2192 - "Séquence..."
Une progression punitive exactement comme je les aime. Que serait la fessée sans l'indispensable moment du déculottage ?
L'organisatrice du Salon de la lingerie qui vient de se tenir porte de Versailles déclarait récemment que le string serait enfin en chute libre...
Définitivement catalogué ringard. Ouf.
Si c'est au profit du tanga, je serais assez preneur. Sans jeu de mot.
7 commentaires:
Y'a beau avoir des pans entiers de murs avec portes de placards à miroirs chez nous, je m'arrange pour ne pas voir, ne jamais regarder... Mais avec vos photos étape par étape , impossible de ne pas réaliser le ridicule de la situation... Je ne vous dis pas merci !!! Sourire malgré tout...
Le string en chute libre...vision de la petite ficelle tombant aux pieds...
Ringard...ne vous réjouissez pas trop..."on voit sortir la nouvelle vague du fond d'un vieux tiroir" disait Joe Dassin, et il n'avait pas tort !
Allons, "le ridicule ne tue pas", et "on ne meurt pas d'une bonne fessée" non plus, comme on dit.
De toute façon, dans cette circonstance, ce n'est pas (plus) à vous de juger, mais à celui qui vous corrige. Et la vue n'est pas du tout ridicule, je peux vous le garantir. La honte fait aussi partie du package, se sentir vaguement grotesque peut participer au trouble, c'est un ensemble.
Non, le string, sous-vêtement vulgaire vendu au poids de l'or, malgré le manque de tissu, est une ineptie qui régresse heureusement. Il y a tant d'autres choses à se mettre sur les fesses. Et comme les seins nus sur les plages, même s'il y a des irréductibles, c'est dépassé.
Oui, mais ça reviendra...La mode, c'est cyclique.
Ceci dit, plus que la vulgarité, c'est surtout l'inconfort qui m'a toujours empêché d'en porter. Essayez, vous qui êtes très curieux (ça vaut bien le test à blanc de certains produits...)!
Les seins à l'air, c'est dépassé?! Savez, en Bretagne, j'ai carrément la marque du T-shirt, hein ! Mais à vous lire, la mode devrait bientôt me rattraper, non?!
"le ridicule ne tue pas, et on ne meurt pas d'une bonne fessée non plus" m'avez-vous répondu.
Bien entendu, il s'agit plutôt de pouvoir conserver une certaine dignité, en fait. Enfin, une fois tout ça terminé, parce que pendant...
Mais votre: "Et la vue n'est pas du tout ridicule, je peux vous le garantir" a quelque chose de rassurant. Même si vous démentez un peu ce qui me soulageait pourtant avec la suite: "La honte fait aussi partie du package, se sentir vaguement grotesque peut participer au trouble".
Ceci dit, je sais fort bien que vous avez complètement raison. C'est juste un peu difficile à admettre, mais ça vous aurez peut-être plus de mal à comprendre, étant sur l'autre versant.
Si j'en ai la possibilité, je m'arrangerais plutôt pour le voir me fesser, surprendre l'expression du visage de celui qui me corrige, son regard. Se faire fesser est un acte qu'il faut assumer, mais se voir fesser c'est encore plus troublant. J'évite de regarder mes joues empourprées de honte, par contre. Je "déteste" rougir devant lui, et lui montrer que je suis déstabilisée, car c'est un phénomène que je n'arrive pas du tout à contrôler. Pourtant il est si délicieux de se laisser gagner par ce trouble.
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