec elle.Comme ouverture sur le monde , c'était "grand large"

Stan/E. a dit…

J'aime les profs comme ça... J'en ai croisé un ou deux dans ma vie et ce sont d'eux dont je garde le souvenir. Évidemment.