"En courts fragments, comme en autant d’instantanés qui n’ont pas froid aux yeux, ce roman nous présente Minette sous toutes les coutures et en découd avec certains mythes sur la féminité cousus de fil blanc.
Nous y apprenons ce qu’elle fait à ses amants et ce que ses amants lui font, ce qu’elle aime ou n’aime pas, ce qu’elle pense de ceci ou de cela et notamment des hommes.
Nous y apprenons ce qu’elle fait à ses amants et ce que ses amants lui font, ce qu’elle aime ou n’aime pas, ce qu’elle pense de ceci ou de cela et notamment des hommes.
Par exemple, elle ne croit pas du tout que les amibes soient des organismes vivants les plus simples, elle affirme que ce sont les mecs !
"Ils se réduisent à peu près à leurs couilles", dit-elle, "où se loge également leur cerveau..."
Mais si elle a en elle cette affolante épice qui fait que les hommes lui courent après, il est vrai aussi qu’elle court après les hommes.
Mais si elle a en elle cette affolante épice qui fait que les hommes lui courent après, il est vrai aussi qu’elle court après les hommes.
Dessins © Gérard DuBois
4 commentaires:
Chouette le masque sur les fesses. Si seulement on pouvait aussi avoir des yeux à cet endroit, la vue serai beaucoup plus intéressante que vos pieds , messieurs... avez vous pensez à cirer vos chaussures ?
J'avoue, j'aime évidemment beaucoup ce dessin "masque posé sur croupe", dont on peut s'évertuer à chercher la symbolique étrange, au gré de son inspiration, évidemment.
On ne peut pas tout cirer non, plus, là j'ai des chaussures en toile ! Mais vu le temps dehors, pourri, je vais plutôt opter pour des bottes d'égoutier.
Très, très intéressants ces dessins 'obscurs'.
Mon préféré est celui de la main qui tire la culotte. Très, très intéressant...:-)
Le dernier dessin est lui aussi très, très intéressant... ;-)
Evocateur de scénographie privée raffinée.
Merci pour cette découverte.
B
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