2759 - "Il fait moins le malin !"
Ah, je ne sais pas si ça inspirera mes lectrices, mais pour une fois que ça change...
Ici, c'est monsieur qui s'en prend une, copieuse. Avant de se prendre autre chose dans la salle de bain...
Ce serait pas Kelly Payne, la dame ?
11 commentaires:
J'avoue qu'elle est "copieuse"...
A ce propos, y a un truc assez atypique que j'ai pu constater, pour l'avoir expérimenté à deux reprises.
Autant certaines femmes apprécient la douceur et la volupté d'une fessée tendrement administrée, car refusant toute douleur, autant la meme personne peut s'avérer extremement sévère lors d'une inversion des rôles et y prendre un plaisir énorme.
Z' en pensez quoi vous?
Ah ben vi, si je me suis "abandonné" à sa main, c'est que quelque part j'en avais besoin et envie...et justement, ce qui est intéressant, c'est cette faculté de mes deux partenaires pour avoir pu discerner mon désir inavoué...car appuyé dans l'acte certes mais aussi dans le verbe, et ça c'est vraiment délicieux...
Après tout, lorsqu'on aime être fessé, on sait s'y prendre quand l'occasion est donnée non?
Quant au coté macho, pour ma part je ne suis animé que par la recherche du plaisir donc si j'estime qu'être fessé en est un, pourquoi me refuserais je ce loisir? Cela ne m'empêche pas de mener une vie normale, de fesser à mon tour et ne met nullement en péril ma virilité...
Mais vous avez raison sur un point, les femmes s'abandonnent plus aisément à leur désir...aussi cuisant soit il
Oh oui, un homme qui vous confesse ses souhaits d'abandon, sans honte, sans retenue et en toute confiance, c'est troublant, déroutant quand c'est la première fois ; mais de vous à moi, ce qui est tout aussi déconcertant, c'est de se sentir le goût d'y répondre, sans jamais l'avoir pressenti.
Quant à la question d'Arthur concernant la sévérité de certaines femmes, je pense qu'on fesse comme on aime être fessée (l'apprenti imite toujours son maître au début, c'est comme ça qu'il apprend) et qu'il ne s'agit pas de se faire "forcer la main" pour faire plaisir. Comme aime à l'écrire Stan, "il faut que ces choses là se sentent !"
En tout cas, comme toutes les vidéos commerciales, celle-ci manque de chaleur. Pour la première fessée que je lui administrerai, j'espère que ma main sera ferme, et que je saurai faire passer toute l'émotion et le plaisir que je prendrai à lui en donner.
Vous savez a quel point je suis attachée à l'idée du mal dominant dans mon univers érotique. Pourtant, allez savoir pourquoi, hein, avec vous me vient régulièrement l'image d'un sale gosse que l'on n'aurait pas d'autre choix que de le priver de sortie et de jeux vidéo tant qu'il ne serait pas venu à bout de TOUS ses devoirs...
Mâle, of course...
Ah, un intéressant lapsus, "mal", "mâle"... Voilà qui ravirait Gérard Miller et ses confrères sans doute. Je ne crois pas que ce soit le problème. Mais évidemment chacun interprète ce qu'il lit et ressent comme il le lit... Et le ressent.
C'est aussi ce que j'ai pensé en rectifiant. Lapsus on ne peut plus révélateur, le MÂLE capable de faire MAL parfois... Faut croire que votre nouvel ami Sacher-Masoch rôde autour de votre blog et de ceux qui le fréquentent. Enfin, perso, ce n'est pas une découverte...
A moins que là, je n'ai dérapé sur un autre registre: ne pas faire ses devoirs, c'est MAL, hein ?!
Non, je ne cherche pas la contrition, pour ça voyez guichet 2... Et sinon, je tique sur "nouvel ami" Sacher (les gâteaux), ce qui est quand même le comble. La fessée NE SERAIT PAS liée au sadisme et au masochisme ? Je veux bien que la pratique soit assez éloignée du BDSM tel qu'on l'imagine avec son arsenal de maitresses et de soumis codifiés, mais il me semble quand même que c'est une des composantes indéniables du truc, même si le mot dérange et fait un peu tousser. C'est du cul et de la douleur, du plaisir, bref on est dedans si je puis dire.
Ou alors, c'est une vision qu'il faudra m’expliquer.
Ah tiens, les gateaux, il est vrai que ce matin encore, plus que Sacher-Masoch, c'était davantage la sachertorte qui rôdait autour de moi, sur des airs de Die zauberflöte. C'est dingue comme j'ai trouvé vos billets d'actualité, rire ! Mais comme je sais que vous vous efforcez de troquer le 30 tonnes (c'est pas moi qui l'ai dit, hein !) contre un élégant cabriolet, j'ai décidé de ne pas tenter le diable...
Pour en revenir à nos moutons, la fessée légère (même si vous claquez fort, hein!) qui semble avoir votre préférence me parait juste border-line contrairement à vos nouvelles (n'avez vous pas écrit que vous étiez novice) expériences. Mais je vous accorde que la frontière est floue et que vous avez probablement raison...
C'est ambigu parce que je ne place pas la fessée dans le BDSM par exemple... J'en ai une vision très classique comme je l'ai souvent exprimé. Mais je me suis déjà fait reprendre sur le sujet pas des gens qui jugent (à tort ou à raison, je ne sais) très hypocrite la frontière rassurante que je cherchais à distinguer entre SM soft (la fessée) et hard... (tout le reste avec instruments paillassons et pinces à linge)
Borderline, sans doute. Quand aux nouvelles expériences , je doute de les poursuivre, j'ai je crois vu ce que je voulais voir et je crois que j'en resterai là...
Je dirais surtout qu'en la matière, je ne cherche pas à convaincre ni à faire de prosélytisme, chacun trouvant midi à sa porte, étroite comme chacun sait.
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