2222 - "Sous le signe du lien" troisième "blog du mois", celui de mars.
Je ne connais pas très bien Chut, si ce n'est au travers de quelques commentaires qu'elle laisse au gré de posts qui lui ont plu et surtout d'un texte qu'elle s'est amusée à rédiger pour moi, à la suite d'un petit pari à l'intention de mes amies lectrices virtuelles. Ce que dit la dame me plaît, assurément.
Je ne peux que tenter de vous la faire découvrir. Donc, vous conseiller la lecture attentive de "sous le signe du lien", blog passionnant très joliment ciselé par son Auteur, une jeune femme expatriée qui vit aux Philippines et en Extrême-Orient depuis des mois, au gré de ses déplacements dans la région sans que je sache trop pourquoi ni comment elle vit là-bas à 10 000 km de Paris - Charles de Gaulle.
Peu importe, c'est d'ailleurs probablement contenu dans les superbes textes qu'elle rédige depuis 2007...
Vous aimerez sans doute sa plume, ses mots et la réelle sensibilité érotique intense et trouble qui se dégage des billets qu'elle écrit avec une élégance qui m'enchante, personnellement. Je crois avoir compris que Chut est sur le point de publier un premier bouquin auquel je prédis un bel avenir.
Ça vaut bien un petit focus. Enjoy the trip. (Publié avec un peu d'avance... Car je me suis trompé de jour, le billet était programmé pour ce soir minuit, mais tant pis... Un jour de plus pour découvrir Chut...)
65 commentaires:
Chez vous, avec le pt dèj, c'est pas le journal du matin, mais le blog du mois!
Ah la fameuse Chut ! J'avais déjà suivi le lien, elle écrit très fort bien. On vous offrirait bien un billet d'avion pour aller la voir tant vous en parlez avec conviction...
enjoy the ride
En allant sur ce blog, je suis rapidement tombée sur une image que je trouve très attendrissante, la première qui illustre le texte "vertiges". En général, je ne suis pas sensible aux postures de soumission. Elles représentent tout mon contraire. Mais celle-ci, m'évoque plus un sentiment de honte, un besoin de cacher son trouble, le visage enfoui derrière les cheveux, avant même de se rajuster. La pudeur de masquer ses rougeurs, l'emporte sur sa tenue limite indécente.
Je n'ai pas eu le temps de lire le texte qui l'accompagne, mais j'y retournerai. J'ai lu celui qu'elle a écrit pour vous et qui laisse effectivement présager une belle plume.
Je n’ai malheureusement plus le temps de trop m’attarder sur des blogs mais c’est toujours avec un réel plaisir que je lis Mademoiselle Chut.
C’est sensible, actuel (dans l’écriture) et plein de grâce.
Oooooh. Petit tour du matin (oui, midi, c'est encore le matin pour moi !) sur mes blogs favoris et hop, une surprise, d'autant plus belle que complètement inattendue. Vous me gâtez, cher Stan !
Après quelques années d'écriture parfois compulsive, le blog est resté en friche et là, je n'ai plus aucune excuse pour le négliger...
De plus, mais vous ne pouviez pas le savoir, ce début mars est particulier : j'aurais dû m'envoler aujourd'hui pour Bangkok, mon départ est remis à la fin du mois. Dans quelques jours, c'est mon anniversaire. Quant à la photo qui illustre votre billet, elle a été prise l'an dernier, pile le jour de de ce fameux anniversaire, par Ethan. Crépuscule philippin d'après plongée à Barracuda Lake, où je voulais absolument retourner pour fêter mes euh... 30 ans et de plus en plus de poussière.
Alors, merci, merci pour tous ces cadeaux !
Pour vous répondre en vrac :
- Je ne commente pas tous les billets qui m'ont plu. Sinon, vous seriez noyé sous mes petites notes, à implorer grâce... Dans presque chacun d'eux, il y a une petite phrase qui m'accroche, une image qui suscite des souvenirs ou même, parfois, un simple mot qui arrête ma lecture, me faisant pousser un grand "aaaah". Un exemple : "déduit", que plus personne n'emploie au sens originel de "plaisir charnel"... sauf vous !
- La sortie du livre ne sera hélas pas pour si tôt. Je mérite bien des fessées pour ne pas l'avoir achevé. Mais menacer une amatrice de corrections croupières de telles représailles, c'est la pousser au vice de sa paresse ! :)
@ Valentine et So : merci beaucoup !
Pour la traversée, un simple billet de train fera l'affaire. Je me trouve actuellement à Paris sur pluie, coincée entre trois cartons et deux rendez-vous. Ma vie, le bordel et le froid... Les tropiques me paraissent bien loin (et le sont effectivement) !
Amitiés européennes à tou(te)s.
Je dois vous rappeler que quand je fouille dans un blog, dans les images proposées, je tente de trouver des trucs qui m'causent. J'ai longtemps cherché des images qui me semblaient vous illustrer pour ma "une", avant de tomber sur celle-là qui m'a semblé symbolique d'un truc, sans d'ailleurs que je sache vraiment de quoi, au final...
Un côté calme avant la tempête, je ne sais pas. Disons que la couleur, le cadrage... Bref, artistiquement parlant, je n'ai rien demandé à personne...
Je n'ai rien contre le fait d'être "noyé" de mots, c'est un palier qu'évidemment je ne peux imposer. Au fond, chacun poste bien ce qu'il veut et de son ressenti, très librement. On parle ici d'un domaine très trouble qui "signifie" pour beaucoup, avec certes des nuances, y compris de vocabulaire.
Le fameux "déduit" me vient probablement des "Rois maudits" de mon adolescence et donc de Druon, en droite ligne. J'aime les expressions désuettes et je suis soufflé que vous l'ayez remarqué, celui-là.
Et c'est vrai que s'il vous faut réellement une (bonne) fessée d'encouragement, je serais ravi de contribuer à la reprise de votre travail littéraire... mais je m'égare.
Le choix du blog du mois est comme toujours un coup de cœur. Rien d'autre...
Pour la photo : difficile, en effet, de trouver l'image emblématique d'un blog, à fortiori si l'auteur doit y figurer (aucune obligation, mais c'est mieux, non ?). A une époque, certains billets étaient accompagnés de portraits. Je les ai supprimés pour leur préférer l'anonymat et les - beaucoup plus - beaux clichés des autres. Il en reste une, toutefois, mais mon épaule cache mon visage. Donc, ça ne compte pas. :)
La calme avant la tempête, vous savez parler aux femmes ! En revoyant la photo, j'ai pensé à L'Ile, un film vu avec Ethan (qui m'a aussitôt rebaptisée FSDL, aka Fuch-Shit-Die-Lover vu mes goûts cinématographiques, mais c'est encore un autre sujet). Mais non, je le jure... Je ne dissèque pas les poissons ni ne jette dans la mer des oiseaux encagés !
Mer, noyé de commentaires... voilà la transition assurée. Merci Stan !
Je m'auto-censure souvent, certainement à tort. Souvent aussi, c'est le manque d'envie de prendre le clavier à ce moment précis, sur l'air de "j'y reviendrai". Mais une fois la spontanéité disparue, le comm' me semble sentir le réchauffé. Alors je le laisse dans sa casserole. Bêta, comme manière de procéder.
Déduit... Pas Les Rois Maudits pour moi (non lu, vous le conseillez ?), juste un reste de mes études spécialisées. Perdu, je ne suis ni sexologue ni grisette, bien qu'ayant pensé aux deux, et à l'un plus qu'à l'autre. :)
Il existe un quasi synonyme que j'aimais bien, surtout décliné. "Soulas", soul las, sous la à l'oreille et à condition de garder la consonne muette. Mais ce mot a sombré corps et biens, j'en ai peur.
A très bientôt, Stan. Et ce n'est pas, cette fois, qu'une figure de style.
Quand j'ai choisi cette image dans vos albums où je suis entré par intrusion pour illustrer mon propos et le "blog du mois" comme je l'ai fait avec les deux premiers, j'ai pensé qu'il s'agissait d'une de ces photos que vous semblez prendre lors de vos voyages en Asie, de passants, une jeune femme "native" en train de prendre un bain vespéral. Et puis je me suis imaginé qu'il s'agissait de vous, Chut, et que l'image avait été prise par un compagnon resté sur la plage à la tombée du soir.
C'est pour ça que j'aime...
Oui, vous imaginez bien. Nous revenons d'une magnifique plongée. Pas de barracudas à Barracuda Lake, une vie marine limitée, mais un décor de grand canyon, un mélange d'eaux douce et salée qui trace des lignes noires mouvantes, une eau de plus en plus chaude à mesure de notre descente... 30 mètres, presque 40 degrés.
Une fois les bouteilles vides, nous avons cheminé dans l'autre sens, sur les raidillons entre les rochers. Ethan porte tout son équipement, j'ai dû laisser le mien à notre guide : le sol est trop glissant, les cailloux trop acérés, mes pieds sont nus et je risque de tomber.
Nous arrivons enfin de l'autre côté de l'île. Le bateau est amarré dans la baie. J'avance, Ethan dans mon dos. Il a pris la photo à l'instant où je vais m'élancer pour nager.
Cela fera pile un an demain et c'était un de mes meilleurs anniversaires.
Non, vraiment, vous ne pouviez pas mieux tomber.
Difficile de ne ps conseiller les Rois Maudits... Je ne parle pas là des calamiteuses versions télé de 73 avec Jean Piat, encore moins de l'hideuse version récente et clipesque Téhefouanée d'une Dayan qui plombe tout ce qu'elle touche à sa sauce kitsch. Mais bien évidemment des six tomes de Maurice Druon.
Séduisant, pervers, une version qui donne envie de reilre l'Histoire, ensuite.
"Les grandes familles", pas mal non plus.
Mais pour le déduit, voyez guichet 2.
Merci, Stan !
Le déduit, c'est finalement comme les impôts : ticket obligatoire, vérification d'assiette, versement en plusieurs fois, puis... solde de tout compte !
J'utilise ces expressions aussi parce que j'ai travaillé sur la langue du Moyen-âge, dans un scénario de quelques centaines de pages... Du coup je possède un vocabulaire étoffé, quoi que désuet.
Au passage, avec un peu de retard, etmême parisien sous la grisaille loin de l'océan, joyeux anniversaire, Mlle Chut.
Merci beaucoup, M. Stan !
Tombée par hasard sur un bouquin dont la 4ème de couverture m'a évoqué Chut...allez savoir pourquoi...
Les latitudes amoureuses
Et du coup, en jetant un oeil au blog de l'auteur...un billet sur les amours plurielles, qui m'a rappelé une de vos expressions me concernant : "conjugalité exclusive" amours plurielles Ah aha ahaa ! Superbe façon de légitimer l'indifèlité! Mais bon, c'est comme pour la fessée, l'essentiel est de s'assurer qu'on est bien sur la même longueur d'ondes avec l'autre. Dès lors que les 2 partenaires y trouvent leur compte, ma foi... Sauf que, la famille qu'on a fondée, les enfants, dans tout ça ?...
Bon, c'était juste une envie de réagir à ce que je venais de lire. Stan, n'allez pas croire encore une fois que je vous prête quelque intention que ce soit. Dans aucun de vos billets il ne m'a semble percevoir un 'polyamoureux'.
Amusant, après avoir évoqué Chut, j'ai fait un saut chez elle, voir s'il y avait du nouveau. Le blog de Françoise Simpère est sa 1ère invitation au voyage, juste avant Au fil des jours...
J'en envie de rebondir sur ce que vous dites So.
"Pour la fessée, l'essentiel est de s'assurer qu'on est bien sur la même longueur d'ondes avec l'autre. Dès lors que les 2 partenaires y trouvent leur compte, ma foi... Sauf que, la famille qu'on a fondée, les enfants, dans tout ça ?..."
(Je ne reprends que ce qui concerne les rencontres fessées, et non les liaisons amoureuses)
En fait, je ne vois pas trop ce que la famille et les enfants viennent interférer là, lorsqu'il s'agit de personnes qui se rencontrent uniquement dans le but de vivre une passion commune qu'est la fessée. J'interviens avec ma vision des choses, car il n'a jamais été question d'amour pour ma part, lors de mes diverses rencontres "fessées".
Les rencontres peuvent être intenses en émotions et trouble, sans que des sentiments amoureux viennent s'interférer. J'ai toujours respecté la vie sociale et familiale de mes complices, car il s'agit bien de complicité, sans juger leur besoin de satisfaire leur petit jardin secret. On ne sait jamais ce que réservera demain, et j'ai une devise : "y a pas de mal à se faire du bien, tant que l'on ne fait de mal à personne" dans tous les sens du terme. J'ai eu une fois un coup de foudre pour un gars que je croyais libre (hors contexte fessée), il était marié avec un enfant, je me suis effacée afin de le laisser vivre en paix avec sa femme et son enfant.
Je suis une grande fille et depuis, je me suis blindée de ce genre de chose, afin de me protéger.
Je profite de la vie lorsqu'elle m'en donne l'occasion mais je ne mélange pas l'amour à mes rencontres "fessées" aussi troublantes soient-elles. Je sais où je vais à chaque fois, lorsque les choses sont bien établies je ne m'y déroge pas, mais je les vis intensément, sans envahir l'espace privé de mes complices. La longueur d'onde, l'osmose, le trouble sont de mises pour bien réussir ces rencontres, mais aussi la confiance, le respect et l'écoute de l'autre. Jusque-là, l'expression "relation amoureuse", n'a jamais fait partie de mes conditions à la base. Je n'y croirais même pas. Alors le petit jardin secret aléatoire, n'entre pas en considération avec la famille et les enfants qui eux sont une valeur sûre. Il ne faut pas tout mélanger. Vous suivez vos propres convictions qui sont honorables, les autres suivent la leur, mais il n'y a pas de jugement à y apporter, si ce n'est des réflexions.
J'ai une autre devise "chacun fait ce qu'il veut de son cul" et ça ne regarde pas les autres.
Ma vie personnelle ne m'a jamais empêchée d'assumer jusqu'au bout ma vie de famille. J'ai pu concilier les deux sans qu'aucun de mes enfants n'ait de regard vis à vis de ma vie sexuelle, pas plus que j'en ai eu vis à vis de la leur en respectant leur jardin secret quel que soit leur âge.
En clair, je n’ai jamais fouiné dans la vie des autres pour leur soutirer des informations qui ne me concernent pas, pour en savoir plus que ce qu’ils ont envie de partager. Essayer de comprendre, en s'interrogeant sur certaines questions que l'on se pose est une chose, mais satisfaire une curiosité malsaine, en est une autre.
J'entends bien votre point de vue, Valentine. Mais il me semble que nous ne parlons pas de la même chose.
Je faisais référence à Françoise Simpère: Mariée et mère de deux enfants, elle revendique ses autres amours comme faisant partie intégrante de sa vie. Elle ne condamne pas la monogamie, mais revendique le droit à d’autres modèles...Elle explique: "J’ai un ami depuis 25 ans, avec lequel j’ai du avoir cinq relations sexuelles. Est-ce que cela en fait un amant ? J’ai une intimité avec les hommes que j’aime, faite essentiellement d’amitié, un sentiment où l’on aime les gens pour ce qu’ils sont, et de désir lorsque cela arrive. C’est une amitié amoureuse...Mon mari et moi avons toujours eu des relations amoureuses en dehors du couple, certaines depuis de nombreuses années. Lui est plus "couple", même avec ses compagnes. Moi, je suis plus "exploratrice" : ce qui m’intéresse, c’est de découvrir des hommes et leur univers, dans des relations différentes avec chacun..."
Ceci dit, cette femme écrit et argumente fort bien de telle sorte qu'on pourrait être tenté d'adhérer à son raisonnement... OUI, MAIS...
Quant à "chacun fait ce qu'il veut de son cul", tout à fait d'accord avec vous. D'autant que, contrairement à la consommation de tabac, alcool, et autres conduites à risque...ça n'est pas forcément nocif, et la société n'en fait donc pas les frais. Quoique parfois, ça puisse faire bobo à l'âme, et de fil en aiguille...Mais bon, faut bien vivre, sinon on ne traverse plus non plus la rue afin de ne pas risquer de se faire renverser, hein ?!
Je n'avais pas prêté attention à votre 2nd commentaire, Valentine. Je ne sais pas qui, ici, prend les choses trop à coeur et au 1er degré... Mais j'arrête là le débat qui semble tourner vinaigre.
Je suis sincèrement navrée que vous ayez pu prendre mes réflexions de façon personnelle alors qu'il ne s'agissait que de généralités ne vous visant nullement. Toutes mes excuses Valentine si je vous ai froissée. Bonne continuation à ce blog. L'expérience fût enrichissante.
C'est la raison pour laquelle j'ai bien précisé que ce dont j'allais débattre ne concernait que l'extrait que j'ai cité de votre intervention, et que vous avez introduit dans votre argumentation. Certainement pas par hasard non plus ?
Nous parlons de la même chose, en l'abordant de manière différente, c'est tout. Vous évoquez une situation particulière, que j'ai généralisée avec ma vision et conception des choses.
C'est "bobo" aux fesses, qui m'intéresse. Rires
Non, non, il y a un malentendu évident que je ne saurais faire durer. Je n'ai pas pris pour moi votre intervention. Le fait que je vous donne ma vision des choses ne justifie pas que je l'ai pris pour une attaque personnelle. Rires
Quel autre moyen ai-je de vous donner mon avis, si je ne me base pas sur mon expérience personnelle ?
N'y voyez rien d'autre So. Si je ne trouvais pas également enrichissants nos échanges, je ne m'y prêterais pas. Je suis une passionnée pour tout. Bises So et ne soyez pas désolée de votre spontanéité.
C'est déplaisant cette façon de se "retirer" dès qu'on semble sentir la moindre contradiction. Entrez, sortez, faites ce que vous voulez en évitant les courants d'air, mais ne prenez pas les éventuelles contradictions dans les opinions pour vous, et surtout en vous servant de ça pour "quitter ce blog"...
Le "au revoir et bonne continuation " est la phrase-type de tous les vexés des forums ou blogs qui s'offusquent pour un rien et préfèrent "priver les autres de leurs intelligentes interventions" plutôt que de rester débattre amicalement, tout en prônant la tolérance et le respect...
Bla bla bla...
...
Venir ici implique une certaine légèreté et un second degré indispensable, qu'à priori on a tous intégré comme paramètre de base...
Ah... Je pose l'axiome en général, faites-en ce que vous voulez, sans interpréter les mots au-delà de ce qu'ils veulent dire.
La correction et la patience dont vous avez toujours fait preuve à l'égard des mes interventions m'oblige à revenir fournir une ultime justification avant de couper court à un dialogue qui prend une tournure qui ne correspond pas à ce que j'aime.
Un vent de désaccord soufflait parfois dans nos échanges que venait pondérer les explications ou précisions de chacun.
Le commentaire de Valentine m'a ouvert les yeux sur une toute autre réalité.
Il y a quelques jours, pendant que vous écriviez que je prenais les choses trop à coeur, mon aînée, en train de travailler non loin de moi, me demandait ce qui était si drôle sur le pc.
J'aurais aimé ne pas être seule ce matin pour que quelqu'un puisse me dire la tête que j'ai pu faire à la lecture de ces quelques lignes. Je me fourvoyais en venant discuter en ce lieu où je n'ai pas ma place. Ce n'est pas une simple contradiction qui me décide à lever le camp, mais une incompatibilité.
Autant je pourrais consacrer temps et énergie à sauver une relation qui me tient à coeur, autant, pour quelque chose de léger et ludique qui n'entraîne aucun attachement comme vous n'avez cessez de le souligner, je laisse tomber sans insister davantage.
Ravie d'apprendre que j'ai déjà des habitudes de vieux briscard de la communication virtuelle dont je n'ai pourtant pas intégré les paramètres manifestement indispensables au formatage. Mais vous interpretez mal mon départ. L'idée ne m'a pas un seul instant traversé l'esprit de "priver les autres de" mon "intelligente" conversation. Je ne fais pas un complexe de supériorité. J'ai beaucoup appris ici. Et mes interventions plutôt naïves, et souvent maladroites, non appropriées à cet espace virtuel ne m'ont pas donné le sentiment d'avoir brillé par mon intelligence, et loin s'en faut !
Désolée pour les courants d'air. Je reproche souvent à notre cadette de claquer les portes. Finalement, elle a de qui tenir...
Je ne cherche pas à cacher ce comportement qui vous déplait derrière un quelconque anonymat. J'assume mes principes, au risque de paraître has been, ainsi que ma façon d'être, froide et cassante parfois. Ce que j'ai pu écrire ailleurs reste donc valable.
Mais So, on s'en fout de ce qui ME déplait. Tout le monde est libre d'aller et venir à sa guise, du moment que les choses sont dites avec intelligence et sans insulte vaines. Question d'équilibre, vous vous en doutez. Je n'aime pas les départs annoncés , mais encore une fois, ce n'est qu'un blog... Vous aimez venir, vous venez, ça vous plaît pas, vous allez ailleurs, c'est l'avantage du net...
Je fais ce truc par pur plaisir et certes pas par altruisme particulier. Si j'ai quelques personnes à qui ça plaît tant mieux, mais au fond ce n'est pas tellement important...
Vous êtes une inconnue plaisante et curieuse, en balade, l'avantage du net fait qu'on n'a pas besoin de justifier ses allers et retours, fort heureusement, vous prenez plaisir à venir, si ce n'est plus le cas, il n'y a rien "à sauver", c'est juste un choix.
Je ne retiens personne, ni dans un sens ni dans l'autre. Celle qui me manque le sait.
Les autres sont des passagères amicales ou affectueuses pour qui je compte, ou pas. Et qui comptent...
Ou pas.
Ooooh là, j'ai une super occasion de faire ma grosse sans coeur...
C'est quoi les balises pour appuyer mes dires, à moi - que tout le monde à l'air de savoir - que moi j'ai jamais su faire 'gras' ou 'italique' ?
c'est <> (on met un i entre, pour italique, sans espace) et une fois la phrase choisie... on met pareil avec un / devant le i... Toujours sans espaces...
Pour le gras c'est pareil avec le b à la place du i...
@ Elli
gras : pour écrire en gras utiliser la balise HTLM que vous trouvez sous la fenêtre où vous rédigez votre message avec la lettre b devant le premier mot que vous voulez écrire en italique et derrière le dernier mot, vous refermez en n'oubliant pas d'insérer la barre / juste devant la lettre b. Je mets des parenthèses à la place des crochets : (b)gras(/b)
italique : c'est la même chose mais avec la balise qui contient la lettre i. (i)italique(/i)
Je n'avais pas vu votre réponse Stan.
C'est dommage , cette incomprehension qui s'envenine comme ça.
So , si vous saviez le nombre de fois où je me suis dis en lisant certains posts ou coms. :"c'est pas pour moi, ça!"
Mais , c'est justement ça qui est bien ici , "entendre" toutes sortes d'opinions, "voir" d'autres façons de vivre, on se sent proches de certain(es) ou pas , plus ou moins mais sans jugement de valeur,de quelque côté que ce soit. Si je devais résumer en trois mots l'atmosphère de ce blog je dirai "tolérance, complicité, diversité".
Tout le monde peut y avoir une petite place, et vous aussi.:)
Bon oui, Emma a raison. Mais je propose qu'on en reste là. Sur le topic de Chut, on ne parle plus d'elle du tout et c'est pourtant infiniment plus passionnant que nos petites arguties, je crois. Chacun est libre de faire comme il le souhaite, rester ou pas, c'est sans importance.
On va dire qu'il n'y a que les cons qui... et que l'ultime était, en fait, la pénultième.
Merci Emma, mais non. Plus la discussion avance, plus je me rends compte que même si un des éléments de nos univers érotiques nous rapprochent, nous le vivons, pour certaines, dans des cadres diamétralement opposés. Du coup les échanges deviennent stériles de part l'incompatibilité de certains points fondamentaux, et je sens ma présence ici totalement déplacée.
Erreur de ma part, rien d'autre. Le blog est ce qu'il est. Très riche. Le maître des lieux fidèle à lui même. Un certain charisme. Je ne retire rien de ce que j'ai pu écrire.
Et, Stan, si je comprends bien la dernière réponse que vous m'avez faite hier soir, sur la blogosphère il est donc de règle de laisser pisser le mérinos et partir en douce. Mais il se trouve que je n'ai pas intègré ces règles, comme vous avez pu le constater. Dès lors qu'un diktat ne me convient pas, je n'en fais qu'à ma tête et suis mon idée. Et je trouve plus correct de dire au revoir en partant. Car c'est bien ce à quoi je m'employais avec mon "bonne continuation..." C'était également une façon de conclure. On ne finit pas par une conclusion dans le virtuel ? Je n'avais pas l'impression de faire par là une "annonce". Mais quand bien même c'eut été le cas, et puisque vous l'avez pris ainsi, qu'est-ce qui vous déplaît dans un "départ annoncé" ? Vous n'avez pas non plus apprécié Chronique d'une mort annoncée ? Le bouquin était pourtant plein d'humour...
Si je termine par une question, cela vous semble-t-il plus léger ? On reste en suspens un peu comme l'oiseau sur la branche, ça fait printanier, plus gai... Et en musique, vous préférez que ça s'achève par un accord majeur ou mineur ?
Tout le bonheur du monde
Enfin, rendons à César ce qui est à César et à Chut le billet qui lui est dédié. Si j'avais posté ici au départ, c'était pour l'évoquer à travers un ouvrage de Françoise Simpère: Les Latitudes amoureuses, qui pose la question de savoir si le désir ne naît pas seulement du partenaire, mais aussi du climat, des odeurs, des musiques...bref, si on ne baise pas de la même façon aux 4 coins du monde. L'auteur doit d'ailleurs intéresser Chut qui nous propose son blog Jouer au monde comme 1ère invitation au voyage. Au fil du temps venant en 2nde position...
Je ne reviens pas dans la discussion pour les raisons que j'ai expliqué, mais juste un commentaire concernant Chut et la photo que vous avez choisie sur laquelle je jurerais qu'elle est brune, telle une fille des îles (illusion créée par le décors peut-être). Pourtant, de façon étrange, en lisant ses très beaux écrits, à la musique de ses mots, je l'imagine blonde... Rien de péjoratif avec cet adjectif! D'ailleurs je serais bien mal placée...
Et j'en profite pour vous glisser qu'avec votre "Cochon qui s'en dédiE" (il doit s'agit d'une dédicace, ainsi orthographié), j'ai foncé vérifier si je n'avais pas fait d'erreur en écrivant Cochon qui s'en dédit dans un de mes commentaires. Nooonn oufff !
Ceci dit, j'en ai fait plein d'autres ailleurs...dont une qui m'avait value une histoire de Père Noël ;) Vous avez manqué une vocation Mr le Pro-fesseur
J'espère que vous les avez trouvées, les fautes de cette nuit, car elles sont grosses comme 3 maisons.
Mais ce n'était pas d'orthographe dont je voulais parler, vous l'aviez compris. Plutôt de votre côté didactique, peut-être inconscient de votre part...Très appréciable, n'allez pas croire que c'était une vacherie que je vous servais en ce 1er avril où les seuls plats admis sont à base de poisson...
des fautes, il y en a, j'ai beau relire. Pour le cochon, oui, effectivement...
Et elle est blonde.
...Un de nos rares points communs... Car, contrairement à Chut, j'ai beau aimer la mer et le windsurf, je me sens parisienne jusqu'au bout des ongles. Même sous la grisaille, je trouve Paris si vivante. Tant au mois d'Aout, qu'au plus profond de l'hiver, cette ville m'enchante.
Pour les fautes de cette nuit, je parlais des miennes! Je ne traque pas les vôtres. C'était juste qu'en titre qui sert d'accroche, ça sautait aux yeux...
J'aime beaucoup son dernier billet...Enfin, pas les jeux de jets...mais, oui, j'aime les choses un peu plus hard que vous, hein!
Avec sa façon d'écrire, l'atmosphère qu'elle parvient à créer, elle peut tout faire passer. Quelque chose d'envoûtant...
Je connais un peu mieux Chut depuis quelques semaines et je suis content de voir qu'elle est revenue écrire, en tout cas..
Bonsoir,
Merci pour vos mots que je découvre à l'instant... Le 30 mars, j'arrivais en Thaïlande pour beaucoup m'éloigner de la toile. Puis me revoici aux Philippines, munie d'une clé USB (et des deux cartons que j'y avais laissés).
J'ai entendu parler de Françoise Simpère il y a quelques années, par un couple qui avait choisi un autre modèle que celui de la fidélité réciproque. Route périlleuse à aménager en fonction des désirs et besoins de chacun : tel couple choisira une liberté sexuelle tant qu'elle se vit dans le secret ; d'autres préféreront qu'un échange se tisse sur cette même liberté ; d'autres accepteront la liberté sexuelle, affective du partenaire à condition de rester le / la préféré(e) ; d'autres encore, comme Françoise, vivront chaque relation comme unique, sans notion de préférence ni de compétition.
Cette conception me séduit, mais encore faut-il pouvoir la vivre pleinement, sans faire du mal ni à soi, ni aux autres, ni mettre en danger un équilibre patiemment construit.
J'ai eu la chance de rencontrer Françoise. Non pour parler de ses livres, que je ne connaissais pas à l'époque, mais pour mettre au point, lors d'un rendez-vous dans une brasserie parisienne, un scénario délicieusement ludique... et quelque peu pervers.
Notre deuxième rencontre fut la concrétisation de ce scénario, qui ne se déroula toutefois pas selon nos plans. Mais peu importait, au final. J'en garde le goût d'un thé partagé au "débriefing", et des souvenirs épicés entremêlés d'adrénaline.
La femme du couple dont je parlais plus haut m'offrit Ce qui trouble Lola. J'ai lu le livre à Paris, puis l'ai emporté en quittant la France. Il est maintenant chez une amie, à un jet de maisons de "chez moi"... elle l'a apprécié aussi. J'aime cette tendresse et cette liberté qui fusent entre les lignes, ces instantanés de corps sur la ligne du coeur. Plus jeune, j'aurais pu, certainement, être cette Lola-là.
Merci, So, pour votre commentaire sur le dernier billet. Il ne fut difficile à écrire et j'ai tenté d'y restituer, au mieux, ce vertige qui échappe à la raison, quand tout à l'intérieur fait silence et qu'il ne reste "que" la chair, une dimension brute, brutale et, paradoxalement - j'ose le mot -, quasi religieuse. C'est, tel que je l'ai vécu, une offrande sans conditions, limites... ni safe word, doublée d'une plongée en eaux troubles, très près d'une vérité presque effrayante pour moi-même.
Peu probable que mon partenaire partage mon point de vue. Je sais qu'il ne joue ainsi qu'avec moi, mais justement, c'est la notion même de "jeu" qui me questionne. Il se trouve que, ce soir-là comme à d'autres reprises avec lui, je ne jouais pas. Que si ses verrous avaient sauté comme les miens, ce "jeu" aurait pu mal se terminer (ce qui pourrait s'intituler : De l'avantage du choix d'un partenaire hyper contrôlé). Bref, que cet homme était davantage garant de ma sécurité que je ne l'étais moi-même, puisqu'à lui, pieds et poings liés, je m'en remettais totalement.
Aucun regret, sauf que nous ne nous reverrons plus. Ou quand beaucoup d'eau aura passé sous le pont de la rivière, pour des raisons qui ne tiennent d'ailleurs pas au sexe. En prenant cette décision, j'ai aussi, et douloureusement conscience, de perdre cette connexion rare, précieuse, très particulière, comme un bout de moi-même qui partirait dans le torrent.
That's life, dirait Stan. :)
Hou, je me suis laissé aller... Je poste sans me relire, je risquerais de tout effacer !
Merci, Chut, pour ce laisser-aller qui est un précieux complément à votre dernier billet.
Vous l'interprêtez comment, son dernier billet? Un faire-part de mariage ?
Quant au doc philippin, il emploie des moyens persuasifs, hein! Ça donne à réfléchir...
Vous pensez bien que je l'ai lu. Je lui ai même demandé de me faire un texte sur cette histoire authentique, la connaissant, elle doit concocter un chouette truc. Pour le reste, je doute... D'ailleurs pour lire attentivement... Enfin bref, Chut va nous raconter...
"pour lire attentivement"
Ben justement, c'est le dernier paragraphe qui m'a fait douter. Mais elle n'est plus à Bankok et est revenue aux Philippines...
Ils sont toujours un peu magiques, envoûtants, ses billets.
Hummm, l'est passé où mon G ? Du coup, même sii je n'ai pas ouvert l'enveloppe comme Am', je rougis...
Je crois surtout qu'elle se soigne au soleil après une otite carabinée. Finis les plongeons...
Bah, ça lui laissera le temps de bosser un peu à un éventuel bouquin, j'espère. J'aime beaucoup et l'écriture, et la personne qui écrit. Mais je crois qu'on l'avait compris à me lire.
Le temps d'écrire un bouquin, comme vous y allez, c'est quand même qu'une otite, hein! Par contre, ce qui me surprends, c'est qu'elle parle "d'ouvrir la bouche pour prendre les antibio", ok, mais en principe, pour les otites externes, faut aussi une antibiothérapie locale. Enfin, c'est peut-être la menace de la fessée qui fait office de...
comme elle le sous-entend plus haut je doute fort de l'effet d'une menace sur une telle passionnée... Quand aux antibioa pour les prescriptions desquels je vous sens plus ardue que moi... je ne sais. Mais le traitement promis peut aider, c'est vrai.
Bonsoir !
Je n'ai pas encore commencé le texte promis (sauf exception, je les écris d'un jet pour les poster dans la foulée). L'otite traîne en longueur et touche à présent la gorge, me laissant un temps de cerveau disponible réduit.
So, vous avez très certainement raison : j'aurais probablement dû avoir des gouttes en même temps que les antibios (arrêtés depuis avant-hier, total 8 j, pour une otite aiguë de l'oreille intermédiaire - mieux que la précédente, qui touchait également l'oreille externe). Ai envie de m'en procurer en pharmacie sans repasser par la case médecin, c'est facilement une demi-journée à poireauter en salle d'attente : ici, bien rares sont les docs prenant des patients sur RV. Il faut y aller le matin, si possible dès l'ouverture, pour s'inscrire sur un listing et attendre son tour... Et au vu de mes horaires à tendance nocturne, je n'arrive jamais tôt, ce qui signifie, au bas mot, 15 personnes devant moi !
L'autre problème étant, sans vouloir être discourtoise envers le pays qui m'héberge, la formation des médecins ici... Y en a bien un qui a failli me tuer à l'hôpital l'an dernier, en me prescrivant un médoc auquel je suis allergique. Et ce n'est pas faute de le lui avoir dit 3 fois pendant la consultation, sauf que le monsieur passait son temps à lire et composer des SMS ! Par bonheur pour moi, je connaissais la molécule présente dans l'antibio prescrit sous son nom commercial.
De telles anecdotes, qu'on qualifierait d'erreur médicale grave en Europe, j'en ai des dizaines en stock. Bref, l'automédication n'est pas forcément mauvaise - et même, parfois (souvent ?) meilleure qu'une visite en bonne et due forme auprès d'un "spécialiste".
Mon médecin fesseur résidant sur une autre île, je pense me passer de sa contre-visite. Et qui sait, peut-être trouverait-il dans cette otite prolongée le prétexte pour m'administrer son traitement fessier de choc ?
Merci à vous deux pour vos conseils ! N'hésitez pas, So, à m'éclairer sur ces fameuses gouttes... Hors de question de retourner à l'eau tant que le sentiment de gêne et la douleur persistent, ce qui me prive autant de plonger que d'une séance de photos, assez challenging et sous-marine, avec Bertille. Je dois en effet être son modèle, à 12 mètres de fond sans masque ni bouteille (l'air me sera fourni par un plongeur évoluant à mes côtés, mais hors-champ caméra), en robe habillée, voire de mariée. La seule occasion de ma vie d'en porter une !
Dans l'idéal, et au terme de différents réglages, nous espérons nous approcher de ça :
https://www.youtube.com/watch?v=nXtnpEazGMA&feature=player_embedded
Voilà, vous le savez, je ne sais pas faire court. Nouvelle démonstration avec ce comm" fleuve !
Amitiés philippines !
Je sais que So est tout à fait qualifiée pour vous donner quelques bases médicales, même à distance. Bon, ayant vécu plusieurs années avec un conjoint médecin, je sais bien qu'on ne soigne pas par téléphone et encore moins par mail. Pour autant, quelques conseils judicieux, hein...
Que vous ne sachiez pas faire court, tant mieux, c'est pile ce que j'aime ici. Des dialogues, des gens qui se causent...
Continuez et j'attends votre texte avec impatience, vous me connaissez...
Et on va vers le record de commentaires, sur ce post...
Merci beaucoup Stan !
Oui, impossible d'établir un diagnostic à distance, mais quelques conseils sont toujours les bienvenus.
Pfff... Et je ne peux même pas mettre un enjeu du 100e comm qui gagne la fessée, je suis trop loin ! Puis manquerait plus que je sois obligée de me fesser moi-même... Le pompon !
(A ce titre, je souligne que le précédent "mot de passe" pour valider mon comm était... pinedi. Y a pas de hasard, on dirait bien !)
Mission accomplie, une après-midi passée à écrire et je viens de poster le billet.
Encore merci à So et Stan !
Mince. Pas reçu...
Oups, je me suis mal exprimée : je l'ai publié sur mon blog.
Oui. Superbe...
Merci !!! Ravie que ayez aimé ! J'ai pris en tout cas grand plaisir à l'écrire et j'espère que ça se sent.
Comme je vous l'avais dit, la partie concernant la fessée est très mince et purement anecdotique. C'est davantage un tableau d'ensemble vu au travers de mes yeux, une histoire avec d'autres bouts d'histoires dedans. Une tranchounette de vie philippine, en somme.
Vous savez à quel point je suis "client", évidemment. Maintenant, un petit texte pour nous ? J'aimerais bien savoir la suite imaginée...
... enfin, fantasmée.
Oui, je peux ! Mais pas avec ce médecin, qui vraiment ne m'inspire pas... J'y réfléchis, travaille et vous l'envoie. Probablement d'ici à une semaine, mon hareng hollandais arrive demain matin. Une première fois aux Philippines, ça se fête !
(Oh, à propos, nous avons commencé une passionnante activité bondage... Bondage et fessée, voilà qui doit s'accorder à merveille ! Une nouvelle source d'inspiration ?)
Merci pour la surprise qui m'attendait chez vous, Chut !
Encore un beau voyage...
Et pour ce qui est du bondage et de la fessée, je confirme, c'est un accord parfait. Immobilisée par les cordes qui prodiguent déjà une douce chaleur, on se retrouve à sa merci...
Mais bon, y'a fessée et fessée. Pas certaine que celle qu'aime Stan s'en accommode bien...
chère So, vous avez raison. Je n'aime pas l'idée d'autre chose que ma main et les planches à découper le rôti ne me vont pas. À port pour le rôti. Le bondage tel que je le vois pratiqué parfois me laisse indifférent, le côté noeud marin... Certes c'est joli (sauf quand je vois des seins comprimés à éclater) mais d'un point de vue purement artistique uniquement en ce qui ME concerne...
Attention, je ne suis pas contre le fait de lui lier les mains, voire de l'immobilier un peu, mais ce serait davantage comme sur le tableau de Jindra dans mon dernier post...
Ou alors à plat ventre sur le lit, les membres attachés par des rubans ?
Je ne l'ai qu'esquissé. La plupart des complices que j'ai croisées avaient presque toutes une sorte de peur panique des liens... Et je n'aime pas contraindre "pour de vrai".
Ah votre main... cette main qu'on voit sur la bannière...
Pour ce qui est de la planche à découper le rôti, le fameux wooden paddle, hein, Lui non plus n'a pas aimé. Trop rigide.
Les liens, je ne les vis pas comme une contrainte. Plus il m'attache, plus je me libère...
Mais j'aime aussi beaucoup cette fessée spontanée que vous racontez si bien.
Main photoshopée, certes. Mais c'est bien MA main gauche effectivement, vous avez raison de le rappeler. L'avantage des images numériques qu'on peut à loisir traficoter directement...
Je suis plus dans le spontané, effectivement. pour autant je ne suis fermé à rien, et ne juge pas les autres de trouver leur plaisir où et comme ils l'entendent.
"Trop rigide" ? Vous ne l'aviez pas essayé dans le magasin, comme Rourke sur Basinger dans 9 1/2 ?
Selon vous...
Déjà qu'on a passé pas mal de temps à le choisir dans ce magasin de Miami beach, hein!
On aimerait bien voir une photo du truc. Tiens si vous nous racontiez, d'ailleurs ? Voilà qui ferait un post sympa et amusant sur les tribulations d'un couple venu s'acheter du matériel spécialisé... Non ?
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