12 septembre 2010

Pain de sucre...

1889 - "En portugais dans le texte"...

Je ne comprends pas tout, mais l'image parle d'elle-même, non ?

Reste que c'est très dangereux - je trouve - que de s'engueuler aussi fort avec qui que ce soit, quand on est juste vêtue d'une serviette éponge enroulée à la taille, au sortir de la douche, à poil et donc drôlement vulnérable.

Si ça tourne mal, l'humiliation de se faire dénuder d'un coup et la fessée à suivre ne sont pas bien loin.

Ça fait des images efficaces, remarquez.

La preuve avec cette dégelée à la ceinture hurlée par ces deux dames qui ne sont pas contentes dans la langue de Manoel de Oliveira...

... Qui, à part la langue, n'a rien à voir là-dedans.

Tiens, comment on dit "recevoir une branlée", en portugais ?

Extrait avec Lilia Cabral de la telenovela "Viver a vida", une de ces séries comme les Brésiliens en produisent à la file pour la chaîne de télé Globo...

11 commentaires:

Khorynn a dit…

On dit "receber una branlacha" v_v

C'est drôle tu parles toujours de honte ou d'humiliation par rapport à la nudité dévoilée. Devant une assemblée d'ailleurs, je pense que la honte revient à celui qui a désappé, qui démontre ainsi selon les circonstances son manque de contrôle ou son côté pervers. Même si bien sûr la pudeur de la victime en prend un coup.

Et dans l'intimité avec un partenaire choisi, je vois mal où s'inscrit la honte de dévoiler ou de se faire dévoiler les fesses(à moins d'être franchement monstrueux bien sûr). Or, ça revient souvent dans tes différents récits, cette dimension de honte. Comme s'il s'agissait toujours du même type de personnage qui réagit de la même façon en rougissant et en se mordillant les lèvres. Toutes les femmes auraient-elles donc cette réaction ?
(mince, rassurez-moi mesdames car je ne rougis jamais extérieurement et il me semble que je ne me bouffe jamais les lèvres en présence d'un homme)

Stan/E. a dit…

Je crois que c'est très normal que ça ne parle pas à une personne que l'idée même de ce jeu (pervers... comme tout) n'a jamais effleuré, évidemment. Oui, il y a des choses qui font énormément d'effet à d'autres et qui à moi ne font rien du tout, nous avons tous nos petits univers. Donc ton point de vue est tout à fait honorable, mais pour des gens que ça intéresse, le problème ne se pose pas.

Quant à la honte, c'est une part ludique essentielle pour certaines, pour d'autres plus attirées par les sensations physiques, non. C'est tout ce que ça veut dire.

Khorynn a dit…

Ah mais le fait que ce jeu ne fasse pas partie de mes fantasmes les plus fous ne m'empêche pas de me questionner sur ce portrait-type enfantin de la femme fessée. Je m'étonne juste de cette question de honte qui semble parfois prédominante, alors qu'il pourrait parfois s'agir de femmes plus provocatrices qui réagiraient donc différemment... mais bon, comme tu le soulignes ça ne doit pas me "parler" distinctement^^ (peut-être parce que je ne trouve pas le jeu "pervers")

Emma a dit…

Tout dépend des circonstances , en fait , Khorynn. Mon homme a vu mes fesses des milliers de fois , mais ,à ce moment là , ça m'empêche pas de me cramponner à ma culotte comme si c'était la première fois. Se dénuder dans des moments amoureux et se faire dénuder pour ça , c'est completement different!

panaché a dit…

Je trouve ce sujet de discussion particulièrement intéressant... Où se trouve la part de honte dans une fessée entre adultes consentants ? Pour moi aucune honte... à partir du moment où je sais qu'il va y avoir fessée programmée lors d'une rencontre à l'hôtel avec un partenaire, et sachant que je vais éprouver du plaisir, je ne vois pourquoi j'en aurais honte...
Je pense que ce sont plutôt les hommes qui veulent voir la honte sur le visage de la demoiselle punie, tout comme certains aiment qu'elle se débatte avant de recevoir la fessée...

Khorynn a dit…

Alors il faut -encore- simuler ? :)
(mince je ne le fais jamais ! ce qui pourrait me donner mauvaise réputation auprès de certains mecs qui ne se remettent pas en question^^)
Pourtant c'est fastoche... là il suffit de sussurer en resserrant les cuisses sur sa petite culotte blanche : "non je t'en prie... non arrête... s'il te plait... j'ai trop honte... -notez que c'est difficile de supplier et de se mordre les lèvres en même temps, mais en se tripotant nerveusement une mèche de cheveux et en baissant les yeux ça devrait passer ;)

Stan/E. a dit…

@ Khorynn (cette façon d'écrire Corinne, je m'y ferai jamais sauf qu'il y a pas mal d'hommes qui ne sont pas des primates. Penser qu'il suffit de jouer la comédie pour que ça passe c'est un peu réducteur, et préjuge du manque de finesse systématique que les filles accordent aux mâles...

Khorynn a dit…

ah non, ce n'est pas systématique :)
(Par contre j'aime assez le second degré)
Toutes façons pour ma part je ne fais jamais semblant (surtout lorsqu'il s'agit de plaisir)

(pour Khorynn c'est une vieille habitude car dans mes différents comptes, lorsque je veux m'appeler Corinne c'est déjà pris. Alors comme je ne veux pas m'appeler Corinne102 j'essaie "Korinne" puis "Korinn" "*Corinnn" "Korynn"
'khorinne"... et du coup depuis des années je suis "Khorynn")

Nush a dit…

C'est terriblement bruyant!! :-)

Stan/E. a dit…

@ Nush: j'attendais de votre part, à vous qui possédez la langue, une petite traduction de l'ensemble, que je comprenne, savoir qui est qui et le pourquoi. Le résultat est compréhensible à l'œil...

Erik A. a dit…

"Débat à poursuivre"... La honte, au final est un paramètre qui peut faire partie du "package" quand on est en action, mais on peut aussi vivre ça très bien, juste "physiquement", par pur plaisir.

Non, pas de règle d'or dans ce domaine, je dis un peu ce que MOI, j'aime, mais ce n'est ni pour prôner un style ni par prosélytisme. Chacun vit ses fessées données, reçues, comme il veut, le tout est de le vivre bien, ce qui est essentiel, convenez-en...