02 août 2010

Balade en forêt...

1817 - "On ne frappe pas une femme, même avec une fleur !" On a droit aux rondins, alors ?

C'est pour la photo, il n'y a pas de traces. Et vu ce qu'il utilise, je craindrais le pire dans ce cas. Pourquoi pas avec un tronc d'arbre tant qu'on y est ? Sinon, oui, j'aime bien les promenades à la campagne. Là, c'est l'hiver.

Vous noterez la subtilité de la prise par les seins.

Le vicelard qui tient la branche d'arbre a baissé la glace arrière, coincé les nichons et fait remonter la vitre pour immobiliser la fille à poil. Pas d'angoisse, jamais je ne ferais un truc pareil avec ces petites (!) choses fragiles...

Au sortir d'un excellent dîner au restaurant de l'Est de notre beau pays (et même pas l'alibi d'avoir abusé des vins de Moselle, je ne bois jamais d'alcool) une nuit non loin de Sarreguemines, je me suis retrouvé à tourner dans un chemin creux, en pleine nuit. J'ai fait descendre une demoiselle un peu interdite et pour le moins surprise, lui ai demandé d'une voix rauque de s'appuyer sur le capot.

Elle a obéi avec une sourire ambigu, silencieuse et en baissant les yeux...

À la lumière des phares, je suis allé couper une branche de buisson que j'ai effeuillée lentement sans la quitter des yeux, magnifique, femelle, les fesses à l'air, culotte baissée et robe levée. Dans l'attente.

Un joli tableau, mais comme la chair de poule sur ses cuisses venait plus de la météo que de l'angoisse naissante, (en gros, il faisait un froid de canard...) je ne me suis pas vraiment éternisé. C'était plus la situation et le fait d'oser les choses que de les faire qui m'attirait et heureusement, elle aussi. Nous sommes allés passer le reste de la nuit chez elle où j'ai pu admirer, bien au chaud sous la couette, les traces de mon passage "branchage" sur les rondeurs de son cul...

Et puisque pour moi rien ne vaut le manuel, c'est à la main que j'ai conclus ma déculottée.

J'avais déjà raconté cette histoire dans un précédent billet. Pas plus que le précédent, il ne peut exprimer le ressenti de la réalité des choses, évidemment.

4 commentaires:

Nush a dit…

Les seins coincés dans la voiture! Celle-là il fallait "y penser".....mdr!

Le Propriétaire de N. a dit…

Comme vous le dites, parfois c'est plus la situation et le fait d'oser les choses que de les faire qui est le plus excitant. Et comme vous, passer du temps à admirer, bien au chaud sous la couette, les traces de nos passages sur les belles rondeurs de leur cul est un autre plaisir merveilleux. Mais pour tout cela il faut une tout aussi merveilleuse complicité.

Stan/E. a dit…

pdN: je pense en relisant que je l'avais mieux "conté" la première fois, cliquez donc sur le lien dans le post...

Oser, le mot est lâché. J'avoue que c'est le sel de la vie et ce qui me procure le plus de battements de cœur. Passer à l'acte est un plaisir de l'instant, mais imaginer des heures ou des jours durant est le plaisir suprême. Qui d'ailleurs peu se révéler décevant une fois le passage à l'acte, mais c'est une autre histoire, qu'heureusement je ne vis pas ...

Complicité, c'est le second mot, essentiel, là aussi. Sans lequel on ne serait que des animaux. J'aime bien voir refleurir le sourire, après l'intensité des choses.

(les dernières images de N sont un vrai bonheur esthétique, vraiment... Continuez...)

Stan/E. a dit…

@ Nush: il faut assurément de gros seins pour ça. Mais au fond je trouve ça criminel, vu la fragilité de cette glande-là. Sous l'effet de la douleur, je n'ose imaginer les effets d'un geste de recul mal contrôlé. Cette image non signée, je ne l'ai passée que pour la curiosité, et davantage pour le bâton d'ailleurs, puisque je n'ai vu les seins coincés... qu'après.

C'est d'ailleurs pareil dans la vraie vie, j'ai toujours tendance à privilégier les fesses plutôt que le buste des filles...

On ne se refait pas.