22 février 2010

Monument-souvenir !

1515 - Marignan, non ?

Date serinée et apprise une fois pour toute à l'école au même titre que les tables de multiplication et qui donc reste imprimée à tout jamais dans la mémoire... Ma mémoire.

C'est le cas pour certaines dates importantes, anniversaires et autres moment-clés... Juste pour ne pas oublier le 22 février.

11 commentaires:

Ana a dit…

Ah ces dates qu'on nous fait apprendre par cœur (à l'aide de coups sur les fesses pour les récalcitrants à l'Histoire ?) et qui ne servent plus à rien par la suite hormis pour la "culture générale"...

A quand le post 1789 ?

Stan/E. a dit…

Dans 274 posts exactement et vers le mois de septembre, sans doute. On en recausera.

Miarka a dit…

C'est ce qu'on appelle un "lieu de mémoire" ?

Stan/E. a dit…

@ Miarka: un endroit qu'il croyait tranquille, quasi désert, mais avec un peu trop de monde en haut des marches, au final... Fin de journée, menace sourde, regard inquiet de la dame pendant qu'ils marchent vers le dôme. Hélas, une famille de fâcheux un peu trop présente campe et reste autour du monument en dépit du froid et elle échappe à une fessée promise.

Plus tard ?

So a dit…

Une date dont j'aime bien que mon entourage se souvienne...Sinon je boude, NA ! Rire

Nush a dit…

Les dates sont nos marqueurs, elles signent le temps à la faveur d’un Stabilo Boss Fluo. Dans nos cœurs et notre esprit.
Sauf à être hermétique aux dates. C’est mon cas.

So a dit…

Un avis masculin. Mais chutt, il n'en sait rien! Je lui ai copié ce billet, voici ce qu'Il m'a renvoyé:

j'ai le sourire aux lèvres en lisant ces extraits, c'est une forme de détente, ça a un petit côté léger ...
Le début est du pur vanille : Ils se sont levés tard après avoir fait l'amour tendrement au petit matin une première fois, traînant ensuite au lit avec le petit déjeuner.
Ils ne surveillent pas leur ligne, dis moi : Ils sont en train de déguster des tartelettes choisies avec attention, si appétissantes derrière la vitre du comptoir de cette pâtisserie de la grande rue qu'il leur a été impossible de résister. Elle manque de s'étrangler avec sa tartelette à la rhubarbe, d'ailleurs.
Elle ne ferme pas la salle de bains à clef, elle : Puis un bain dans la grande baignoire où elle babille et lui raconte plein de choses, en se délassant toute nue sous son regard attentif…
Mais finalement c'est notre histoire qui est racontée :
- ils aiment le café et aussi la fessée
- lui est sur de lui, dominateur, joue au matou (et elle à la souris)
- elle est inquiète, se mordille la lèvre, fais semblant de ne pas entendre (c'est assez féminin je trouve), cligne nerveusement : il me semble tout de même que tu as moins de tics nerveux.

Ceci étant l'histoire ne dit pas
- ce qui se serait passé si leur chambre avait été au milieu de l'hôtel
- pourquoi la fessée de la veille est toujours trop faible

VA, TU NE PERDS RIEN POUR ATTENDRE !!!

So a dit…

Stan, vous aurez rectifié vouys-même, c'était un commentaire destiné au billet du 28 février !

Erik A. a dit…

On approche de la date anniversaire, dites donc...

So a dit…

Même pas la date anniversaire, non, encore une simple histoire de calendrier...que beaucoup ne souhaitent pas d'ailleurs., mais chez nous, si. Je ne vais pas chercher l'intérêt de la chose, c'est juste sympa de recevoir des signes, tout au long de la journée, de ceux qu'on aime et qui nous aiment, parents, amis... Alors oui, toutes les occasions sont bonnes à saisir pour ces petits témoignages ! Il y a eu des périodes riches de diplômes, unions, naissances...à fêter. Mais comme on s'y est tous mis à la même époque, c'est le creux de la vague côté évênements. Reste quelques dates...

So a dit…

Je me souviens de 1515... Georges Pérec s'en souvenait aussi. Et il se souvenait même de 1516, 1er anniversaire de 1515...
D'ailleurs, dans votre billet du 30 décembre 2010, vous aussi, vous aviez fait un clin d'oeil à Pérec.
Au fait, que diriez-vous d'une rubrique littéraire ?
Tiens, mais je suis en train de vous faire l'inventaire des rubriques possibles ! Un inventaire à la Pérec...ou à la Prévert, c'est selon...