11 novembre 2012

Make my day !

    2876 - "Main(s) au cul !"

Un petit extrait d'une émission allemande de Sat1, Knallerfrauen. (Merci Chross...)

Martina Hill, qu'on dit être une des actrices les plus drôles d'outre-Rhin, aborde dans un sketch à la télé le délicat problème du harcèlement sexuel au bureau en montrant de la part de la fille qui se prend une main au cul une réaction inattendue qui déstabilise le gros con, soudain pris à son propre piège et qui comme de bien entendu se barre, incapable d'assumer une quelconque "suite"...

... Qui de toute façon n'est pas désirée !

> Alors évidemment ce qui m'intéresse, les filles, c'est de savoir si ça vous est déjà arrivé, une main aux fesses - non désirée s'entend ! - 

Et surtout comment vous avez réagi, ensuite. Violence immédiate, coup de genou dans les burnes, sonore paire de gifles, insultes diverses bien senties ? Ou surprise, tétanie et fuite en avant sans rien oser ajouter, retraite en abandonnant la partie, furieuse, humiliée et honteuse ?

9 commentaires:

Amandine a dit…

Du temps où j’étais étudiante, ça m’est arrivé plus d’une fois, notamment dans le métro bondé de la ligne 13… et bien sûr pas seulement une main. Un véritable supplice à chaque fois. Comme je sortais de ma province natale, je ne savais pas vraiment comment gérer ce truc-là. Il n’en serait plus de même aujourd'hui mais je pense que ce genre d’agresseur sait choisir ses proies… :(

Sophie a dit…

ha, moi aussi j'ai vécu un truc dingue quand j'étais étudiante : train de banlieue bondé un jour de grève, je me suis retrouvée collée/serrée de face contre un jeune homme au long manteau. C'est pas sa main que j'ai sentie pendant les 30mn du trajet. Et plus j'essayais de me dégager, plus ... enfin, vous imaginez. A l'arrivée, gare du NOrd, nous avons été éjecté du wagon par la foule, j'ai senti une main attraper mon bras et il m'a dit : "je vous offre un café, mademoiselle ?"

Sophie a dit…

ma première main au c.. : en 5ème, JMichel L. qui avait du faire un pari avec ses potes. Ce fut également, la première, (mais pas la dernière) énorme baffe que j'ai retourné à un mec. Le pauvre en a perdu ses lunettes et sa dignité devant toute la classe. Je ne pense pas qu'il ait été tenté de recommencer de sitôt.

Constance a dit…

Je prends rarement le métro aux heures de pointe, mais j'ai bien évidemment connu les joies du "collage" dans le métro bondé. Avec moi ça se termine généralement par (après habile repérage du coupable) un bon coup de talon dans les tibias. Miraculeux.

Stan/E. a dit…

Ah mais ça part bien, vos anecdotes, mesdames...

V a dit…

Un premier que je n’ai pas pu identifier, c’était dans la foule, aux Puces.
Un deuxième que j’ai giflé tellement fort qu’il en a perdu sa casquette. Ensuite, il est allé s’excuser auprès de mon mari qui a eu le bon sens de lui faire remarquer que ce n’était pas à lui qu’il devait présenter ses excuses.

Ellie C. a dit…

Ah ! ... Oui ! Des mains au cul aux seins, des mains partouuuut... Moi aussi, j'arrivai de mon bled et ma grand-mère m'avait briffée. Ma poulette, quand un Monsieur t’embête dans le métro, tu retires ton épingle à chapeau et PIC ! Ah oui tu n'as pas d’épingle à chapeau... Alors tu lui attrapes la main et tu la lève bien haut en demandant tout fort - c'est à qui celle là ? '

Mais en fait, effectivement, c'est plus souvent autre chose qui frotte nos fesses ou notre ticket de métro. Quand le type ne me plait pas je lui explique qu'il y a des petites mignonnes, rue st Denis, pour s'astiquer le zizi. Et ce qui est génial c'est que comme on est tous coincé il ne peut pas s'échapper et tout le monde le regarde quel PIED !

Stan/E. a dit…

Un sujet à faire remonter, non ?

Mademoiselle G a dit…

Alors la solution de la jeune femme est sympa mais au niveau de l’exhibition au bureau et elle m’a fait beaucoup rire. Mais sinon le dire clairement et qu’il y a des femmes tarifés et que ne ne suis pas là pour cela en parlant à haute et intelligible voix. Normalement ça marche et sinon...
Et pour le tu es bonne il a l’indifférence offensée et qui fonctionne parfois sauf si le gars d’insulte après... Et sinon le regarder de haut en bas, le détailler et lui dire mais tu es bon toi aussi souvent ils sont tellement déstabilisés qu’ils fuient...