1660 - "Et mes seins ? Tu les aime, mes seins ?"...
J'avoue ! Je ne fais pas partie de ces garçons qu'un 95C fait bander plus que de raison et qui s'excitent en voyant apparaitre un sein.
Je n'y attache pas une importance particulière, probablement le fait d'avoir été nourri au biberon dès mon premier âge au lieu du lait maternel ?
Question posée...
Et ma passion pour les fesses fait qu'il est arrivé que mes amies me rappellent parfois à l'ordre gentiment mais fermement, me demandant - sans cesser d'être obnubilé - de ne pas oublier leur poitrine, merci...
Bref, empaumer un sein ou titiller les pointes du doigt ou de la langue en essayant de ne pas les prendre pour un bouton de flipper.
Quoique, en y repensant, cette expression colle au clito...
C'est souvent ainsi que les demoiselles préviennent qu'il faut en user avec précaution... Mauvaise expérience oblige, je suppose ?
L'homme "qui ne sait pas" chope la petite excroissance, ce fameux clitoris qu'il croit comparable à un petit pénis, puisqu'il l'a lu dans des revues spécialisées. C'est sûr de sa façon de faire et persuadé qu'il l'emmène au septième ciel - quand il trouve, déjà... - qu'il tourne et retourne dans un sens, puis dans l'autre, certain de déclencher le plaisir de l'impétrante, de la faire vibrer, puisqu'elle mouille, il peut le vérifier de l'index. Ou du majeur. Voire du pouce.
Et de la langue, tiens...
Oui, mesdames, j'avoue, le nichon est AUSSI une zone érogène que j'ai tendance à négliger au détriment des rondeurs postérieures qui ont ma faveur, d'emblée sans qu'on ne me demande quoi que ce soit, là...
Mais j'ai fait des progrès. On n'est plus obligé de me rappeler à l'ordre. C'est déjà ça...
Bon, mesdames, j'aimerais bien votre avis là dessus, vos expériences et ce que vous accordez dans votre libido à l'érotisme "du haut"... Une de mes amantes d'antan jouissait quand on lui suçait les pointes sans autre excitation extérieure, même pas un doigt, un vrai orgasme assez étonnant.
Sans aller jusque là, est-ce important pour vous ?
7 commentaires:
On ne se refait pas effectivement. J'en connais d'autre comme cela si ça vous rassure.
J'y accorde aucune importance. Mes seins je les aime pas, ils sont petits et servent à rien :D
J'ai toujours pensé que je ne serais une femme que lorsque j'aurais une jolie poitrine, que je pourrais mettre des décolletés plongeants et que les hommes se retourneront sur moi.
Or j'ai une "poitrine" durant qlq temps (merci bébé) mais je ne me suis pas senti plus femme pour autant.
Je n'érotise pas cette partie de mon corps et ça n'a pas l'air de perturbé Chéri plus que ça. Je crois qu'il préfère jouer avec le bas, ce qui me convient parfaitement.
Mais, il est vrai que les rares fois où Chéri ne s'occupe que de mes seins, le plaisir est intense.
En fait, je suis pas compliquée comme fille quand une zone dite érogène fonctionne pas sur le moment, suffit d'en chosir une autre et hop, le plaisir est au rendez-vous !!
@ N: oh, je ne cherche pas à me rassurer, c'est juste un fait. Et à lire le commentaire de Céline (intéressant...), j'avoue que je vois que je ne suis pas le seul à accorder plus d'importance au bas qu'au haut.
Sauf que certaines aiment les deux. Et c'est là que je me fait rappeler à l'ordre, du coup. J'ai fait des progrès, quand même au fil des ans.
Moi , avant lui , ça m'ennuyait beaucoup d'avoir des seins. Pas du tout pratique quand on fait du sport et toujours en tenue collante que les garçons louchent toujours dessus... Et puis , lui les adore( mais bon , il adore tout , l'est pas difficile)La théorie de l'allaitement , j'y avais jamais pensé , mais ça explique bien des choses, alors... Et pour les sensations , ben oui , moi j'aime ça ...aussi.
# Céline: Les seins pendant bébé, oui, bon, mais c'est pas toujours le moment où la femme est la plus "érotique"... et du coup personne n'en profite...
Avant de reconnaitre que mon fessier était particulièrement sensible à la douleur et au plaisir je savais que ma poitrine était ma zone érogène préférentielle. Aujourd’hui mon cœur –et mon plaisir- navigue en ‘valse-hésitation’ entre ces deux pôles.
Selon mes partenaires, je m’adonne à l’un ou l’autre, et constate que peu sont sensibles aux deux. Il y a toujours une forme de préférence.
Je reste très sensible (érotiquement parlant) à ce qui concerne directement mon décolleté. Les caresses douces ou plus fermes. Les succions. Parfois, une certaine forme d’empoignement. Et, en ce qui concerne l’exhibition –mon pêché mignon- c’est là que cela se passe –et pas ailleurs.
Vous en lisez des choses, vous, dites donc ! Je commence à me dire qu'on n'apprend pas grand chose à la fac... Une théorie qui tient la route, en effet. Et chez les femmes, le fait d'apprécier ou pas le tête à queue si je peux m'exprimer ainsi, trouve-t-il également son origine dans le mode d'allaitement au 1er âge ?
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