Je confesse (ah, ce mot...) une attirance de toujours pour les fesses des femmes.
D'aussi loin que je me rappelle, c'est bien cette partie du corps qui' m’obsède, devenant au fil des années l'objet de mes désirs. Cette quasi-dévotion - osons le mot - pour ces deux lobes de chair féminines (oui, j'atteste que les fesses des hommes, par contre, ne me font ni chaud ni froid...) trouve aussi son aboutissement dans l'étroite bague de chair dissimulée entre les rondeurs, orifice secret qu'on n'offre pas à tout le monde, ouverture délicate et fragile qui ne s'ouvre pas au tout-venant, soigneusement celée à qui ne sait en user correctement...
Comme j'aime ça, j'ai toujours usé de persuasion et de patience pour parvenir à mes fins et rares sont celles que je n'ai pas pu honorer de cette manière que les anciens appelaient "délices de Capoue" ou encore "vice anglais" entre autres petits noms... Le plus souvent après une bonne fessée. Les deux vont de pair(e de fesse, évidemment)...
Un homme qui aime ainsi prendre les femmes prend aussi le temps de les habituer à ce plaisir rauque, sans forcer, ni faire de prosélytisme. Pas question de douleur qui interdirait à jamais de recommencer.
Impossible aussi de la contraindre à des choses qu'elle ne voudrait pas d'elle-même. Le truc c'est que ça ne vienne pas de vous, mais d'elle, évidemment. Trop insister, c'est aussi le plus sûr moyen de la dégoûter à jamais. Avec vous, en tout cas.
Une de mes premières amante avait toujours refusé ce plaisir à son fiancé, mais avec moi, ayant découvert qu'elle adorait ça, ne pratiquait plus QUE de cette façon. Ce qui n'était pas pour me déplaire, j'avoue.
Prendre le temps de bien faire les choses, ou ne pas les faire, évidemment.
Une amoureuse m'apporta un jour en elle (!), lors d'une de nos plus belles rencontres, un objet que lui avait offert un ex... Avec lui, le lourd sex toy de métal chromé destiné à élargir une ouverture qu'elle lui refusait, était resté obstinément dans un tiroir, soigneusement rangé dans son petit sac de soie bleu nuit... L'évoquer ensemble me donna des idées. Moi qui n'aime guère l'adjuvant d'ustensiles en tout genre, je me suis surpris à en jouer... Le mettre, l'enlever à ma guise, la sceller comme une bouteille et lui accorder mon bon vouloir...
Cette photo de Kailee Robinson illustre à merveille le fou-rire qu'elle eut à un moment de nos jeux pervers, sans pouvoir s'arrêter de rire autant de honte et de gêne que de plaisir...
Accessoirement, l'olisbos bien placé au plus serré le temps requis, au retrait, il devint plus simple et confortable de s'installer en elle élargie juste comme il fallait pour la circonstance. Je dois à ce truc en métal un des plus forts orgasmes de ma vie de mâle....
Image © Kailee
4 commentaires:
Bien d'accord avec vous. Et sans aller jusqu'à y mettre la verge (un peu large pour un si petit orifice), on peut s'amuser à le masser du doigt de l'extérieur, voire de l'intérieur; y mettre un "plug"; ou, si l'on veut faire plus dans le honteux que dans la sensation d'élargissement, un thermomètre ou un suppositoire. Tout ceci est fort amusant!
Faire remonter de temps en temps des trucs oubliés... Mais que j'aime toujours...
Quand Monsieur amène bien la chose ... c'est loin d'être désagréable !
On est bien d'accord !
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