2577 - "Old England..."
Les habits, les coiffures, les décors, pas de doutes, on est bien dans les années 70.
Ces images désuètes, datant d'environ une quarantaine d'années ont bien du charme à mes yeux, Issues de ces magazines spécialisés anglais consacrés à la fessée. des journaux quasi introuvables chez nous, une spécialité purement british qui a compté plusieurs titres.
Fébrile il m'arrivait fréquemment de les feuilleter à l'abri des regards dans une librairie de Brighton, quand j'étais adolescent.
Incapable de les acheter pour éviter le regard moqueur de la caissière, une fois regagné la maison de la famille qui m'hébergeait pour le semestre, je passais mes nuits à recréer dans mon imaginaire libidineux toutes les scènes vues en photo, au cours de plaisirs solitaires fébriles m'inondant les doigts...
Une des jeunes filles de ma logeuse âgée d'environ seize ans (plus "vieille" que moi de presque une année) s'intéressa alors à moi au point de me faire découvrir les joies du sexe dont je ne connaissais rien. Un peu surprise de mon ignorance crasse, elle entreprit de "déniaiser" son petit Français et le mot n'est pas faible, tant j'étais d'une gaucherie attendrissante peu à la hauteur de la flatteuse réputation des nos compatriotes mâles à l'étranger... Très surfaite en ce qui me concernait, il faut l'avouer.
Croyant naïvement comme je l'avais lu quelque part que TOUTES les Anglaises sans exception adoraient la fessée en lui conférant une dimension érotique que ne partageaient pas nos petites Françaises, j'ai bien proposé, avant de rentrer au pays, de la corriger comme ça sur mes genoux au bout de quelques semaines de progression sexuelle à la sauvette.
Son enseignement incluait pas mal de privautés parmi lesquelles sa préférée: la pipe dont elle raffolait, me gobant la verge comme un merle un ver blanc, exerçant ensuite, une fois la bouche pleine, d'interminables mouvements de succion saccadée dont je n'étais pas fan, vu que ça me laissait la peau rougie avec quelques douloureuses marques de dent. C'est sans doute de là que provient mon peu d'attrait pour la chose...
Mais pas de chance pour l'amateur naissant, elle n'aimait pas la fessée. Bref, à ma demande, elle me fusilla du regard, en proférant un "Please, no !" catégorique..
l faut dire qu'elle était encore punie comme ça régulièrement par sa mère et n'y voyait aucun érotisme, juste un logique règlement de compte familial conçu pour expier les innombrables bêtises dont elle parsemait sa vie de lycéenne peu studieuse, trop intéressée par les garçons, la bière et la moto...
Il fallu patienter un peu avant de commencer pour de bon quelques années plus tard. Avec une Française tout autant surprise, mais pas du tout réfractaire...
3 commentaires:
Mes débuts. En Angleterre. J'aime.
Bonjour Stan,
On comprend mieux votre passion pour la fessée envers le Beau Sexe. Mais, pardonnez ma curiosité, vous étiez Outre-Manche en tant qu'étudiant , en vacances prolongées ou en échanges linguistiques ? J'imagine que vous maitrisez parfaitement la langue de Shakespeare.
En tout cas, une belle confidence que j'oserais presque qualifier de "douloureusement romantique".
Charles.
Étudiant dans une école anglaise plusieurs mois durant et logé dans une famille de Brighton. Tout simplement. Du coup j'ai quelques rudiments d'anglais, oui. Faut juste un peu pratiquer la langue, mais ce n'est pas toujours facile d'en avoir l'occasion.
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